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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 23:33

LES SCIENTIFIQUES CRAIGNENT UN LIEN ENTRE

LE VACCIN « R.O.R » ET L’AUTISME

 

 

Daily Mail, 2 février 2011

Sally Beck (Extraits)

 

 

De nouvelles recherches américaines montrent qu’il pourrait y avoir un lien entre le vaccin ROR controversé et l’autisme, de même qu’avec des problèmes intestinaux chez les enfants.

 

L’étude semble confirmer les découvertes du médecin britannique Andrew WAKEFIELD qui a provoqué beaucoup de remous en 1998 en suggérant qu’il pouvait y avoir un lien possible.

 

Aujourd’hui une équipe de l’Ecole de Médecine de l’Université de Wake Forest en Caroline du Nord est en train d’examiner 275 enfants atteints d’autisme régressif et de maladies intestinales. Sur les 82 enfants qui ont été examinés et testés, 70 s’avèrent positifs pour le virus de la rougeole.

 

Hier soir, le directeur de l’équipe de recherche, le Dr Stephen Walker déclarait :

 

«Des quelques résultats que nous avons obtenus jusqu’ici, il s’avère que toutes les souches, sont des souches vaccinales; aucune souche ne concerne la rougeole sauvage.»

 

Cette recherche apporte des preuves démontrant que c’est bien le virus (vaccinal) de la rougeole qui a été découvert dans le tractus gastro-intestinal d’un nombre d’enfants qui ont reçu le diagnostic d’autisme régressif.

 

Ce qui veut dire que l’étude réalisée précédemment par le Dr Wakefield  (et publiée en 1998)  est correcte.



L’étude n’a pas tiré de conclusions quant au fait de la présence du virus de la rougeole dans les intestins, mais cela pouvait impliquer qu’il provenait du vaccin ROR.

 

[…] L’étude de 1998 réalisée par le Dr Wakefield spécialiste en gastroentérologie au Royal Free Hospital de Londres et par 12 autres médecins a prétendu avoir trouvé une nouvelle maladie des intestins, l’entérocolite autistique.

 

A cette époque, le Dr Wakefield a déclaré que, bien qu’ils n’avaient pas démontré le lien entre le ROR (Rougeole, Rubéole, Oreillons) et l’autisme, il y avait des raisons de s’inquiéter. Il recommandait au gouvernement de proposer l’option du vaccin unique en lieu et place du ROR et ce jusqu’à ce que la recherche soit plus avancée.

 

L’étude, ainsi que les interprétations confuses qui en ont été faites ont provoqué beaucoup de remous et ont amené beaucoup de parents à ne pas accepter le triple vaccin. C’est ensuite qu'une dizaine des auteurs de l'article ont retiré, avec leur signature, leur soutien à l'interprétation du rapport mais ils sont restés d'accord avec les données scientifiques ou les résultats scientifiques de l'étude de Wakefield (et ses collègues).

 

[…] Cette dernière étude est en fait la deuxième étude indépendante qui confirme les travaux du Dr Wakefield.

 

En 2001 John O’Leary, Professeur de pathologie à l’Hôpital St James et au Trinity College de Dublin avait reproduit les recherches du Dr Wakefield.

 

Hier soir, le Dr Wakefield déclarait : «Cette nouvelle étude confirme ce que nous avons trouvé chez des enfants Britanniques et ce qu’ont confirmé les recherches du Professeur O’Leary. C’est uniquement par le biais du vaccin ROR que ces enfants ont été exposés à la rougeole

 

«Ils se sont développés normalement jusqu’à ce qu’ils commencent à régresser. Aujourd’hui ils souffrent d’autisme et de maladies intestinales.»

 

«Le Département de la Santé et certains médias ont voulu rejeter nos recherches parce qu’ils les considéraient insignifiantes. On a pris comme excuse que personne ne parvenait aux mêmes conclusions que nous. Ce qu’ils n’ont par contre pas avoué c’est que personne n’avait vraiment cherché

 

Un porte-parole du Département de la Santé a déclaré que les autorités n’avaient pas encore pris connaissance du rapport américain. Il devait ajouter: «Le ROR demeure la meilleure forme de protection contre la rougeole, les oreillons et la rubéole



 

Source (article du Daily Mail): http://www.dailymail.co.uk/news/article-388051/Scientists-fear-MMR linkautism.html#ixzz1Ccgm0Z1c

 

 

 

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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 22:33

Qui sait que le Gardasil (et le Cervarix), les deux vaccins "contre le cancer du col" figurent parmi les médicaments "sous surveillance de l'Afssaps"?

 

Si on écoute le reportage suivant, on peut entendre cette information de la bouche du Dr Charles Hagege, pharmacologue.

 

 

 

 

Le Dr Hagege prétend que les vaccins en question vont permettre d'éviter le cancer du col de l'utérus. Cette affirmation reste totalement à prouver.

En effet, selon la revue Prescrire, seule revue médicale indépendante:

 

 « Après un suivi médian de 4 ans, si on prend en compte l'analyse portant sur le nombre de femmes ayant au minimum une dysplasie cervicale de haut grade (2 ou 3) due à n'importe quel génotype ou une lésion génitale externe, et ayant reçu au moins une dose vaccinale quelque soit le statut sérologique en début d'essai, le vaccin n'est pas plus efficace que le placebo. » (Revue Prescrire de janvier 2011 (tome 31 No 327)

 

Voilà donc qu'après 4 ans de commercialisation (et des centaines de milliers de jeunes filles qui ont joué les cobayes sans le savoir!), le bénéfice tant vanté ne s'est toujours pas vérifié. Mais les risques, eux, inouïs, ne se sont hélas pas faits attendre....

 

 
 

 
 
 
 
EFFETS GRAVES A LA PELLE, DECES.... DEPUIS LONGTEMPS CES PRODUITS HASARDEUX AURAIENT DÛ ÊTRE RETIRES DU MARCHE. Mais cela n'empêche pas certains médecins de se dire en faveur d'une obligation vaccinale avec ce genre de produits!!!!!!!!!!!!!  

 
  
Ne peut-on pas parler clairement ici d'un système mafieux?

Et la meilleure place de toute cette mafia ne se trouve-t-elle pas EN PRISON?

 

Viendra un jour où, se dérouleront, non pas des révolutions occidentales comme celles survenues en Tunisie ou en Egypte pour un autre gouvernement mais des bien des soulèvements généralisés contre les monstruosités de l'industrie pharmaceutique et ses complices...

Ne laissez pas vos filles faire les frais de la mafia des pharmas, elles méritent tellement mieux!

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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 22:04
Quand le Pr Pierre Bégué ou l'Académie de médecine viennent affirmer (sur base de quelles preuves??) que "l'aluminium des vaccins est sans danger", on ne peut que s'interroger sur leurs sources d'information....

 

Il est vrai que l'Académie de Médecine a souvent des positions très favorables à l'égard des industriels si pas complaisante vis-à-vis de divers polluants (?)

Songeons aux positions idéologiques fortes de l'Académie en faveur du très douteux vaccin anti-hépatite B. Songeons aussi à la minimisation alarmante par cette institution des dangers, pourtant suffisamment évidents, des dioxines, à son oui scandaleux aux OGM, etc

 

 

Voici les informations que l'Académie de Médecine n'a sans doute pas pu ou voulu (?) analyser ou, à tout le moins, qu'elle n'a probablement pas envie de voir se répandre dans le public:

  

 

 
 

 

MAIS CE N'EST PAS TOUT, NON!

