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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 21:33

« L’histoire de la médecine est une histoire d’une quasi incroyable stupidité, en même temps qu’une histoire de génie et d’une opiniâtreté remarquables.

 

Presque toutes les découvertes et presque chaque avancée ont été accueillies par une telle opposition furieuse de la part de la fraternité médicale que l’on se demande vraiment comment la médecine a jamais pu progresser.

 

Des années, des décades et parfois des siècles se sont écoulés entre les découvertes et leur approbation. Cela a coûté la vie à des millions d’êtres humains. Les pionniers de la médecine ont été poursuivis, emprisonnés, exécutés ou rendus fous à cause de leur découverte. Leurs noms sont maintenant connus de tous ; ce sont des noms de héros. »  S.J. Haught

 

     

Nous a-t-on tout dit sur la fièvre puerpérale ?

 

Par le Dr Suzanne Humphries, MD, néphrologue    

 

20 septembre 2013 (Extrait de l’ouvrage: « Dissolving Illusions »

 

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L’un des chapitres les plus affreux, les plus tragiques de l’histoire de la médecine et qui aurait pu être facilement évité est celui de la fièvre puerpérale. C’est le nom donné à une infection qui a affecté de nombreuses mamans peu de temps après la naissance. Des douleurs intenses, des abcès pelviens, des septicémies, de fortes fièvres et des morts atroces ont été provoqués par une infection ascendante causée par les mains contaminées des médecins, ainsi que par des instruments non stérilisés. Il n’y a pas un seul type de microorganisme responsable ; les bactéries les plus fréquemment isolées étaient les streptocoques hémolytiques bêta, Lancefield Groupe A.

 

Dans les pays comme les Etats-Unis, l’Europe, la Nouvelle Zélande et la Suède où le métier de sage-femme avait été abandonné et repris par les nouveaux accoucheurs,

 

(connus sous le nom d’obstétriciens), par des étudiants en médecine, la fièvre puerpérale en a été la conséquence.    

 

Le métier d’accoucheuse/accoucheur était une pratique incertaine mais de plus en plus à la mode et parfois très lucrative pour les médecins ; il est possible que ce soit pour cette raison que ce fut un domaine où les idées au sujet de la pratique et de la théorie aient été fortement contestées. Le métier d’accoucheur/accoucheuse qui était jadis l’apanage des femmes, avait au 18ème siècle intéressé de plus en plus les médecins, qu’ils soient simples praticiens ou chirurgiens. Les chirurgiens s’étaient taillés une place importante dans ce domaine parce qu’elle était perçue comme une extension naturelle de leurs activités professionnelles. Les accoucheuses avaient fait appel à eux dans des cas difficiles; d’habitude quand il fallait extraire un fœtus mort pour pouvoir sauver la vie de la mère. Au cours du 18ème siècle, les chirurgiens ont trouvé les moyens d’étendre leurs pratiques dans le domaine de l’accouchement habituel. Les accoucheuses, bien que reconnues par la société pour leur position respectable comme aussi pour leur expérience, virent peu à peu leur statut se restreindre. Le métier d’accoucheur a vite pu être perçu comme une occasion de faire carrière et de gagner de l’argent…[1]    

 

La fièvre puerpérale est une maladie qui fut induite par l’arrogance médicale.

 

Pendant longtemps et au travers de beaucoup de souffrances, le Dr Oliver Wendell Holmes des Etats-Unis et le Dr Ignaz Semmelweis d’Autriche ont été d’importants défenseurs des femmes. Tous deux se sont efforcés de faire comprendre aux médecins-accoucheurs qu’ils devaient se laver les mains et s’inspirer davantage de la pratique des accoucheuses traditionnelles. Tous deux ont été ignorés et même professionnellement attaqués pour leurs opinions. Après des années d’angoisse parce qu’ils voyaient quantités de femmes mourir inutilement, c’est avec dégoût qu’ils ont quitté le domaine de la médecine.    

 

Le Dr Holmes est devenu écrivain. En 1865, on a trompé et piégé le Dr Semmelweis pour le faire rentrer dans un asile d’aliénés. Quand il a essayé de s’échapper, il a été gravement battu par des gardes. Une plaie gangréneuse à la main, probablement causée par son passage à tabac, l’a conduit à une mort prématurée deux semaines plus tard.    

 

La raison pour laquelle il est important de ne jamais oublier l’histoire de la fièvre puerpérale, c’est que les décès massifs de ces mamans ont eu de graves impacts sur les époux, les nourrissons survivants, les enfants plus âgés, les familles, toute la société… ainsi que sur les statistiques de l’espérance de vie. On peut dès lors s’étonner que l’on n’évoque que très rarement la « fièvre puerpérale » au cours des discussions.    

 

L’épidémie des décès de femmes et de bébés est consignée dans des documents à partir de 1746, où plus de 50% des mères ayant accouché sont mortes dans l’un ou l’autre hôpital parisien. [2]. Cependant, le document le plus élaboré et le plus complet sur le problème est de la plume même du Dr Ignaz Semmelweis : «Etiologie, concept et prophylaxie de la fièvre puerpérale ». Après avoir observé que les mères qui étaient soignées par des médecins présentaient des taux de décès trois fois supérieurs à celles qui étaient soignées par des sages-femmes et que celles qui n’étaient pas examinées du tout vivaient normalement, il commença à soupçonner un agent contagieux. Les médecins de cette époque touchaient des cadavres infectés au cours de dissections, puis se rendaient à la maternité où ils examinaient des femmes et procédaient à des accouchements sans se laver les mains.    

 

Le Dr Semmelweis n’a pas cessé de suggérer aux médecins de son hôpital d’utiliser une solution chlorée pour se laver les mains avant de toucher les femmes. Dès que les médecins et les étudiants en médecine eurent accepté de suivre les recommandations du Dr Semmelweis, le taux de mortalité qui atteignait 32% tomba brusquement à zéro. En utilisant une technique antiseptique similaire, le Dr Breisky de Prague a rapporté qu’en 1882, il a accouché 1.100 femmes sans qu’il y ait le moindre décès. [3]    

 

Le Dr Semmelweis a occupé plusieurs postes successifs, et partout où sa méthode d’hygiène était suivie, le taux de mortalité des mères chutait. Mais la plupart de ces contemporains ont voulu ignorer ces scandaleux et ridicules «non-sens » !    

 

Les médecins se sentaient insultés à l’idée que leurs mains étaient sales [4] et nombreux sont ceux qui, poussés par l’arrogance, ont voulu continuer à ignorer ces faits, ces preuves qu’ils étaient eux-mêmes la cause des souffrances et des décès de mamans, et ce, jusque dans les années 1940 où les antibiotiques sont arrivés sur le marché.

 

Après la mise au point des antibiotiques, les cas de fièvre puerpérale ont considérablement chuté, mais les dossiers de Semmelweis et de Breisky ont pu démontrer que les médecins auraient pu empêcher presque tous les décès par fièvre puerpérale qui s’étaient produits depuis les années 1700 s’ils avaient accepté de se laver les mains, de désinfecter leurs instruments et arrêté d’avoir recours inutilement à des techniques invasives d’accouchement.    

 

Un autre exemple en Grande-Bretagne concerne l’utilisation généralisée de chloroforme et de forceps pour les accouchements qui ne présentaient pas de problèmes, entre 1870 et 1940. Un observateur a décrit cette tendance comme « tant soit peu meurtrière » parce qu’elle avait en fait provoqué beaucoup de décès inutiles. [5]    

 

Considérant qu’un cinquième de la population se composait de femmes en âge de procréer et qu’un pourcentage de la mortalité des mères dépassant les 30% n’était pas inhabituel, il est facile de comprendre que l’impact sur la société, les statistiques d’espérance de vie et sur le taux des maladies infectieuses fut énorme (les nourrissons dont la mère décédait à l’accouchement avaient quatre fois plus de risques de mourir, le plus souvent d’infections).     