 

N'oublions pas non plus les propos extrêmement explicites qui ont été tenus à ce sujet dans une revue professionnelle de kinésithérapie. relativement récemment. En voici quelques extraits (renforcés par pas moins de 66 références bibliographiques d'études scientifiques):
 

"Il semble étrange qu’aucune recherche sérieuse sur un éventuel effet toxique de l’hydroxyde d’aluminium n’ait été menée préalablement à son utilisation comme adjuvant des vaccins, notamment celui de l’hépatite B, encore obligatoire pour les hospitaliers et les étudiants."
 
 
"
Le détraquage immunitaire induit par l’aluminium qui persiste et diffuse dans le corps, génère un épuisement chronique associé à des douleurs musculo-squelettiques rebelles et des troubles cognitifs. Confrontés à des professionnels de santé méconnaissant la maladie, les patients errent pendant des années ; et lorsqu’à l’issue d’une hasardeuse biopsie le diagnostic tombe, c’est une nouvelle vie qu’il leur faut bâtir au sein de l’incompréhension et l’indifférence, d’abord médicales et administratives.

Car, bien que les tribunaux reconnaissent l’accident de travail (AT) et l’affection longue durée (ALD), et comme dans toutes les grandes incuries, on ne se gêne pas pour douter des victimes."

 

 

« La myofasciite à macrophages est une myopathie inflammatoire due à l’administration de vaccin contenant de l’hydroxyde d’aluminium. »

 

 

« On retrouve toujours dans les antécédents l’injection d’un vaccin aluminique. Le délai entre la vaccination et l’apparition des premiers signes cliniques va de 1 mois à 6 ans. »

 

 

"Aucune étude sur un éventuel effet toxique de l’aluminium n’avait été faite car on avait toujours pensé à son élimination rapide de l’organisme. Il était assez bien toléré lorsque le vaccin était administré par voie sous cutanée, seules quelques personnes présentaient des petites tuméfactions douloureuses sur le site de la piqûre. Les laboratoires concernés ont alors recommandé, dans le début des années 1990, d’injecter les vaccins par voie intramusculaire, ce qui semble déclencher un processus auto-immun chez les sujets prédisposés."

 

 

« Actuellement il est prudent de ne pas vacciner une personne présentant ou ayant dans sa fratrie une maladie auto-immune

 

"La persistance à long terme des nanoparticules d’aluminium contenues dans les vaccins injectés est maintenant avérée. Un tableau clinique spécifique et invalidant peut être décrit, mais on ignore encore l’évolution de la maladie à long terme. Les nanoparticules semblent capables de migrer en faible nombre du site d’injection musculaire jusque dans le cerveau."

 

"L’émergence de la MFM correspond à la généralisation de la voie intramusculaire pour les vaccinations au début des années 1990."

 

"L’hypothèse d’un lien causal direct entre l’hydroxyde d’aluminium des vaccins et le syndrome de la guerre du Golfe a été testée récemment chez la souris : des effets neurotoxiques cliniques et neuropathologiques nets ont été observés après injection i.m. de doses-équivalentes humaines d’hydroxyde d’aluminium rapportées au poids des animaux."

 

Petrik MS, Wong MC, Tabata RC, Garry RF, Shaw CA. Aluminum adjuvant linked to Gulf war illness induces motor neuron death in mice. NeuroMol Med 2007;9:83-100.

 

"La fatigue est intense parfois invalidante, souvent responsable de l’arrêt de l’activité professionnelle et d’un état dépressif.

Beaucoup de patients se plaignent aussi de troubles cognitifs, de la mémoire, du sommeil, pouvant évoquer un syndrome de fatigue chronique. Pour Authier, la MFM pourrait être une cause possible de syndrome de fatigue chronique [17] et doit être recherchée lorsque ce diagnostic est envisagé (date des vaccinations et BM)."

 

"Parler des risques des vaccinations c’est toujours déclencher des réactions passionnelles et irrationnelles."

 

 

Source: Kinesither Rev 2008; (79): 15-45 (cliquer ICI pour accéder à l'ensemble du dossier publié)

 

Et pour ceux qui sont très exigeants sur la qualité des informations et/ou qui souhaitent aller plus loin sur le sujet, mentionnons également l'incontournable travail du Dr Jean Pilette qui a compilé pas moins de 1700 références bibliographiques sur les dangers de l'aluminium.

VOIR SON DOSSIER "ALUMINIUM ET VACCINS"  CLIQUEZ ICI 

 

 

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 16:44

POUR TOUTE PERSONNE INTERESSEE, TOUTE VICTIME ET SURTOUT POUR TOUS CEUX QUI CONTINUENT D'AFFIRMER BÊTEMENT QUE L'ALUMINIUM VACCINAL EST SANS DANGER:

 

Programme scientifique: ICI

 

 

Pour écouter et voir les interviews des Prs Authier, Gherardi et de l'auteure Virginie Belle ("Quand l'aluminium nous empoisonne), voir ICI

 

 

UN SEUL BEMOL: l'énormité des propos de Virginie Belle sur le squalène, substance d'origine naturelle mais non naturellement administrée (par injection) ce qui change hélas tout de sa toxicité réelle! Car du squalène injecté n'aura pas les mêmes effets que du squalène ingéré!

 

Les véritables raisons de l'OMS et des fabricants en recourant au squalène n'étaient donc bien sûr pas des préoccupations de santé publique mais bien d'ouvrir la voix à des expérimentations de grande échelle afin d'utiliser cet adjuvant, moins connu d'où qu'ils l'espéraient moins sujet à critique pour écouler toujours plus de vaccins à toujours plus de monde, quelque soient les risques du vaccin, son efficacité et la gravité de la "menace" en question.

 

Ce type de naïveté est donc très regrettable mais c'est une attitude très fréquente chez ceux qui creusent un sujet et manquent parfois de vision globale.

 

Ainsi, certains chercheurs intéressants qui avaient trouvé des causes psychologiques pour l'émergence de cas de cancers ont eu la tentation de vouloir expliquer (et solutionner) tous les cas de cancers sous ce seul angle-là, allant parfois même jusqu'à nier l'impact, pourtant certain, que l'alimentation peut avoir à ce niveau.

 

Ici, voilà quelqu'un qui creuse le sujet de l'aluminium et donc, toujours, il y a cette "tentation" de considérer l'aluminium comme le "poison absolu": bien évidemment, c'est un poison mais cela ne veut pas pour autant dire que le squalène ou une autre substance est plus sure.

Attention donc, à ces grandes généralisations où chacun voit midi à sa porte en perdant de vue que ce qui peut être vrai (l'aluminium est un poison, C'EST VRAI; le cancer peut avoir une origine psychologique déterminante, C'EST VRAI, etc), n'exclut pas forcément d'autres vérités (ignorées) de coexister.

 

Les officiels eux, se plaisent à utiliser ce concept d'origine multifactorielle à leur sauce, pour mieux nier les causes qui les dérangent (comme les vaccins, les amalgames dentaires au mercure, etc) et éviter de les investiguer en reportant tout sur des causes, certes qui peuvent être mauvaises mais qui s'apparentent, dans la réalité, à des "causes bouc-émissaires" bien commodes comme par exemple le tabac. Le tabac est très mauvais, c'est certain. C'est une source notoire de cancer et d'autres maladies. Ca a un effet oxydant nocif etc etc

MAIS cette cause bien commode de cancer sert en réalité de paravent pour en occulter bien d'autres comme par exemple la vaccination.