 

Pourtant, les partisans des vaccins ne mentionnent jamais cette tragédie dans leur histoire des maladies infectieuses. En lieu et place, les vaccins sont louangés comme représentant un énorme cadeau pour l’humanité, alors qu’en fait, si les médecins s’étaient donnés la peine de simplement se laver les mains, ils auraient pu empêcher des millions de décès et auraient fait grimper de manière notoire la courbe de l’espérance de vie.    

 

Le résultat final de la fièvre puerpérale se compte en millions d’enfants orphelins de mère, souvent destinés à mourir, ou à être mal-nourris et malades. Souvent ces enfants étaient obligés de travailler dans des mines, des usines ou des ateliers clandestins. La fièvre puerpérale n’a fait qu’attiser un feu qui sur le plan social a fait des dégâts incommensurables. Si ces nourrissons avaient pu avoir une mère pour les allaiter, les aimer, la maladie et la misère des années 1700 à 1900 auraient été beaucoup moins importantes.

 

Les médecins pensent aujourd’hui que les vaccins auraient réduit ces maladies, alors qu’ils ignorent jusqu’au fait que leurs prédécesseurs ont contribué à créer l’une des situations qui a provoqué des taux élevés de maladies et une faible espérance de vie.

 

Il existe de nombreuses sources fiables qui démontrent clairement que l’amélioration des conditions de vie, une meilleure alimentation, de meilleurs soins obstétriques et autres éléments qui n’ont rien à voir avec les vaccinations ont été responsables de la baisse des taux de mortalité par maladies infectieuses.    

 

Malgré ces preuves très parlantes, les partisans des vaccins d’aujourd’hui continuent faussement à prétendre que ce sont les vaccins qui sont la raison principale de l’augmentation de l’espérance de vie dont nous jouissons aujourd’hui.    

 

Dans l’ouvrage que j’ai écrit « Dissolving Illusions », vous serez en mesure de décider par vous-même ce qui a le plus de sens. Est-ce que ce sont les vaccins ? Ou y a-t-il d’autres facteurs qui ont pu correspondre à la baisse des taux de mortalité ? Si oui, est-ce grâce à eux que notre espérance de vie est plus longue ? Si la réponse veut que ce ne soient pas les vaccins, alors ne serait-il pas grand temps que l’Organisation Mondiale de la Santé change sa politique dans les pays pauvres qui reflètent les conditions que nous avons connues dans le passé ?

 

S’il est possible que la profession médicale puisse systématiquement mal interpréter ou ignorer des informations clés, il est nécessaire que nous nous posions la question : « Qu’est-ce qu’on ignore et qu’on interprète mal aujourd’hui ? »    

 

“Dissolving Illusions” available on AMAZON    

 

REFERENCES    

 

1. Christine Hallett, PhD, “The Attempt to Understand Puerperal Fever in the Eighteenth and Early Nineteenth Centuries: The Influence of Inflammation Theory,” Medical History, vol. 49, no. 1, January 1, 2005, pp. 1–28.

 

2. Ibid.

 

3. Frederick C. Irving, MD, “Oliver Wendell Holmes and Puerperal Fever,” New England Journal of Medicine, vol. 229, no. 4, July 22, 1943, pp. 133–137.

 

4. Richard W. Wertz and Dorothy C. Weritz, Lying-In: A History of Childbirth in America, Yale University Press, 1989, p. 122.

 

5. Irvine Loudon, “Maternal Mortality in the Past and Its Relevance to Developing Countries Today,”American Journal of Clinical Nutrition, vol. 72, suppl. 1, July 2000, pp. 241S–246S.   

 

Vaccination Council 

 

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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 20:10

Le mouvement populaire affirmant le droit des individus à  refuser les vaccins gagne du terrain aux Etats-Unis.

 

Par Ethan Huff, 18 septembre 2013

 

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Que leurs gouvernements respectifs le reconnaissent ou non, chaque être humain sur la planète possède le droit fondamental de choisir son ou ses soins médicaux, y compris de se faire ou non vacciner.

 

Un mouvement de la base populaire américaine connu sous le nom d’American Rally for Personal Rights (ARPR) milite pour que, partout dans le monde, les gens puissent connaître leurs propres droits, surtout en ce qui concerne les vaccinations.

 

Lors du meeting inaugural qui a eu lieu en 2010 dans le Grand Parc de Chicago, l’ARPR a invité des conférenciers des milieux universitaires, militaire, de la Santé Publique, des affaires, du gouvernement, de la médecine et des milieux juridiques pour partager leurs perspectives sur le problème des vaccinations. Le but ultime de ces discours n’était nullement de décrier les vaccins -  L’ARPR défend le droit au choix en matière de vaccination et n’est pas un mouvement anti-vaccins. . L’ARPR a comme objectif principal de mettre en lumière toute la vérité sur les vaccins et la politique de vaccinations, points qui ne sont pratiquement jamais abordés dans les principaux médias.

 

Les vaccins peuvent provoquer des handicaps et même tuer – aujourd’hui, tout le monde devrait le savoir !

 

«  C’est un fait scientifique incontestable que les vaccins dans leur état actuel de développement peuvent tuer et handicaper certaines personnes vulnérables qu’il n’est actuellement pas possible d’identifier à l’avance. » a expliqué le Professeur Mary Holland, J.D. de la Faculté de Droit de l’Université de New York.

 

« Selon la Loi Américaine, les vaccins sont, aujourd’hui, effectivement considérés comme étant inévitablement dangereux. »

 

Le Pr. Mary Holland a poursuivi en soulignant que le consentement libre et éclairé qui a pendant longtemps été le fondement de la civilisation américaine, est essentiel en matière de vaccinations. Le Professeur a également dénoncé avec véhémence la pratique utilitariste et immorale qui consiste à  forcer les gens à se faire vacciner pour « protéger la majorité tout en sacrifiant ceux qui ne sont pas informés ou qui ne sont pas spécialement conscients du problème. » Ces dispositions empêchent des enfants de fréquenter l’école et font perdre à certains adultes leur emploi.

 

Vidéo du discours du Pr. Mary Holland J.D. :

 

http://youtube.com

 

Les vaccins n’améliorent pas la santé des enfants – il suffit de regarder les données

 

Mais  il y a plus à dire sur l’histoire des vaccins, y compris le fait souvent ignoré que les enfants sont de plus en plus malades et toujours plus frappés par les maladies chroniques. Judy Converse, M.P.H., R.D., L.D., déclare qu’il existe une forte corrélation entre le calendrier vaccinal en pleine expansion et ces problèmes de maladie que le système médical conventionnel continue de vouloir ignorer.

 

Judy explique : «  les enfants américains sont plus que jamais atteints de maladies chroniques ou handicapés. » - « Ils sont davantage susceptibles de mourir que les bébés de plus de 40 autres pays. Aujourd’hui, les enfants aux Etats-Unis souffrent beaucoup plus souvent d’asthme, de diabète, d’autisme, de la maladie de Crohn, d’épilepsie, d’allergies alimentaires graves, d’obésité, de troubles de l’apprentissage, du comportement, voire de troubles suicidaires par rapport aux enfants des années 1980 quand le nombre des vaccins administrés était nettement moins élevé. Peut-on vraiment croire qu’il s’agisse de troubles génétiques qui apparaissent soudainement et que l’on n’aurait pu identifier précédemment ?