La vaccination qui, en créant un phénomène chronique de type inflammatoire (via l'aluminium ou d'autres adjuvant) fait le lit du cancer.

 

L'Académie de médecine considère, sans rire (il fallait oser, tellement c'est gros!) que seuls 0,5% de tous les cas de cancers sont attribuables à la pollution générale de notre environnement! A la lueur de cet avis, on remarque très nettement ce type d'effet paravent bien commode.

 

 

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15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 15:49

 La « fraude » et le « trucage élaboré » du Dr Wakefield  

(un article de Sylvie Simon)

  

wakefield.png

 

Un vent d’hystérie vient de souffler dans le monde médical à cause de la parution dans le British Medical Journal (BMJ) d’un article destiné à discréditer le Dr Wakefield en l’accusant de « fraude » et de « trucage élaboré », mots repris à l’unisson par les perroquets que sont certains médias français qui reprennent tous les mêmes affirmations sans même les vérifier. Mais ces dernières attaques prouvent bien que l’industrie pharmaceutique devient de plus en plus nerveuse et vulnérable, ce que nous constatons chaque jour.

 

  

ayoubComme le résume bien le Dr David Ayoub, radiologue à Carlinville dans l’Illinois : « Je n’essaie plus de découvrir les éléments qui pourraient prouver que les vaccins provoquent l’autisme. Les preuves abondent… Ce débat n’est nullement scientifique, il est essentiellement politique. »

 

 

 

Nous assistons à présent à une tentative de dernier recours d’une machine de propagande bien huilée pour sauver la politique vaccinale et nier les dégâts que provoquent les vaccins chez des enfants qui, avant la vaccination, étaient en parfaite santé. Dans cette affaire, il faut considérer que le Dr Wakefield n’est qu’un bouc émissaire.

 

Nous avons déjà publié dans ce journal les résultats du procès du Dr Andrew Wakefield qui a osé défier la mafia médicale britannique avec l’aide de centaines de parents d’autistes et n’allons pas les récidiver, mais quelques faits nouveaux demandent une analyse plus poussée.

 

Malgré un procès indigne et des mensonges colportés par de nombreux médias, ce scandale a déclenché une chute spectaculaire du taux de vaccination au Royaume Uni et aux États-Unis. En effet, la majorité des parents anglais qui avaient déjà, et non sans raison, de sérieuses appréhensions concernant les vaccins ont compris les nombreuses manigances des fabricants du vaccin ROR et ont renoncé à cette vaccination, ce qui représente une perte considérable pour le laboratoire. Il fallait donc agir au plus vite pour rétablir la situation et la confiance en Big Pharma. C’est ainsi que  l’article paru dans le British Medical Journal (BMJ) accusant Wakefield des pires forfaits n’est pas arrivé par hasard.

 

Si le Dr Wakefield a fait les frais de cette « affaire », c’est uniquement parce qu’il était devenu trop dangereux pour l’industrie à cause de sa réputation internationale. Membre de l'Ordre royal des chirurgiens depuis 1985, il a reçu le titre prestigieux de « Fellow » du Collège Royal des Pathologistes en récompense de ses travaux. Il enseignait la gastro-entérologie expérimentale à l’école de Médecine du Royal Free Hospital, tout en poursuivant des recherches sur la maladie de Crohn.

 

 

VACCIN ROUGEOLE-copie-1

 

 

En février 1998, il a publié, avec 12 autres médecins, la fameuse étude sur des enfants autistes qui présentaient des troubles neurologiques associés à des troubles intestinaux, ce qui pouvait évoquer la possibilité d'un lien entre ces inflammations de l’intestin, l’autisme et le vaccin ROR. Le Dr Wakefield s’est alors contenté de conseiller l’arrêt immédiat de la triple vaccination jusqu'à plus amples recherches, ce qui provoqua immédiatement la protestation massive des autorités sanitaires britanniques.

 

Wakefield et ses collègues n’étaient pas les premiers à établir un lien entre le vaccin et les désordres intestinaux — on ne parlait pas encore vraiment d’autisme — et nombre de publications abondaient dans le même sens, venant des États-Unis, d’Italie et du Venezuela, mais sans aucun impact officiel.

 

Or, depuis 1991 donc bien longtemps avant cette publication, environ deux mille familles avaient déjà porté plainte contre les laboratoires et le gouvernement au sujet de ce vaccin l’accusant de générer des dommages cérébraux dont souffrent leurs enfants.

 

Sur les conseils de leurs pédiatres, certains parents ont alors contacté le Dr Wakefield pour les symptômes gastro-intestinaux des enfants, ce qui a permis à Richard Horton, l’éditeur du journal le Lancet, de déclarer en février 2004, six ans après la parution de l’étude, que le Dr Wakefield et son équipe n’avaient pas respecté l’éthique au sujet de cette étude, sous le prétexte que le Royal Free Hospital dans lequel travaillait le gastro-entérologue a reçu des fonds pour cette recherche. Or, les fonds donnés par le Legal Aid Board n’ont jamais été utilisés pour l’étude parue en 1998, ce qui prouve bien qu’il n’existait aucun conflit d’intérêts dans cette affaire, d’autant que les 55 000 livres incriminées n’ont profité qu’au Royal Free Hospital, que le Dr Wakefield n’en a pas touché un centime et, de surcroît, que ces fonds étaient destinés à une étude entièrement indépendante de celle qui a été publiée par le Lancet.

 

Après la parution de l’étude en 1998, l’affaire devint tellement préoccupante pour le gouvernement britannique, très impliqué dans la promotion du vaccin, qu’il s’activa à désinformer les citoyens et, en  décembre 2001, le Dr Wakefield fut prié de donner sa démission à cause de ses travaux sur l’autisme et le ROR.

 

Fort heureusement, tandis que dans son propre pays il était victime d’une véritable chasse aux sorcières, il put s’installer aux États-Unis, où il poursuivit ses travaux au centre de recherches Thoughtful House Center for Children à Austin, au Texas, qui traite des enfants venus du monde entier et qui présentent les symptômes de l’autisme. Wakefield a été directeur exécutif de cet organisme jusqu'en février 2010, où il a démissionné après la publication des  conclusions de l’enquête menée par le British Medical Général Council, qui correspond à notre Conseil de l’Ordre des médecins.

 

Les accusations qui ont provoqué cette enquête avaient été lancées par le journaliste Brian Deer, qui a déclaré devant témoins que son but était de « détruire le médecin ». Au moins, à ce sujet, cet individu n’a pas menti.

 

C’est alors que plusieurs cosignataires de l’étude menée à la Royal Free Medical School ont retiré leurs noms de la publication sous le prétexte qu’ils ne voulaient pas « ajouter d’huile sur le feu ». Il est manifeste qu’ils ont été menacés, sinon comment expliquer que des médecins qui participent à une étude et la publient changent tous d’avis au même moment, des années plus tard, alors que des pressions s’exercent à tous les niveaux pour occulter une vérité qui gêne bien des pouvoirs, tant politiques que scientifiques ?!

 

Le 22 février 2004, le Daily Mail nous prévenait : « La satanisation du Dr Wakefield, qui a commencé bien avant ces récentes péripéties, doit nous rappeler d’autres accidents infligés par les escadrons de la mort du Gouvernement. » Et dans cet article, le journaliste Stephen Glover conseillait : « Surveillez le Dr Wakefield. Je soupçonne que sa longue déstructuration, orchestrée par le ministère de la Santé, ne fait que commencer. »

 

Il est évident que ce médecin, défenseur des malades et qui n’a pas su courber l’échine devant la dictature médicale, était depuis fort longtemps une épine dans le pied du gouvernement travailliste et Stephen Glover ne s’est pas trompé dans ses « prévisions ».

 

La preuve de la collusion

 

À la même époque, et après bien des péripéties rocambolesques, la date du procès intenté par les victimes avait été fixée au mois d’octobre 2003 devant la Haute Cour de Justice de Londres, puis reportée au début de 2004. Mais, après quatre ans et demi d’enquête et quelques mois avant le procès, la commission d’attribution d’assistance judiciaire aux familles des victimes du vaccin a annoncé sa décision de supprimer sa contribution aux 2 000 victimes, sous le prétexte que la recherche médicale n’avait pas encore prouvé un lien effectif, qu’il restait peu de chance d’y parvenir et que ce n’était pas son rôle de financer la recherche. D’aucuns ont pensé qu’il ne s’agissait, évidemment, que d’une malheureuse « coïncidence ». Cependant, au cours des différentes auditions publiques, un parent témoigna qu’un officiel avait admis que l’aide avait été retirée sous la pression du gouvernement. 

 

Ainsi, le 27 février 2004, le juge Sir Nigel Anthony Lamert Davis, qui présidait la commission de retrait de l’assistance judiciaire, la retira aux plaignants, mais ce n’est qu’en mai 2007 que nous avons appris que le juge s’était bien gardé de signaler qu’il était le frère de Sir Crispin Davis, alors Directeur exécutif de Reed Elsevier, propriétaire du Lancet. Or, en 2003, Sir Crispin Davis a été nommé Directeur non-exécutif de la firme Glaxo SmithKline, fabricant anglais du vaccin ROR. Il est évident que si son frère avait annoncé cette collusion lors de sa décision, elle aurait été considérée de manière bien différente. En 2007, les parents furieux ont déposé une plainte contre le juge Davis, car, comment pourrait-on croire une seule seconde que le juge n’a pas été influencé par son frère lorsqu’on analyse minutieusement le déroulement de la situation ?

 

Commentaire du journal Evening Standard, le 9 mai 2007 : « Vous pourriez penser que le juge chargé de juger s’il existe un lien entre le vaccin ROR et l’autisme aurait déclaré que son frère était un des directeurs de GSK fabricant du vaccin. Mais vous auriez tort. »

 

Tous les parents ont été choqués par ce procédé, tous affirment que leurs enfants, à présent autistes, étaient parfaitement normaux avant l’injection et demandent : « Si le vaccin n’est pas responsable, qui l’est ? ». Et le 9 juin 2004, le Journal of American Physicians and Surgeons publiait de nouvelles observations concernant la présence du virus de la rougeole dans les intestins des enfants victimes d’autisme régressif, tous vaccinés peu de temps avant l’apparition des troubles, et tous indemne du virus avant la vaccination. Traînera-t-on un jour ce journal devant les tribunaux ?

 

Jennifer Horne Roberts fait partie des dix mères qui ont constitué une association et qui persistent désespérément à se battre pour leurs enfants autistes. Elle s’est adressée à la Haute Cour le 24 juillet 2006 : « L’action qui est entre les mains de la Cour européenne est dirigée contre le Royaume-Uni. Nous estimons que le rôle du gouvernement britannique dans l’affaire du ROR est parfaitement inacceptable. C’est l’un des plus grands, sinon le plus grand scandale de l’histoire médicale qui affecte des dizaines de milliers d’enfants dans ce pays. D’après la dernière estimation, plus d’un enfant sur cent est à présent autiste. Il doit y en avoir des millions à travers le monde. »

 

John Stone, père d’un enfant atteint d’autisme régressif après la vaccination, a publié un bref rappel des faits qui résume bien toute l’affaire et plante en quelques mots le décor du drame.

 

« En juillet 2003, le propriétaire du Lancet, Crispin Davis devient le directeur non-exécutif de Glaxo SmithKline, fabricant du vaccin. En février 2004, sous de fallacieuses raisons, le Lancet rejette la publication d’Andrew Wakefield, qui est traîné dans la boue par la BBC et le Sunday Times. Le 27 février 2004, son frère, le juge Davis retire l’assistance judiciaire des plaignants. En juillet 2004, Crispin Davis, frère du juge, est anobli par le gouvernement de Tony Blair. »

 

Il faut aussi considérer que James Murdoch, fils du multimilliardaire Rupert Murdoch, qui possède un véritable empire médiatique d'ampleur mondiale, dont The Sunday Times, a été engagé par Sir Crispin Davis pour rejoindre le groupe GlaxoSmithKline. Cet exemple est typique de l’enchaînement des faits graves constatés dans la controverse sur l’autisme et les vaccins.

 

Toutes ces turpitudes prouvent bien la crainte des pouvoirs publics et des associations qui soutiennent les mensonges et les exactions des lobbies pharmaceutiques. Et ce sont ces gens qui osent critiquer « le manque d’étique » de Wakefield qu’ils n’ont jamais pu réellement prouver. 

 

Les dernières munitions de Big Pharma

 

Voyant que son bateau prend l’eau de toute part, l’industrie pharmaceutique n’a pas hésité à utiliser les armes les plus viles, les plus honteuses pour essayer de gagner leur guerre pour le profit.

 

La dernière attaque du journaliste Brian Deer, publiée le 6 janvier 2011 par le British Medical Journal a été reprise à l’envi par la plupart des médias en France. Il est important de signaler aux médias français que leurs collègues britanniques, scandalisés par ce battage indécent, se sont abstenus de tout commentaire à part les deux journaux en cause, et que Deer, malgré ses efforts désespérés, n’a pu obtenir d’être interviewé par la BBC.

 

Le British Medical Journal a accusé Wakefield d’avoir falsifié de nombreux faits concernant l’historique médical des patients. Tous les moyens sont bons et, comme le précise le bon sens populaire : « Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage. » Si l’on veut analyser la situation, il suffit de garder un peu de ce bon sens qui disparaît chaque jour davantage.

Tout d’abord, la publication était signée par 12 autres spécialistes du Royal Free Hospital, et non par Wakefield seul, ce qui revient à prétendre que les 12 médecins engagés dans cette étude n’étaient que des hommes de paille ou des imbéciles, manipulables à souhait et qui n’ont pas réfléchi avant de publier leurs travaux. Ensuite, qui peut croire qu’il est si facile de falsifier des données médicales officielles, même et surtout pour des praticiens travaillant avec ces malades ? C’est simplement impossible. Ces données, qui portaient sur plusieurs années, ne venaient pas des praticiens du Royal Free hospital mais de médecins répartis dans tout le pays et des familles d’autistes. En outre, les constats cliniques de l’hôpital n’ont pas été recueillis par Wakefield mais par le Pr John Walker Smith, un autre gastroentérologue internationalement réputé et honoré, qui a été critiqué lui aussi et de manière odieuse par la Haute Cour.

 

En outre, tous les accusateurs ont trouvé « normal » que Deer ait toujours refusé de dévoiler ses sources sous le prétexte de préserver la confidentialité de ses informateurs, alors que l’éthique scientifique réclame précisément la justification et le détail des travaux utilisés en toute indépendance et objectivité. Entre autre, l’association ChildHealthSafety a défié Deer de prouver ses allégations de « fraude » et Deer n’a jamais encore daigné répondre. Il faut dire qu’il aurait du mal à le faire. Le 13 janvier 2009, le Daily Mail signalait que le gouvernement anglais refusait l’accès de documents confidentiels qui pourraient prouver la dangerosité du vaccin ROR, alors que ces pièces devraient être libres d’accès dans l’intérêt public.