 

Vidéo sur l’intervention de Judy :

 

http://youtu.be/xfNv5GqlGFc

 

Les militaires américains ne disposent d’aucune liberté de choix en matière de vaccinations

                                                                                                                                         Il y a en plus cet élément pénible de contrainte où les militaires sont finalement condamnés à devenir les cobayes des vaccins, et sont susceptibles d’être dégradés ou même  emprisonnés.

Le capitaine Richard Rovet, pensionné de la Force Aérienne raconte une histoire qui fait réfléchir sur la façon dont le vaccin expérimental contre l’anthrax, dont les horribles symptômes  ont été regroupés dans la catégorie du syndrome de la guerre du Golfe, a été contraint de se faire vacciner, alors que les adjuvants expérimentaux qui, en son temps, faisaient partie du vaccin, ont disparu des vaccins destinés aux civils.

 

Le capitaine Rovet raconte : « A jamais sera gravée dans ma mémoire l’histoire de cette jeune-fille afro-américaine qui, pendant qu’on la maintenait, pleurait et criait alors qu’on la vaccinait de force contre l’anthrax. »   « Je me rappellerai toujours, avec la plus grande tristesse, du cas de mon cher ami, Clarence Glover, qui est mort après la vaccination contre l’anthrax. Je ne pourrai non plus jamais oublier ceux dont la peau a littéralement brûlé à la suite du syndrome de Stevens-Johnson, ou les enfants que j’ai soignés et qui souffraient de graves malformations congénitales suite à la vaccination contre l’anthrax. »

 

Vidéo du discours du capitaine Rovet :

 

http://youtu.be/BcpSsZeJ-1M

 

Les politiques de vaccinations obligatoires doivent absolument être abolies.

 

Une liste complète de tous les discours prononcés lors du Rallye de l’ARPR en 2010 est disponible au lien qui suit. On vous recommande fortement de regarder ces vidéos pour vous faire une meilleure idée du véritable débat sur le problème des vaccins et pour que chacun comprenne et affirme son droit de choisir quand il s’agit de vaccinations.

 

http://americanpersonalrights.com

 

Vous pouvez également en apprendre davantage sur le travail de l’ARPR sur le lien suivant :

 

http://americanpersonalrights.com

 

Sources de cet article :

 

http://americanpersonalrights.com

http://youtube.com

http://youtube.com

http://youtube.com

 

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15 septembre 2013 7 15 /09 /septembre /2013 14:00

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Médicaments Meurtriers et Crime Organisé : comment Big Pharma a corrompu la Santé

 

Par le Dr Peter Gøtzsche, MD.

 

« La raison principale pour laquelle nous prenons tellement de médicaments, c’est que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas de médicaments ; elles vendent des mensonges au sujet des médicaments. C’est ce qui différencie les médicaments de n’importe quoi d’autre dans la vie… Pratiquement tout ce que nous savons au sujet des médicaments c’est ce que les compagnies pharmaceutiques ont choisi de nous dire et ce qu’elles ont choisi de communiquer à nos médecins… La raison pour laquelle les patients ont confiance dans leurs médicaments est le fait qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont dans leurs médecins en la reportant sur les médicaments que ces derniers leur prescrivent. Bien que les médecins savent beaucoup de choses sur les maladies, la physiologie humaine et la psychologie, les patients ne se rendent pas compte que leurs médecins savent très, très peu de choses sur les médicaments qui n’aurait pas été soigneusement élaboré, concocté, ficelé par l’industrie du médicament…   Si vous ne pensez pas que le système est hors contrôle, alors s’il vous plaît, écrivez-moi pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de décès… » (Extrait de l’introduction)

 

Les médicaments sur ordonnance sont la troisième cause de mortalité après les maladies cardiaques et le cancer.

 

Dans son ouvrage révolutionnaire, le Dr Peter C. Gøtzsche lève le voile sur l’industrie pharmaceutique. La mascarade de son comportement frauduleux tant en matière de  recherche que de commercialisation et le mépris moralement répugnant pour la vie humaine sont la norme. L’auteur fait des rapprochements convaincants  avec l’industrie du tabac, révélant une vérité extraordinaire au-delà de tous les efforts qui visent à semer la confusion, comme à détourner l’attention du public et des politiciens. Le livre aborde en détails et avec des données probantes, la défaillance extraordinaire d’un système causé par la criminalité généralisée, la corruption comme par les tentatives infructueuses de réformes radicales.

 

http://www.radcliffehealth.com/shop/deadly-medicines-and-organised-crime-how-big-pharma-has-corrupted-healthcare

 

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    Dr Peter Gøtzsche, MD.

 

« L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. »(Extrait de la Préface de Richard Smith, ancien rédacteur en chef du British Medical Journal)

 

Free chapter from Deadly Medicines and Organised Crime: How big pharma has corrupted healthcare

 

Ch.18 : "Pushing children into suicide with happy pills"

 

 

 

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 09:44

Les vaccins provoquent-ils l’autisme ?

 

A voir : Une nouvelle vidéo révèle le camouflage systématique des dommages causés aux enfants par les vaccins

 

Mike Adams, 11 septembre 2013

 

Dessin-vaccins-autisme.jpg

 

Aux Etats-Unis, la vérité sur les liens entre vaccins et autisme est systématiquement supprimée. Les compagnies pharmaceutiques, ainsi que le gouvernement fédéral ont conspiré pour refuser aux parents d’enfants dont la santé avait été endommagée par les vaccins l’accès habituel aux tribunaux par la création d’un « tribunal fantoche » qui n’offre aux parents aucune procédure régulière (et viole par conséquent les libertés civiles des Américains).

 

Ce « tribunal pour dommages dus aux vaccins » » a cependant, à plusieurs reprises admis que les vaccins ont irréfutablement endommagé la santé d’enfants et provoqué l’autisme. Le silence de ces parents a été acheté. On leur a fait signer un accord où ils devaient s’engager de ne jamais parler à la presse de leur épreuve.

 

Cette suppression systématique de la vérité au sujet des dommages de santé ayant fait suite aux vaccinations est clairement expliquée dans une nouvelle vidéo réalisée par le Canary Party (www.CanaryParty.org) avec Rob Schneider comme narrateur, un  ardent défenseur des droits des parents quand  il s’agit de médecine.

 

La Vidéo complète sur YouTube : (Copier/coller le lien dans Google si le lien ne s’ouvre pas)

 

http://www.youtube.com/watch?v=xv_IaLHwgAQ


Autre lien pour la video:

http://tv.naturalnews.com/v.asp?v=4FF5CAADEB...

 

Nous vous invitons à partager cette vidéo avec toutes les personnes que vous connaissez ! Elle explique en langage clair et rationnel, une partie importante de la manière dont s’y est prise l’industrie du vaccin  pour camoufler la vérité en ce qui concerne les dommages de santé provoqués chez les enfants par les vaccinations.

 

Le « Canary Party » est un mouvement en pleine expansion ; il réunit des parents, des médecins, des scientifiques, des citoyens qui veulent mettre un terme à l’empoisonnement systématique de la population par les compagnies pharmaceutiques, par les fabricants de vaccins et autres substances toxiques qui endommagent la santé et la planète.

 

Le « Canary Party » est basé sur le « Principe de précaution », ainsi que sur les droits fondamentaux des parents et de leurs responsabilités individuelles.