 

Autre fait scandaleux, au cours du procès aucun parent n’a été autorisé à témoigner et à rejeter des accusations qu’ils savaient totalement erronées, alors que Brian Deer s’est permis d’attaquer ces familles, les accusant d’avoir inventé de fausses informations sur la maladie de leurs enfants. Il est révoltant que personne n’ait accordé la moindre attention aux parents, alors que des milliers de familles ont vécu le même drame et « savent » que la régression de leur enfant s’est produite tout de suite après l’injection du vaccin. C’est du reste pour cette raison que les Pouvoirs publics ont refusé de leur donner la parole, de même qu’ils ont refusé aux parents l’accès à des documents en rapport avec le procès, malgré la loi sur la liberté de l’information, sous le prétexte qu’ils étaient confidentiels. Mais les lois ont rarement été aussi bafouées qu’au cours de ce procès régalien.

 

Clifford G. Miller, avocat auprès de la Cour suprême du Royaume-Uni, a fait remarquer combien il était curieux que le Sunday Times ait choisi de publier les accusations de Deer au moment des auditons de GMC et pendant la campagne du Gouvernement travailliste pour inciter à rendre obligatoire cette vaccination pour tous les enfants anglais, malgré les études médicales qui mettent en évidence les dangers de ce vaccin. « C’est une question de santé pour tous les enfants anglais — ni plus ni moins. Ou bien le Sunday Times considère-t-il qui peut se poser en juge, jury et bourreau, sans procès, audition de témoins, et droit de réponse ? Il est temps d’établir des règles pour les droits de la presse. »

 

Tout cela est bien compréhensible car, comme l’indique Barbara Loe Fisher, Présidente du NVIC (National Vaccine Information Center) : « L’inquisition du Conseil Général Médical n’a jamais eu comme cible les trois médecins qu’ils ont mis au pilori et trouvés coupables sur la plupart des points. Leur objectif a toujours été d’innocenter à n’importe quel prix la politique vaccinale tout en donnant un sérieux avertissement à tout jeune médecin qui pourrait penser faire des recherches et des commentaires sur une meilleure définition des risques vaccinaux, l’invitant ainsi à réfléchir à deux fois pour finalement l’amener à fermer sa gueule et saluer poliment. »

 

Le Dr Richard Halvorsen, médecin au Centre Médical Holborn à Londres, qui a participé à l’étude du groupe Cochrane sur le ROR est catégorique : « Les études sur la sécurité du vaccin ROR sont des “merdes” (sic). Ce sont les plus grosses que j’ai jamais entendues, mais elles restent des “merdes” ».

 

Le vaccin est-il innocenté pour autant ?

 

Après ces accusations de mensonges, de « fraude » dans la publication de l’étude, alors qu’on crie sur les toits que le vaccin sort blanchi de cette triste histoire, comment se fait-il que le gouvernement des États-Unis persiste à admettre que le ROR peut provoquer l’autisme, que la Cour fédérale de justice continue de verser des dommages intérêts aux autistes victimes du vaccin, et que de très nombreuses études publiées dans de prestigieux journaux médicaux confirment les travaux de Wakefield et de ses collègues sur l’autisme ?

 

Le 24 février 2009, Robert F Kennedy Jr révélait dans le Huffington Post qu’une importante enquête menée par CBS News avait mis à jour 1 322 cas d’effets neurologiques graves, dont l’autisme, engendrés par ce vaccin, qui ont déjà été dédommagés par les tribunaux depuis 1988 pour des sommes dépassant parfois le million de dollars. Les laboratoires ont déjà payé environ 2 milliards de dollars en dommages intérêts aux parents des enfants qui, aux États-Unis, ont souffert  des effets secondaires de vaccins comme le ROR.

 

Nous retrouvons ici le même comportement que celui des instances officielles françaises qui ont dédommagé en silence des victimes pour les dégâts causés par le vaccin de l’hépatite B, tout en persistant à nier qu’il existe des problèmes.

 

Puisque le ROR sort officiellement « blanchi de l’affaire Wakefield » comment va-t-on expliquer pourquoi, en 2008, le gouvernement américain a admis que des vaccins pouvaient être responsables de l’état d’Hannah Poling qui fut diagnostiquée comme autiste après avoir reçu neuf vaccins le même jour et a accepté de dédommager sa famille ? Le Department of Health and Human Services a admis devant la Cour fédérale que l’autisme a été causé par des altérations de la structure mitochondriale, maladie rare qui peut ne pas se révéler durant des années. Ce cas a fait grand bruit aux États-Unis, tous les journaux et chaînes de télévision l’ont signalé à la Une, mais le silence est resté total en Grande-Bretagne comme en France bien évidemment. Mais le cas d’Hannah est loin d’être un cas isolé et son disfonctionnement mitochondrial n’est pas tellement rare car d’autres cas ont été signalés.

 

Comment va-t-on expliquer qu’en février 2009, la Cour fédérale a accordé 810 000 dollars de dommages intérêts à la famille de Bailey Banks, enfant de dix ans, plus une somme qui pourrait varier de 30 à 40 000 dollars pour ses soins. Le jugement, qui date de juin 2007, stipule que c’était bien le ROR qui est responsable de cet état.

Comment justifier les 4 500 procédures en justice qui concernent ce vaccin et sont en attente aux États-Unis depuis le début des années 2000 ? Que vont devenir les 2000 familles anglaises qui ont été déboutées de leur plainte concernant ce vaccin ? Certaines mères ne comptent pas en rester là.

Pourquoi 2 000 familles ont-elles reçu des dédommagements qui, pour chacune, s’élevait à 850 000 dollars, et pourquoi environ 7 000 familles ont intenté un procès pour dommages et intérêts à la suite des effets secondaires des vaccins subis par leurs enfants ?

 

Il faudra bien, un jour ou l’autre, répondre à ces questions.

 

Le journaliste américain David Kirby a remarqué que les Tribunaux accordent plus facilement des compensations si les avocats appellent l’autisme d’un autre nom, comme l’Adem (acute disseminated encephalomyelitis) qui est un désordre neurologique caractérisé par l’inflammation du cerveau et qui peut mener à la PDD (Pervasive Developmental Delay), c’est-à-dire un retard comportemental. Ainsi, cette appellation permet de répéter que le ROR n’est pas relié à l’autisme.

Et David Kirby demande quelle est l’importance du diagnostic d’autisme ou de désordre cérébral pour ceux qui savent que leur enfant ne sera peut-être plus jamais normal à cause du vaccin : « Robert Kennedy Jr et moi-même, aimerions pouvoir rassurer les parents en disant que le programme national de vaccination est 100 % inoffensif pour tous les enfants, et qu’aucune évidence ne permet de relier l’autisme aux vaccins. Mais c’est faux. »

 

Une pandémie d’autisme indéniable

 

Il est certain que l’industrie pharmaceutique, le Sunday Times et le gouvernement britannique, qui a tellement prôné cette vaccination, ont tout fait pour ne pas perdre « leur procès » devant le GMC, d’autant que cette affaire a pris une importance internationale et que leur « victoire » va être utilisée par les défenseurs du vaccin pour en prouver l’innocuité.