 

En résumé, l » Canary Party » cherche à révéler la vérité sur la façon dont nous sommes tous empoisonnés par des sociétés peu éthiques. Il cherche à trouver des moyens constructifs pour arrêter l’empoisonnement et à mettre fin aux souffrances que provoque cet empoisonnement général. […]

 

Pourquoi les vaccins peuvent-ils nuire aux enfants ?

Toute l’industrie du vaccin – y compris tous les médecins payés, achetés, les auteurs, les « scientifiques », les partenaires – ont depuis des décennies sciemment menti au monde entier en prétendant que les vaccins avaient « un risque zéro » et « zéro effets secondaires ».

 

En vérité, même le CDC admet que les vaccins contiennent quatre additifs dont chacun s’avère être un neurotoxique puissant. Ces additifs sont :

 

- Le mercure (toujours utilisé comme agent conservateur)

- L’aluminium (utilisé comme adjuvant)

- Le Formaldéhyde (utilisé pour « désactiver » les tissus vivants)

- Le MSG : Monosodium Glutamate (utilisé pour causer de l’inflammation dans le système immunitaire)

 

Tous ces produits sont toxiques pour la biologie humaine quand ils sont injectés. Il n’y a pas un seul médecin, scientifique rationnel au monde qui puisse croire que l’injection de mercure, de formaldéhyde et de MSG à des nourrissons puisse de quelque manière que ce soit être « sans danger ». Mais, il se trouve que des médecins injectent, chaque jour, ces substances à des enfants sous la forme de vaccins.

 

L’industrie du vaccin est bien pire que celle que l’énorme industrie du Tabac. Tout comme l’industrie dentaire a, pendant des décennies, nié et ridiculisé la toxicité du mercure dans les amalgames dentaires, l’industrie du vaccin se trouve encore dans un état délirant de négation totale de la toxicité du mercure. Nous assistons aujourd’hui, en médecine, à un holocauste vaccinal qui tue et handicape de nombreux enfants. La suppression de toutes les preuves scientifiques qui démontrent qu’il en est bien ainsi, fait que Big Pharma parait encore bien pire que Big Tobacco.

 

Quand l’autisme touchera-t-il un enfant sur 10 ? Nous n’en somme pas si loin. Si ce niveau de la maladie était été provoqué par d’autres éléments que les vaccins, le CDC aurait depuis longtemps déclaré une épidémie et essayé de trouver un vaccin pour pouvoir l’enrayer. Mais parce que l’autisme est lié aux vaccins et au mercure, le CDC  minimise et prétend d’une manière ridicule que le mercure ne fait pas de mal aux enfants. La FDA joue le même petit jeu ; elle aussi est dans le déni, espérant que personne ne pourra remarquer que ce problème ne cesse de s’aggraver, jusqu’au jour où il pourrait être possible, qu’après avoir reçu des centaines de vaccins qui, dans un proche avenir seraient rendus « obligatoires », qu’1 enfant sur 5 devienne autiste en Amérique !

 

Il y va ici, chers amis, de l’effondrement d’une nation entière. Si on ne met fin à cet holocauste, l’Amérique ne pourra survivre. Aucun pays ne peut survivre à l’effondrement de la santé de ses citoyens. L’injection de mercure dans la population d’Amérique est tout juste aussi stupide que ce qu’ont fait les Romains en abreuvant leur population avec de l’eau contaminée par du plomb. De nombreux historiens disent que le saturnisme dont étaient atteints les citoyens de Rome n’a fait que précipiter sa chute. Aujourd’hui, les vaccins contribuent fortement à l’effondrement de la civilisation moderne.

 

http://www.naturalnews.com/042013_vaccines_autism_Canary_Party_video.html

 

 

Le Dr Mendelsohn,MD., éminent pédiatre est aussi très direct :

 

« La plus grande menace pour les enfants, ce sont les efforts dangereux et inutiles qui sont faits pour éviter leurs maladies au cours des vaccinations de masse. Beaucoup de choses que l’on vous a fait croire sur les vaccinations ne sont tout simplement pas vraies. S’il m’était permis de suivre mes convictions les plus profondes, je vous presserais de rejeter toutes les vaccinations pour vos enfants. » 

 

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 21:25

Vaccins contre le HPV & agences gouvernementales

 

Quelle valeur attribuer aux conseils des « experts » ?

 

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Par Norma Erickson, 8 septembre 2013

 

Chaque gouvernement dans le monde possède une sorte de Comité  chargé de fournir des avis sur les vaccinations et les pratiques vaccinales à ceux qui sont chargés d’établir les politiques de vaccination.

 

Etant donné que les recommandations fournies par ces Comités constituent  la première étape de chaque politique vaccinale, il est temps de jeter un coup d’œil sérieux sur la qualité des conseils offerts par ces Comités. Quelle valeur ces conseils ont-ils vraiment ?

 

A titre d’exemple, prenons cette récente téléconférence tenue par le Comité consultatif d’Israël sur les maladies infectieuses et les vaccinations en particulier.

 

L’un des thèmes prévus pour la discussion lors de cette réunion a été la proposition d’introduction des vaccins contre le HPV dans le programme scolaire de vaccinations en Israël pour les jeunes-filles de 14 ans. [1]

 

Le Dr Ron Dagan [2] est professeur de pédiatrie et de maladies infectieuses à l’Université Ben-Gurion du Negev à Beer-Sheva, Israël, et directeur du Département des maladies infectieuses au Centre Médical de l’Université Soroka à Beer-Sheva.

 

Les travaux du chercheur et du conférencier international qu’est le Dr Dagan sont principalement axés  sur les nouveaux vaccins conjugués.

 

Ci-dessous, ses conseils d’expert au Comité consultatif d’Israël en ce qui concerne la possible utilisation du vaccin contre le HPV (traduction fournie – Sanevax souligne)

 

 

« Nous parlons des injections, dont certaines administrées en 3 doses (séparées) et qui sont destinées aux adolescentes. On doit s’attendre à de nombreux effets secondaires. Au cours de la semaine qui suit l’injection du vaccin, on doit s’attendre à de nombreux événements graves qui ne sont pas liés à la vaccination, comme : des évanouissements, des morts, des convulsions/ crises d’épilepsie). Il convient que ceci soit pris en compte. Même si la chose ne semble pas rationnelle, au cas où ces événements devaient se produire dans une classe, ils pourraient nuire à la réputation générale des vaccinations. Ceci se passe sans arrêt dans le monde. Nous avons déjà eu affaire à un problème similaire en ce qui concerne l’administration du vaccin ROR avec DT et polio et avons accepté la proposition d’une infirmière de répartir ces vaccins entre les deux premières années. A ce sujet, les infirmières sont tout à fait qualifiées pour faire des recommandations au Comité. En ce qui concerne les effets secondaires, nous devons être préparés (à l’avance)  et non nous contenter de réagir après coup. Je propose que nous consultions les représentants Anglais pour voir comment ils s’y sont pris. Nous devons nous préparer pour la livraison d’un nouveau vaccin. Les infirmières doivent être bien informées sur ce problème et de la manière qui leur convient le mieux… »

 

Est-ce qu’une personne qui a assisté à la téléconférence a eu l’occasion d’interroger le Professeur  Dagan au sujet de son avis d’expert ? Les membres du Comité consultatif se sont-ils acquittés de leur obligation envers les citoyens d’Israël en  fournissant la meilleure information scientifique disponible au Ministère de la Santé, ainsi qu’à toutes les autres personnes impliquées dans la décision qui devait être prise de vacciner des jeunes-filles de 14 ans contre le HPV., ou ces personnes ont-elles simplement pris ces déclarations au pied de la lettre ?