 

Quoi que puissent faire les laboratoires, des études de plus en plus nombreuses à travers le monde démontrent qu’il existe un lien très significatif entre l’autisme régressif et les vaccins. Et ce lien est confirmé sur le terrain par les témoignages de plus en plus fréquents de parents dont les enfants ont montré une régression immédiate après l’injection de vaccins. En quelques jours, parfois quelques heures, des enfants bien portants, se développant normalement, se comportent de manière inquiétante et présentent de graves problèmes psychologiques. « L’évidence que les vaccins sont étroitement liés à l’augmentation de problèmes cérébraux augmente chaque jour, mais les agences gouvernementales ne font rien pour le reconnaître », affirme le Républicain Dan Burton, membre du Congrès américain.

 

Il ajoute : « J’espère que quelqu’un posera un jour la bonne question : “existe-t-il une collusion entre les compagnies pharmaceutiques et les agences de santé ?” Apparemment, dans de nombreux cas, il y en a. » Il est certain que ce problème n’est pas réservé aux États-Unis et se pose dans le monde entier.

 

En 1987, il y avait un autiste sur 2000 enfants, alors qu’on en trouve actuellement un sur 100 aux États-Unis et un sur 64 au Royaume-Uni. En France, nous sommes dans l’opacité la plus totale. Les Pouvoirs publics sont incapables d’expliquer ce phénomène, comme ils ne peuvent expliquer pourquoi il n’y a pas d’autistes chez les Amish qui ne vaccinent pas. Autre particularité : le Homefirst Health Services de Chicago, association de médecins fondée en 1973, a un point commun avec les Amish : les enfants ne sont pas vaccinés et ne sont jamais autistes. Le Dr Mayer Eisenstein, directeur médical de l’organisation, constate : « Depuis des années, nous avons suivi 30 à 35 000 enfants depuis leur naissance, et nous n’avons pas rencontré un seul cas d’autisme parmi les enfants qui n’ont jamais reçu de vaccin. »

 

Nous avons déjà signalé cette « coïncidence » qui aurait dû provoquer certaines interrogations, mais aucune « instance de santé » n’a jamais voulu se pencher sur la question, car si l’on parvient à démontrer que les vaccins sont susceptibles de provoquer l’autisme, non seulement cela changerait les données de la responsabilité médicale et commerciale, mais un énorme marché de médicaments utilisés dans le traitement de l’autisme risquerait de disparaître. Ces médicaments représentent une manne pour l’industrie pharmaceutique, qui fabrique également les vaccins et se lavent les mains des effets secondaires. Or, sans Andrew Wakefield, l’information sur le ROR et l’autisme régressif aurait probablement été reléguée aux oubliettes.

 

Comme l’a si bien résumé dans le Philadelphia Inquirer le Dr Paul Offit, ardent défenseur des vaccins, financé par le laboratoire Merck autre fabricant du vaccin ROR, et propriétaire de la licence d’un autre vaccin : « Peu importe que Wakefield ait fraudé, la seule chose qui compte est qu’il se soit trompé ».

 

Mais il est indéniable que le Dr F. Edward Yazbak, neurochirurgien et Directeur du centre de Recherche sur l’autisme dans le Massachusetts, qui a 37 ans de pratique pédiatrique aux États-Unis et a publié des articles percutants sur le sujet dans le British Medical Journal et le Journal of American Physicians and Surgeons, aura le dernier mot lorsqu’il annonce : « C’est un fait certain que tôt ou tard Andrew Wakefield sera innocenté, sa théorie sera acceptée et la relation entre l’autisme et la vaccination sera démontrée. »

 

Sylvie Simon

Ses derniers ouvrages sur le sujet :

Vaccins, mensonges et propagande,

Votre santé n’intéresse que vous.

 

 

 

NE MANQUEZ PAS UN DOCUMENTAIRE DE QUALITE(en anglais) SUR L'AFFAIRE WAKEFIELD, AVEC LE TEMOIGNAGE DE DIVERS PARENTS.... BOULEVERSANT!

 

Voir ICI

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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 12:18

Jeune garçon de 12 ans arrêté par la police pour avoir refusé la vaccination à l’école

 

Christina England, 3 décembre 2010

 

 

La semaine dernière un enfant de 12 ans a été accusé de « comportement menaçant » à l’école qu’il fréquentait à Bowmanville (Toronto). L’enfant fut arrêté alors qu’il piquait une colère parce qu’il refusait de se faire vacciner contre l’hépatite B.

Le journal National Post rapporta que la police avait été appelée à l’école parce que le garçon menaçait de faire des dégâts. Il convient cependant de regretter que l’article du journal n’ait pas donné la raison pour laquelle le garçon avait refusé le vaccin et avait piqué une colère.

 

[…]  D’après le rapport il semble bien que l’on puisse administrer ce vaccin aux enfants à l’école, mais il n’est nullement précisé qu’un enfant ait le droit de refuser le vaccin. Le fait d’avoir appelé la police à l’école faisait implicitement passer aux autres enfants le message qu’il n’était pas question pour eux de refuser le vaccin. (Extrait) 

                                                                                            

 

 http://vactruth.com/2010/12/03/police-arrested-twelve-year-old-boy-for-refusing-vaccine-at-school/

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 00:45

 

 ALEXANDER GONCHAROV

 

 

  

UN MILITANT RUSSE DISPARAIT APRES AVOIR DEVOILE DES PLANS DE VACCINATIONS POUR LA RUSSIE, L’UKRAINE ET LE BIELORUSSIE

 

 

 

7 Novembre 2010, Declan O’Shea

 

 

 

Alexander Goncharov, un militant russe qui a dévoilé le programme mondialiste d’eugénisme et en particulier un programme de vaccinations qui devrait débuter en 2011, a disparu après avoir récemment reçu des menaces de mort.

 

Il est porté disparu depuis la nuit du 30 octobre 2010. Il était environ 22 heures quand il a été vu pour la dernière fois alors qu’il quittait son bureau à la Société Russe de Bienfaisance. Il n’est jamais rentré chez lui comme il était prévu.

 

Alexander Goncharov avait fait le serment de diffuser autant d’informations que possible sur le programme d’eugénisme des mondialistes destiné aux professionnels de santé comme au public.

 

Il avait découvert un plan destiné à stériliser les femmes par des programmes de vaccinations en Russie, en Ukraine et en Biélorussie

 

Comme il venait, le même jour, d’être menacé de mort, il avait demandé protection auprès d’amis parachutistes. Malheureusement cette aide ne lui parvint pas suffisamment tôt, car il disparut la nuit même.

 

 

Ci-dessous la dernière déclaration d’Alexander Goncharov rédigée le 22 octobre 2010

 

Moi, Alexander Goncharov, Président de la Société Russe de Bienfaisance, déclare avoir reçu des informations de médecins honnêtes qui ne voulaient en aucun cas prendre part au MEURTRE de concitoyens, ni aux préparatifs envisagés pour LA DESTRUCTION MASSIVE D’ENFANTS, sous le prétexte d’un « nouveau vaccin », prévu pour le début de 2011.