 

Le Comité consultatif d’Israël sur les maladies infectieuses et les vaccinations a-t-il posé les questions suivantes ?

 

  • Professeur Dagan, pourquoi des évanouissements, des décès, des convulsions et des crises d’épilepsie  sont-ils « attendus » dans la semaine qui suit la vaccination contre le HPV si ces problèmes ne sont pas liés au vaccin ?
  • Professeur Dagan, comment le taux actuel de ces événements survenus chez les jeunes-filles de 14 ans a-t-il été déterminé ? Pouvez-vous fournir des données sur ce type d’événements au cours de l’année précédente ?
  • Si une jeune-fille expérimente l’un des  effets indésirables que vous avez mentionnés dans un bref délai après la vaccination contre le HPV, pourquoi ne serait-il pas logique d’au moins pouvoir considérer la possibilité qu’il existe un lot de vaccins défectueux ou peut-être un entreposage inadéquat ?
  • Professeur Dagan, si une jeune-fille devait s’évanouir ou mourir en classe, pourquoi la préoccupation primordiale devrait-elle concerner la protection de la perception générale, ainsi que du statut des vaccins contre le HPV ? Ne serait-il pas plus important de savoir ce qui a causé le décès de la jeune-fille ?
  • Professeur Dagan, y auraient-il d’autres effets secondaires inattendus auxquels on devrait s’attendre dans les semaines qui suivent la vaccination contre le HPV ?
  • Professeur Dagan, compte tenu du fait qu’Israël n’a pas mis en place un système de vaccinovigilance et que la plupart des pays disposent seulement de systèmes passifs de déclaration d’effets secondaires, pourquoi serait-il irrationnel de considérer qu’un événement indésirable survenant peu de temps après la vaccination puisse être lié au vaccin ?
  • Professeur Dagan, pourquoi serait-il nécessaire de se préparer (à l’avance)  à des événements indésirables  si ces événements « anticipés » n’étaient pas liés au vaccin ?
  • Professeur Dagan, Israël a-t-il dû se préparer à des événements indésirables au sujet d’autres vaccins qui sont actuellement utilisés ?
  • Professeur Dagan, comment est-il possible de savoir à l’avance que des événements « attendus » comme des évanouissements, des décès, des convulsions et des crises d’épilepsie ne sont pas liés aux vaccins contre le HPV ? Ne faudrait-il pas étudier ces types d’événements pour pouvoir démontrer qu’ils ne sont pas liés aux vaccins afin de pouvoir informer le public de ce qui a effectivement provoqué ces incidents ?
  • Professeur Dagan, êtes-vous en train de nous dire que les « représentants Anglais » se sont préparés à des événements indésirables « attendus » après le Gardasil et/ou le Cervarix ?

 

Du fait que le Professeur Dagan est un expert, il devrait être en mesure de répondre à toutes ces questions et fournir la documentation scientifique nécessaire permettant de vérifier ses déclarations et ce, sans le moindre problème. S’il n’était pas en mesure de le faire, il y aurait lieu de s’interroger sur son statut d’ « expert ».

 

Les experts et les conflits d’intérêts

 

Le Comité a-t-il été mis au courant du fait qu’au cours des 12 derniers mois, le professeur Dagan [3], [4] a reçu des subventions/ soutien à la recherche de Berna/Crucell, Binax, GlaxoSmithKline, MedImmune, Merck & Co, Inc., Novartis et Wyeth , ainsi que des honoraires de consultant de Berna/Crucell, GlaxoSmithKline et de Wyeth ? Le Comité a-t-il été informé que le Dr Dagan est actionnaire de Protea/NasVax ?

 

Si le Comité a été informé de ces conflits d’intérêts potentiels, a-t-il pu envisager  la possibilité que ces faits puissent avoir pu influencer la présentation du Professeur Dagan ?

 

Si le Comité n’a pas été informé de ces conflits d’intérêts potentiels, quelles en sont les implications pour les consommateurs Israéliens de soins médicaux ?

 

Si le Comité consultatif sur les maladies infectieuses et les vaccinations a fait des recommandations au Ministère de la Santé sans obtenir de réponses satisfaisantes, ainsi qu’une documentation scientifique relative aux différentes questions qui précèdent, comment pourrait-on s’attendre à ce que le Ministre de la Santé puisse prendre une décision éclairée au sujet des vaccins contre le HPV dans son pays ?

 

Comment peut-on s’attendre à ce que le Ministre de la Santé d’Israël puisse être à la hauteur de son obligation de protéger la Santé Publique si les questions posées restent sans réponse ?

 

Les conseils donnés par le Professeur Dagan ressemblent-ils à ceux qui sont donnés par d’autres experts des  vaccins contre le HPV dans le monde ?

 

Si oui, comment le Comité consultatif de votre pays a-t-il répondu à ces questions ?

 

http://sanevax.org/hpv-vaccines-and-government-agencies-how-valuable-is-expert-advice/

 

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 20:53

Vaccins contre la grippe : de qui se moque-t-on ?

 

D’après un article de Hilary Butler, 25 février 2013

 

Cible

 

 

Le vaccin contre la grippe ne fonctionne pas et n’a jamais fonctionné depuis qu’il a été publiquement « démasqué » aux Etats-Unis après des Auditions au Congrès (S.3419) en 1971 et 1972.

 

Pourtant ce vaccin a été vendu chaque année depuis 1940 jusqu’à 1975 alors qu’il n’était pratiquement pas efficace.

 

Le temps a passé et le public a oublié. Les fabricants de vaccins ont alors travaillé les leaders d’opinion et se sont organisés pour que ce soient des gens de « bonne réputation » qui vantent le produit en leur nom.

 

En 1996, les premières lignes de la profession médicale endormie se sont enhardies et ont péremptoirement déclaré : «  il faut vacciner les plus de 65 ans, car ils sont les seuls qui meurent de la grippe. Tous les autres sont en assez bonne santé pour pouvoir affronter la maladie. On s’est évidemment occupé de rassurer les personnes âgées en leur disant que le vaccin contre la grippe les protégerait toujours.- ce qui représente un génial trait d’imagination. On a également ciblé les personnes souffrant de maladies chroniques en leur expliquant qu’elles étaient à risque du fait de leur mauvais état de santé.

 

Comme vous l’aurez appris, les méta-analyses de la célèbre revue Cochrane ont finalement précisé que le vaccin ne valait pratiquement rien pour les personnes âgées. Puis, en 2005 et 2009, nous avons eu Simonsen qui a déclaré : « Non, ce vaccin ne fonctionne pas ». Et en 2011, Michael Osterholm a admis que les autorités avaient surestimé la valeur du vaccin.

 

Pourquoi ont-ils admis que le vaccin n’était pas très efficace ? Vont-ils arrêter de vacciner les personnes âgées chez lesquelles le vaccin ne fonctionne pas ? Non-non ! Il faudra continuer de les vacciner.

 

Au lieu de cela, on a mis au point un « plan » beaucoup plus efficace : à partir de l’année 2000, on a eu droit à ce genre de déclarations : «  Oh mon Dieu, nous n’avions pas réalisé le DANGER que la grippe présentait pour les bébés. Il vaut mieux les vacciner. Peu importe qu’il n’y ait pas de preuves que cela fonctionne.

 

L’étape suivante était-elle 2004 ? Mais oui ! Il est probable que ce soient les japonais qui aient trouvé l’astuce. Ne seraient-ce pas, en fait, ces affreux petits enfants, ces adolescents et leurs parents, les vendeurs, bref tous ces gens qui seraient susceptibles d’infecter Granny ? C’est comme cela qu’en 2006 est apparu ce plan astucieux destiné à embobiner les parents. Mais, n’aurait-on pas oublié les femmes enceintes ?

 

«  Si nous parvenons à convaincre tout un chacun que la grippe pourrait tuer tout le monde, même les gens qui sont en bonne santé et faire vacciner Granny et tous les autres avec notre vaccin inutile ; n’est-ce pas beau tout cela ? Quel trait de génie (financier) ! »

 

Et quoi de mieux que d’utiliser au sein des familles le chantage émotionnel du « diviser pour régner » afin de faire vacciner tout le monde. Il suffisait de dire : «  Ah,ah,ah tu ne voudrais quand même pas que Granny soit malade, qu’elle attrape la grippe et qu’elle puisse en mourir, non? On sait bien que tu ne veux pas cela, retrousse ta manche… »

 

La nouvelle politique de la grippe est l’inverse de la nouvelle politique de la coqueluche pour laquelle Granny, les oncles, les tantes, les parents et toute personne qui entrait en contact avec le bébé devait avoir droit au « sermon »… «  Ah, ah, ah, tu ne voudrais quand même pas être responsable de la mort de ce merveilleux bébé, non ? On sait bien que tu ne voudrais jamais pareille chose. Retrousse ta manche… »

 

Pas-vaccine---pas-de-bisous--.jpg

 

       Pas vacciné ? Pas de bisous ! Faites-vous vacciner contre la coqueluche

 

Comment en arrive-t-on à ces éternelles politiques vaccinales ? Tout simple. Le vaccin contre la coqueluche ressemble comme deux gouttes d’eau au vaccin contre la grippe : Ca ne fonctionne vraiment pas très bien !

 

En Nouvelle Zélande par exemple, la plupart des personnes qui contractent aujourd’hui la coqueluche sont complètement et parfaitement vaccinées. Le vaccin fonctionne si MAL qu’on l’offre aux femmes pendant leur grossesse, et pour CHAQUE grossesse avec la possibilité non démontrée que ce que le vaccin apportera à la mère se répercutera aussi sur le bébé. La question qui reste toujours sans réponse est la suivante : est-ce que l’activation des cytokines maternelles humaines aura le même effet sur les bébés humains qu’elle a sur les bébés souris ?

 

N’est-il pas vraiment étrange que si peu de personnes prennent conscience de pareille ironie ?

 

La nouvelle politique pour ces deux vaccins minables est de vacciner TOUT LE MONDE du berceau à la tombe avec un nombre de doses qui ne cessent d’augmenter, que ce soit pour le vaccin contre la grippe ou le vaccin contre la coqueluche ! Le vaccin contre la grippe chaque année et le vaccin contre la coqueluche quand un nouveau bébé arrive !

 

Qui aurait pu penser que de nouvelles et importantes rentrées d’argent allaient remplir les poches des fabricants de ces DEUX  VACCINS MINABLES ??!!!

 

Mais le plan de la grippe est le plus ingénieux, car au lieu de viser seulement les personnes à risques, leur « fameuse science » dit qu’aujourd’hui tout le monde est « à risque » et la chose se répète chaque année !...

 

http://www.beyondconformity.org.nz/hilarys-desk/Vax-ganda_-_Idiotspeak_or_Bullseye

 

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1 septembre 2013 7 01 /09 /septembre /2013 21:59

L’autisme, c’est aussi ca !

 

Lettre de la maman d’un enfant autiste à la Commission des Réformes du Gouvernement – Congrès Américain

 

Congres-Americain-temoignages-autisme.JPG

 

Je demande respectueusement que la vidéo de 3 minutes « L’autisme c’est aussi ça ! » puisse faire partie du dossier de l’Audience sur l’autisme qui s’est tenue le 29 mai 2012.

 

Je sais que la règlementation du Congrès stipule que seuls les textes, les photos et les témoignages puissent figurer dans le dossier. Mais je voudrais vous supplier de bien vouloir faire une exception.

 

Je vous prie de bien vouloir me faire savoir si ma requête a été acceptée et si la vidéo a pu être incluse dans le dossier.

 

Beaucoup d’enfants autistes ne peuvent ni parler, ni écrire ; ils ne savent pas penser de manière cohérente, ne peuvent pas s’habiller ni soumettre un témoignage.

 

Sincèrement vôtre,

Sugah

 

VIDEO : L’AUTISME C’EST AUSSI CA !  (à partir de 1’03 jusqu’à 2’15)

Commentaire de la vidéo par les parents d’enfants autistes

 

Nous tenons à remercier les personnes qui ont accepté de témoigner au cours de l’Audition de la Commission des Réformes du Gouvernement – Congrès Américain, le 29 novembre 2012. Nous apprécions votre courage et votre dévouement.

 

Nous voulons que l’on ait aussi le courage de ne pas mettre de côté l’épidémie d’autisme qui sévit actuellement.

 

Si vous ne vivez pas avec un enfant autiste, il est difficile de réaliser ce qu’est vraiment l’autisme.

 

http://thinkingmomsrevolution.com/this-is-autism/

 

 « Il y a 40 ans quand j’ai débuté dans ma pratique médicale, on estimait qu’un enfant sur 10.000 était atteint d’autisme. Aujourd’hui, c’est un enfant sur 100 (En 2013, selon les derniers chiffres, il s’agirait d’un enfant sur 50, NDLR)). Que s’est-il passé pour qu’il y ait pareille différence ? Tout simplement le nombre démesuré de vaccins qui sont administrés aux enfants aujourd’hui. Mes collègues médecins et moi-même avons ensemble 35.000 patients qui n’ont jamais été vaccinés. Savez-vous combien de cas d’autisme nous avons vus ? ZERO, ZERO. Depuis 40 ans, je répète le même mantra : «  PAS DE VACCINS, PAS D’AUTISME. » -- Dr Mayer Eisenstein, M.D.

 

http://www.ageofautism.com

http://www.whale.to/vaccines/vax_autism_q.html

 

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 19:56

Dr Palevsky, MD, pédiatre :

 

 

Dr-Palevsky-avec-enfant.jpg

 

« Pourquoi les fabricants du vaccin HPV veulent-ils que le vaccin puisse traverser la barrière hémato-encéphalique ? N’est-ce pas là un fameux risque? »

 

 

On peut se demander pourquoi le polysorbate-80 se trouve dans les vaccins s’il existe un risque que ce produit permette aux éléments du vaccin de traverser la barrière hémato-encéphalique. Après tout, quels sont les éléments du vaccin qui doivent pénétrer dans le cerveau ? La réponse est évidente et claire : aucun !

 

J’ai entendu des personnes qui se demandaient si le polysorbate 80  n’était pas utilisé intentionnellement dans les vaccins dans le cadre d’une vaste expérience médicale sur la race humaine, comme nous en avons entendu parler au cours de la seconde guerre mondiale.

 

Un enfant sur 6 souffre d’une forme de handicap neurodéveloppemental, et les maladies neurodégénératives chez les adultes sont à la hausse. Il est donc clair que des éléments très négatifs doivent affecter le cerveau humain. La question logique à se poser est donc celle-ci : est-ce que le polysorbate 80 est délibérément utilisé dans les vaccins pour provoquer des dégâts plutôt que de contribuer au plus grand bien de tous, et ce dans le cadre d’un grand programme qui serait destiné à affaiblir et détériorer la race humaine ?