 

Je ne puis confirmer ou infirmer cette information ou me porter garant de la crédibilité de cette information. Je demande en conséquence à tout un chacun de bien vouloir vérifier personnellement la chose.  « Une personne » qui avait  pu découvrir que je possédais cette information, m’a d’abord offert de l’argent pour me faire taire et m’a menacé de mort si je continuais à divulguer cette information sur le MEURTRE de nos enfants. J’ai rejeté cette « proposition » car je n’accepterai jamais la destruction délibérée de mon propre peuple – J’estime avoir un devoir sacré envers ma patrie, en accord avec la Constitution de la Russie. Je connais aussi le pouvoir que possèdent les ennemis de notre peuple et je me suis juré de diffuser les informations concernant le MEURTRE DES ENFANTS EN RUSSIE. Je vais faire circuler cette information par tous les moyens possibles.

 

Je fais tout spécialement appel au personnel du Ministère, ainsi qu’au Service Fédéral de Sécurité pour qu’ils prennent en compte mon appel et puissent lire ma correspondance – ILS VEULENT TUER VOS ENFANTS. C’est pourquoi, il vous reste ce choix : celui de tout mettre en œuvre pour sauver votre peuple ou alors préparer les petits cercueils de vos propres petits-enfants.

 

 

 

CE QUI SUIT VOUS PRENDRA DEUX MINUTES DE LECTURE ET POURRA SAUVER LA VIE DE VOS PETITS ENFANTS.

 

 

Les vaccinations sont de deux types : 

 

1. La vaccination destinée aux filles de 12 à 20 ans.

 

Cette dernière sera présentée comme pouvant prévenir le cancer du sein ou le cancer en général.

Cette vaccination ressemble à celle qui a été mise au point pour stériliser les filles au Mexique, au Nicaragua et en Irak.

 

EFFETS SECONDAIRES

 

 Provoque des fausses couches à 3 ou 4 mois de la grossesse .Outre les effets directs de la vaccination, cette dernière peut aussi avoir un important impact psychique vu que de nombreuses fausses couches en fin de grossesse sont susceptibles de créer peur et panique chez les femmes à l’idée de tomber à nouveau enceintes.

 

2. La vaccination destinée aux femmes de plus de 45 ans.

 

CONTENU

Immunoglobulines et produits OGM

 

EFFETS SECONDAIRES

 

Brusque excitation sexuelle, augmentation de l’immunité pour une période de 2 à 5 ans, mais ensuite forte chute jusqu’à ce que l’immunité soit totalement anéantie, ce qui veut dire qu’à ce moment le corps ne pourra plus lutter contre la moindre infection.

 

Président de la CBR

 

 

 

 

 

GEORGIA GUIDESTONES   (Wikipedia)

6 blocs de granit, d'environ 6 m de haut, pour approximativement 110 tonnes, affichent un message en plusieurs langues.                                                                                                       

 Dix commandements sont gravés sur les deux faces de 4 pierres érigées verticalement. Ils sont écrits en 8 langues différentes : l'anglais, le russe, l'hébreu, 'arabe, l'hindi, le chinois (mandarin), l'espagnol (castillan) et le swahili

1er commandement inscrit:

 

 "Maintenir l'humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature"…

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 23:05

Petit exercice -jamais superflu- et question incontournable:

 

SAVEZ-VOUS DECELER LA PROPAGANDE LA OU ELLE SE TROUVE?

 

Voyons ici EN QUOI ce reportage est tout à fait malhonnête et peu objectif:

 

NEANT/ VIDEO supprimée!

 

 

  NB: vous ne trouverez plus cette vidéo postée sur Youtube par Expovaccins car TF1, à qui nous avions écrit, a demandé à Youtube la suppression de la vidéo pour enfreinte au Copyright...  Il est intéressant de rappeler, à ce sujet, que des milliers d'autres vidéos téléchargées sur youtube concernent des extraits de JT et que celles-ci ne sont pas pour autant supprimées! On peut donc se demander si TF1 aurait agi de même si le titre avait été "Extrait de JT de TF1 sur la vaccination rougeole" ou son titre original, mais scientifiquement discutable, "ROUGEOLE: comment se protéger?"? C'est une question qui semble particulièrement légitime quand on songe par exemple au fait que cette même chaîne avait aussi demandé le retrait d'une vidéo postée sur Youtube par le collectif Torapamavoa et intitulée "TF1 & LCI écartent les dérapages de Sarkozy du net." L'évocation sélective et partiale de cette notion d'"enfreinte au Copyright" ne dupera donc pas grand monde. Ce type de suppression a donc, in fine, encore + d'effets positifs que négatifs sur la "démocratie" car c'est une sorte d'électro-choc qui permet de se rendre compte ce que les médias veulent cacher au public et, au travers de cela, qui ces médias servent-ils vraiment...

 

 

ATTENTION! Les médias, qui ont apporté depuis longtemps la preuve de leur manque récurrent d'objectivité, en remettent une couche avec la vaccination contre la rougeole.

 

AU PROGRAMME, comme d'habitude et comme pour la promotion de tout vaccin quel qu'il soit: LA PEUR.

 

Alors que cette maladie infantile est bénigne sur un plan statistique et que des professeurs de médecine, tel le Pr Bastin déclaraient même en France AVANT l'arrivée du ROR que "la rougeole mérite pleinement son appellation de maladie bénigne", il s'agit maintenant pour les officiels de santé d'essayer à tout prix de persuader la population de se faire vacciner.

 

La rougeole, rappelons-le, constitue une des maladies infantiles utiles à la maturation du système immunitaire. La Nature étant bien faite, il faut savoir que faire la rougeole dans l'enfance constitue une protection naturelle contre l'asthme, les allergies et même le cancer de la peau.

 

Il est vrai que dans de rares cas, cette maladie peut se compliquer avec des manifestations pulmonaires ou neurologiques (encéphalites, panencéphalite subaiguë sclérosante) MAIS il convient de se rappeler que la vaccination elle aussi peut se solder par des complications neurologiques graves voire définitives et qu'elle aussi peut entraîner tardivement ou non le développement de la panencéphalite subaiguë sclérosante comme semble l'avoir oublié le Pr Bricaire dans le reportage ci-dessus.

 

Pourquoi? Parce que TOUS LES VACCINS, QUELS QU'ILS SOIENT peuvent entraîner de graves complications neurologiques et même le décès.

 

Ainsi, il est bon de savoir que le 24 octobre 2010 encore, le très célèbre journal anglais "The Sunday Times" faisait état de 40 décès d'enfants suite à des vaccins infantiles comme le ROR ainsi que des dizaines de cas de complications neurologiques IRREVERSIBLES.


C'est ainsi que le gouvernement britannique a par exemple été forcé d'indemniser un jeune homme devenu attardé mental après sa vaccination par le ROR....

 

 

Ces complications, bien entendu, n'ont pas été révélées spontanément au public par les officiels de santé, NON! Il a fallu la ténacité et la détermination d'un journaliste intègre pour exiger ces informations en vertu des règles sur le droit à l'information:

 

Mais ce que les officiels de santé ne vous disent pas non plus c'est que MEME VACCINES, VOUS OU VOS ENFANTS POUVEZ ENCORE MALGRE TOUT ATTRAPER LA MALADIE, Y COMPRIS SES CONSEQUENCES LES PLUS GRAVES ET LES PLUS RARES......

 

Les chiffres des épidémies de rougeole, malgré de très hautes couvertures vaccinales démontrent toute l'absurdité des arguments des officiels: ceux-ci prétendent en effet qu'il faut au moins 85% de couverture vaccinale pour stopper l'éclosion des cas. Voici à présent, ce qu'il en est en réalité, sur base de différentes données scientifiques et factuelles:

 

 

- En 1976 aux USA qui vaccinent massivement alors contre la rougeole, épidémie avec 55000 cas parmi lesquels un pourcentage important de vaccinés (Nursing Times, 14 déc 1978).