 

Mais quand des personnes s’aventurent à poser pareille question, la possibilité que la chose soit vraie est à ce point inconcevable pour la plupart, et semble relever d’un tel ridicule, d’un tel cynisme par rapport à ce que l’on peut généralement accepter comme vrai parce « qu’ils ne feraient jamais cela » et «  comment peut-on remettre en cause le « miracle des vaccins », que ceux qui posent cette question sont souvent accusés  d’être des théoriciens de la conspiration qui sont ensuite ostracisés pour leur extrémisme. Le débat sur cette question est dès lors si facilement et si commodément rejeté, alors que la base scientifique à cette question prend cependant tout son sens.

 

Bien sûr quand quelque chose d’aussi flagrant et d’aussi clairement faux est exposé au grand jour, il est beaucoup plus facile pour les opposants d’attaquer ceux qui se posent des questions, de se détourner de la science, plutôt que d’affronter la véritable question qui se pose.

 

On a dit  que  la présence de polysorbate 80 dans les vaccins contribuait à la dispersion des éléments du vaccin dans tout le corps. On ne vous précise évidemment pas que l’un des endroits possibles que les éléments du vaccin liés au polysorbate 80 vont atteindre est précisément le cerveau, de même que le fonctionnement interne d’à peu près n’importe quelle cellule du corps.

 

Mais aucune étude n’a été entreprise pour vérifier si le polysorbate 80 est susceptible au moins partiellement d’agir sur le système nerveux central et les fonctions cellulaires de l’ensemble du corps. En lieu et place, on continue d’ajouter de plus en plus de vaccins qui contiennent du polysorbate 80 au calendrier vaccinal et on continue de voir un nombre sans cesse croissant d’enfants et d’adultes touchés par des maladies chroniques débilitantes affectant diverses parties du corps….

 

Dr Palevsky’s Newsletter, 26 août 2013

 

 

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 21:41

Vaccins et développement du cerveau

 

Dr Russell Blaylock, MD., neurochirurgien

 

Dr-Blaylock-2013.JPG

 

Conférence publiée le 12 juin 2013 (notes)

 

Il y a plusieurs années que j’étudie le problème des vaccins. Au plus j’ai approfondi la question, au plus mon inquiétude a grandi car les vaccins sont susceptibles de provoquer d’innombrables dommages de santé. Mais la chose qui m’inquiète encore davantage, c’est qu’ils veulent les rendre obligatoires. Les gens n’auront donc plus le choix. Il faut savoir qu’environ 150 nouveaux vaccins sont en préparation.

 

Si, malheureusement, un jour, vous êtes forcés de recevoir 150 vaccins, je puis vous garantir que le nombre des maladies va s’accroître de manière exponentielle. On va assister à la détérioration de la santé des Américains comme ça ne s’est encore jamais vu. Il est compréhensible que les taux de mortalité vont, eux aussi, fameusement s’accroître.

 

A l’âge de deux ans, un enfant a déjà reçu 36 vaccins. C’est énorme. Et avant son entrée à l’école, il en aura reçu 42. Quand j’étais jeune, nous n’en recevions que 3 ou 4. Aujourd’hui les enfants sont vaccinés de façon massive. Ces vaccins puissants endommagent fortement le cerveau. Ce que je dis ici n’est pas qu’une hypothèse, c’est de la science médicale pure.

 

J’ai réalisé d’importantes recherches dans la littérature médicale et j’ai trouvé des centaines et des centaines d’études qui montrent que si vous vaccinez un animal comme on le fait pour les humains, vous provoquez des dommages cérébraux, ainsi qu’un développement anormal du cerveau. Pas mal de cas peuvent s’avérer irréversibles.

 

Toute la série des vaccinations : une pure folie !

 

La-folie-des-vaccins-multiples.JPG

 

Une chose que l’on entend souvent dire et que l’on vous répète régulièrement à la télévision, c’est que chaque femme enceinte devrait se faire vacciner contre la grippe. Personnellement, je ne puis imaginer chose plus folle et plus aberrante que de vacciner une femme enceinte contre la grippe.

 

On a d’abord pensé qu’il risquait d’y avoir des problèmes quand la mère faisait une infection. Aujourd’hui, nous savons que ce sont les cytokines générées par la mère en réponse à un virus qui pénètrent dans le cerveau de l’enfant et provoquent un développement anormal. Il faut savoir que les vaccins provoquent la même réponse cytokine (que l'infection naturelle). Ce qu’en conséquence, nous allons voir dans les vingt années à venir, c’est une augmentation énorme des cas de schizophrénie et d’autisme. Aujourd’hui déjà, on se demande pourquoi il y a tant de cas de schizophrénie et d’autisme et on ne fait toujours pas le lien avec les vaccinations qui ont été administrées il y a maintenant 20 ans !

 

On sait que les doses de mercure s’accumulent avec les différents vaccins reçus. Si maintenant on vaccine une femme enceinte contre la grippe, alors qu’elle a déjà reçu toute une série de vaccins contenant du mercure, on peut dire que l’on crée un véritable désastre.

 

La plupart des médecins ne sont pas au courant de ce que je dis ici, bien que certains le soient. La plupart des médecins ne prennent pas le temps de consulter les études scientifiques ; ils se contentent d’exécuter aveuglément ce que leur conseille l’Académie de pédiatrie. La plupart d’entre eux ne connaissent pas la composition exacte des vaccins. Il a, en outre, été démontré que les médecins recevaient de l’argent des firmes qui produisent les vaccins.

 

Une autre chose qui m’inquiète beaucoup c’est le problème des contaminants des vaccins (contamination par des bactéries, fragments de virus, d’ADN, d’ARN etc.).

 

Dans une étude qui a porté sur 6 fabricants de vaccins on a trouvé, dans 56% des cas, une contamination par le « pestivirus ».

 

Quand on injecte des fragments de virus dans le corps, ces fragments peuvent pénétrer dans le cerveau et y détruire des cellules et des connections cérébrales.

 

Quand on examine l’histoire de la vaccination, on se rend compte qu’il y a déjà eu d’énormes scandales à propos de la contamination des vaccins. La FDA croit sur parole les affirmations des fabricants de vaccins et il n’y a guère de suivi pour vérifier si les vaccins sont effectivement « propres ».

 

Ce qui est aussi inquiétant c’est que la majorité des vaccins destinés au monde, ainsi qu’aux Etats-Unis sont fabriqués en Chine communiste.

 

En général, la FDA organise l’inspection des fabricants de vaccins tous les deux ans. En Chine, les fabricants de vaccins sont inspectés tous les 13 ans. Quand les agents de la FDA se rendent en Chine, ils ne sont pas autorisés à entrer dans les centres de production. Les responsables chinois se contentent de les rencontrer pour leur dire que tout va bien.

 

Si des vaccins fabriqués en Chine étaient contaminés et qu’ils étaient administrés aux américains, combien de temps faudrait-il avant que l’on s’en rende compte que des millions d’Américains ont déjà été vaccinés avec des produits qu’il serait impossible d’éliminer de leur corps.

 

Les complications vaccinales

 

Plusieurs vaccins sont susceptibles de produire des crises d’épilepsie, des convulsions. Quand il s’agit de vaccins combinés, le nombre de ces cas d’épilepsie augmente de manière considérable. Ces cas d’épilepsie peuvent aussi se produire des semaines ou des mois après l’administration d’un vaccin.

 

La mort subite du nourrisson survient dans les trois semaines qui suivent la vaccination et cela dans 70% des cas.

 

Vaccins à virus vivants

 

Un élément que peu de personnes prennent en compte est l’administration de vaccins à virus vivants. Il est bien connu que des vaccins comme le ROR et celui contre la varicelle sont susceptibles d’affaiblir le système immunitaire. Des virus vivants peuvent  persister dans le corps pendant toute une vie. On a retrouvé le virus de la rougeole dans 20% des cerveaux examinés et dans 45% d’autres tissus de personnes âgées.

 

Une forte association a été établie entre les vaccins à virus vivants et l’asthme de même qu’avec le diabète infantile, les troubles auto-immuns et neurologiques.

 

Injecter des vaccins à virus vivants est très dangereux surtout chez des bébés dont le système immunitaire est très loin d’être mature ou à des bébés qui ne sont pas allaités.

 

Vaccins polio à virus vivants

 

Polio-vaccins-a-virus-vivants.JPG

 

Après 1970, tous les cas de polio aux Etats-Unis ont fait suite à la vaccination polio à virus vivants.

 

En Afrique, le programme de vaccination massive de l’OMS a fait se déclencher une épidémie de polio chez les enfants et leurs parents.

 

 

Les deux vaccins polio (à virus vivant et injectable) ont été contaminés par le SV40, un virus cancérogène.

 

Les vaccins polio à virus vivants ont été mis en relation avec des tumeurs au cerveau, des mésothéliomes, et autres cancers.

 

Comment se fait-il que ce virus SV40 produise encore des cancers aujourd’hui alors qu’il a été éliminé des vaccins en 1970 ? Ce fut là une terrible surprise. La réponse est que ce virus peut se transmettre des parents à l’enfant. Chaque génération infectée par le virus le transmettra aux générations suivantes.

 

                             La folie de la multiplication des vaccins (USA)

 

Tableau-des-differents-vaccins.JPG

 

 

A la naissance, les nourrissons reçoivent le vaccin contre l’hépatite B alors que ce vaccin est l’un des plus destructeurs sur le plan neurologique. Les personnes qui se font vacciner contre l’hépatite B ont 300 fois plus de chances de développer une sclérose en plaques dans les 3 ans qui suivent.

 

A deux mois, les enfants reçoivent 6 vaccins ; il s’agit d’une stimulation immunitaire énorme. Deux mois après, l’enfant reçoit encore 5 vaccins et ainsi de suite… C’est ainsi que le cerveau est stimulé à répétition.

 

Quand on fait la même chose avec les animaux ; quand on utilise le même schéma de vaccinations avec les animaux de laboratoire, que ce soient des singes, des rats ou autres, on peut constater que le cerveau se détruit progressivement et que son développement est gravement modifié, il est enflammé (Cette situation peut durer des mois voire des années). Tout ceci est prouvé, démontré sans l’ombre d’un doute.

 

Beaucoup de complications et de décès se produisent à la suite des complications vaccinales notamment de la rougeole parce qu’on réduit ou supprime la fièvre.

 

Fever-reducers.JPG

 

Ce graphique montre les taux de décès chez des enfants atteints de rougeole et ayant subi un traitement couplé avec une réduction de la fièvre (en noir sur le tableau). L’autre colonne montre le taux de décès d’enfants traités mais n’ayant reçu aucun antipyrétique.

 

Seuls 20% des pédiatres rapportent les complications vaccinales (et on estime que sur un plan général seuls 1 à 10% des effets secondaires sont rapportés).

 

La CDC (Centres américains de contrôle des maladies) reçoivent chaque année plus de 2.000 rapports d’effets secondaires des vaccins.

 

Il y a donc des millions de complications graves des vaccins qui ne sont pas officiellement rapportées.

 

Dans quelle proportion les médecins, les infirmières (gauche) et le personnel médical (Droite) se font-ils vacciner contre la grippe ? Voir graphique ci-dessous :

 

Graphique-medecins-infirmieres.JPG

 

EFFICACITE ?

Epidémies de rougeole dans des populations vaccinées

 

graphs.jpg

 

 

Le président Bush et sa famille auraient des liens étroits avec la firme Merck qui produit les vaccins. Bush a contribué à faire passer une loi qui protège tous les fabricants de vaccins contre toute poursuite judiciaire.

 

Bush-et-les-vaccins.JPG

 

 

 

VIDEO: http://www.youtube.com/watch?v=7QBcMYqlaDs

 

 

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26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 21:29

La méningite tue un bambin

 

En dépit du fait qu’il était vacciné contre la maladie

 

D’après les commentaires d’Alice McKeegan, 20 septembre 2011

 

Lewis-Taylor.jpg

 

Un bambin de Wythenshawe est décédé d’une méningite en dépit du fait qu’il avait été vacciné contre la maladie. Le petit Lewis Taylor, 2 ans, a été frappé par le méningocoque C – une maladie si rare que seules quelques  personnes meurent chaque année à cause de cette souche.

 

Le petit garçon a immédiatement été conduit à l’hôpital par ses parents, mais les médecins ne sont pas parvenus à le sauver.

 

Ses parents dévastés (Darren Taylor et Rebecca Weedon) ont fait part de leur infinie tristesse. Ils veulent avertir d’autres familles en les informant des symptômes qui se sont manifestés pour empêcher que d’autres personnes passent par une épreuve similaire.

 

Lewis qui est décédé le 12 septembre avait été vacciné contre le méningocoque C. Il avait reçu 3 doses du vaccin – en conformité avec le programme standard de vaccinations.

 

Quelques heures avant la tragédie, Lewis jouait encore tranquillement dans sa famille. Il n’avait montré aucun signe de maladie jusqu’au moment où il est devenu groggy. Ses parents lui ont donné du paracétamol et l’ont mis au lit aux environs de 8h30.

 

Un peu avant deux heures du matin, ils ont remarqué de petites ecchymoses violettes sur une de ses oreilles.

 

Craignant une méningite possible, ses parents l’ont immédiatement emmené  à l’hôpital de Wythenshawe.

 

Les médecins ont tenté de stabiliser l’état de santé de Lewis qui a semblé s’améliorer, mais dans les heures qui suivirent, son état s’aggrava et il mourut  peu avant 9h30 du matin.

 

Rebecca déclarait : «  Il était le meilleur enfant qu’une mère puisse jamais souhaiter avoir – nous l’aimions tellement ; je suis si profondément triste et je ne parviens pas à croire qu’il est parti. » Darren d’ajouter : «  Tout s’est passé si vite – dimanche, il courait encore, heureux comme tout. On n’aurait jamais pu penser que quelque chose ne tournait pas rond et… le lendemain matin, il était mort.

 

Les médecins ont été extraordinaires ; ils ont tout essayé pour le sauver. Nous n’aurions pas pu le conduire plus vite à l’hôpital et les médecins n’auraient pas pu faire plus.

 

Tout notre univers a volé en éclats. Nous sommes dévastés – c’était un petit garçon si heureux, si gentil ! C’est avec Lewis que nous avons passé les deux meilleures années de nos vies – nous en avons apprécié chaque minute ; il était tellement bien. !

 

Susette Worgan-Brown du « Meningitis Trust »  a exhorté les parents à ne pas cesser de faire vacciner leurs enfants. Elle a ajouté qu’il était très rare que la vaccination échoue.

 

Un porte-parole de l’hôpital universitaire de Manchester Sud (NHS Foundation Trust) a déclaré : «  Lewis est malheureusement décédé  malgré un traitement immédiat et des soins intensifs complets par une équipe très dévouée. Nous voulons assurer les parents du petit Lewis de notre plus profonde sympathie. »

 

Les funérailles de Lewis qui ont eu lieu à l’église Ste Anne RC ont été suivies de l’inhumation au cimetière de « Southern Cemetery ».

 

http://www.manchestereveningnews.co.uk/news/greater-manchester-news/meningitis-kills-toddler-despite-being-871013

 

 

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