 

- Après la vaccination obligatoire de 1982 dans différentes états, en 1983 recrudescence des cas d'où que l'OMS considère même que LE RISQUE DE CONTRACTER LA ROUGEOLE EST 15 X PLUS IMPORTANT CHEZ LES VACCINES QUE LES NON VACCINES (Véronique Tissières, journal belge Le matin, éd nationale 8 déc 1987)

 

- Le Pr Mendelsohn, pédiatre et spécialiste en médecine préventive a dit "Depuis 30 ans qu'on vaccine aux USA contre la rougeole, les épidémies n'ont pas baissé, 8% des vaccinés font la rougeole, 10% des adultes de + de 20 ans avec des formes + graves et la mortalité par rougeole a été multipliée par 25 depuis ces campagnes vaccinales".

 

- p. 147 du livre "Vaccination, l'overdose" de Sylvie Simon: En résumé, aux Etats-Unis, la rougeole EST EN CONSTANTE AUGMENTATION DEPUIS LES VACCINATIONS (cf. Arch Intern Med, 1994). "LES ROUGEOLES ONT ETE 18X + NOMBREUSES AUX USA EN 1990 (27672 CAS) QU'EN 1983, MALGRE UNE VACCINATION SYSTEMATIQUE CONTRE LA MALADIE DEPUIS 1978. AINSI, 18 EPIDEMIES ONT ETE RECENSEES PARMI LES POPULATIONS SCOLAIRES TRES IMMUNISEES (71% A 99,8%) ET PAS MOINS DE 77% DES ROUGEOLES DECLAREES SONT APPARUES CHEZ DES ELEVES VACCINES. L'ECHEC D'UNE VACCINATION PRESCOLAIRE SE TRADUIT DONC PAR UNE TRANSFORMATION PARADOXALE DE LA ROUGEOLE EN MALADIE DES VACCINES" Ce constat alarmant a été publié en 1995 par les laboratoires Smith Kline Beecham pourtant fabricants de vaccins, dans Vaccine Action n°1 (p995)

 


- p 148 de "Vaccination, l'overdose" de Sylvie Simon , éd Déjà:"En 1986, au Canada, le nombre de rougeoles était sept fois plus élevé qu'en 1985. Sur 5575 cas étudiés, 60% concernaient des sujets bien vaccinés, 28% des sujets non vaccinés, la situation vaccinale des 12% restant inconnue."" La Suède avait abandonné ce vaccin dès 1970 et l'Allemagne dès 1975. Le ministre allemand de la Santé avait déclaré à l'époque: "SON EFFICACITE MEDICALE N'EST PAS PROUVEE, TANDIS QUE SA TOXICITE EST DEMONTREE."

 

 

 

Ci-dessous, vous pouvez voir, sur base des chiffres du comité américain des vaccinations (ACIP, American Committee for Immunization Practices)l'inefficacité du vaccin ROR, même quand 2 doses sont administrées, en ce qui concerne les oreillons, une des 3 maladies contre lesquelles le vaccin ROR est censé "protéger". Les chiffres sont éloquents:

 

  ROR échec

 

 

 

 

N'oubliez pas non plus que la circulation naturelle du virus constitue un rappel naturel de bien plus grande qualité pour les gens déjà vaccinés qu'un Xième rappel d'une vaccination qui elle, est ARTIFICIELLE. Si la circulation virale diminue trop, les gens contracteront cette maladie d'enfance plus tard à un âge où les complications graves seront plus fréquentes et de plus, les femmes en âge de procréer n'auront plus suffisamment d'anticorps à transmettre au bébé pour le protéger quand il est de toute façon trop petit pour être vacciné.

 

 

 

Les effets secondaires du vaccin ROR incluent l'autisme, une maladie gravissime qui est en pleine explosion depuis qu'on vaccine tant.... Personne n'est épargné: ainsi, le fils de l'actrice américaine Jenny Mc Carthy, compagne de l'acteur Jim Carrey est-il devenu autiste peu après avoir reçu le vaccin ROR. Pour aider ces enfants et leurs parents, elle a fondé l'association Generation Rescue.

 

En France, il faut savoir que le footballeur Jean-Pierre Papin a fondé l'association "9 de coeur" suite au cas de sa fille Emily, atteinte de graves lésions cérébrales et qui avait elle aussi reçu le vaccin ROR. 

Suite à cela et ne pouvant exclure le lien avec le vaccin, lui et son épouse ont décidé de ne plus faire faire ce vaccin à leurs autres filles plus jeunes....

 

 

POUR MIEUX S'INFORMER SUR LES EFFETS SECONDAIRES GRAVES DU VACCIN ROR QUE LES MEDECINS IGNORENT, MINIMISENT OU NIENT, cliquez ICI

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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 19:25

27 octobre 2010

 

40 enfants sont morts après une vaccination de routine comme le ROR (= rougeole-oreillons-rubéole) et 2100 enfants supplémentaires ont souffert d’une réaction post-vaccinale sévère. C’est ce que les autorités de santé britanniques ont été forcées de dévoiler cette semaine- et ce tableau ne représente que la pointe de l’iceberg.

 

Deux des enfants vaccinés se retrouvent à présent avec des dommages cérébraux irréversibles et 1500 autres souffrent d’effets neurologiques dont 11 cas d’encéphalite (inflammation du cerveau) et 13 cas d’épilepsie et de coma. Globalement, il y a eu plus de 2100 réactions secondaires consécutives à un vaccin infantile au Royaume Uni ces sept dernières années.

 

L’agence britannique de régulation des produits de santé (MHRA) a été forcée de révéler ces données suite à la requête d’un journaliste sur base de la législation sur la liberté d’information.

 

En réalité, le tableau est fort probablement bien pire. Les cas évoqués par le MHRA sont seulement ceux qui lui ont été rapportés par les médecins ; donc si le médecin ne croit pas que le vaccin puisse être en cause, il ne rapportera pas ce cas à l’agence. On suppose que seuls 10% des décès et effets secondaires graves des vaccins sont réellement rapportés et, dans ce cas, cela signifie que 400 enfants sont morts à cause d’un vaccin et 21 000 autres ont souffert d’un effet secondaire post-vaccinal, pour le seul Royaume-Uni.

 

En réalité, la situation pourrait être encore bien pire dans d’autres pays comme les Etats-Unis où la vaccination des enfants est obligatoire.

 

Le mois dernier, le gouvernement britannique a été forcé par un tribunal de payer des dommages à une maman dont le fils s’est retrouvé avec de sévères dommages cérébraux après vaccination par le ROR. Et 500 autres cas similaires sont en cours devant les tribunaux britanniques.

 

Ces données contribuent à un recul majeur dans la relation entre parents et médecins.

La plupart des parents ont accepté les assurances récurrentes des médecins et des autorités de santé selon lesquelles les vaccins sont sûrs et qu’en faisant vacciner leurs enfants, ils faisaient ce qu’il y a de mieux pour eux et pour la communauté.

Maintenant, si les choses se passent mal, les parents pourraient être moins enclins à croire les dénégations du médecin qui nierait que le vaccin puisse être en cause.

 

 

Source  What doctors don't tell you (wddty) , sur base de l'article du Sunday Times du 24 octobre 2010

 

 

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21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 14:36
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