Dr A. Kalokerinos, MD
« Syndrome du bébé secoué » :
un diagnostic abusif ?
Le Dr A. Kalokerinos a longuement enquêté sur les « Syndromes du Bébé Secoué » et de la « Mort Subite du Nourrisson »
Les derniers paragraphes de son tout dernier livre : « Shaken Baby syndrome : an abusive diagnosis » sont particulièrement instructifs. Il écrit :
« La pire des choses imaginables, c’est de voir des parents enfermés injustement dans des prisons dans l’attente de la mort.
Quelque chose de terrible a « infecté » mes collègues médecins – ou en tout cas un nombre considérable d’entre eux.
Le temps est venu de mettre fin à cette forme abusive de diagnostic. Le temps est venu pour les médecins d’oser regarder en face ce qui se trouve dans leur propre littérature médicale et d’examiner les erreurs aux proportions gigantesques qui ont été commises, afin d’y apporter les corrections voulues. »
Toute personne qui aura lu cet ouvrage ne pourra jamais plus envisager le syndrome du bébé secoué ou celui de la mort subite du nourrisson de la manière dont nous les présente le système médico/légal officiel. Tout n’est que tissu de mensonges, tromperies et hypocrisie qui imprègnent toute la sphère vaccinale depuis les échelons les plus élevés jusqu’aux infirmières. » Dr A. Kalokerinos
Extraits du livre :
Nombreuses sont les personnes qui pensent qu’il n’existe rien de plus affreux que de perdre tout contrôle et de secouer violemment un nourrisson jusqu’à ce qu’il en décède.
La chose est considérée comme le crime ultime, même par les criminels les plus endurcis. Dans les prisons de par le monde, les individus qui abusent des enfants doivent, pour leur sécurité, être séparés des autres détenus et protégés tout spécialement. Dans ces cas, les règles habituelles de la société et de la compréhension se dissolvent dans un torrent de haine. Saturés de preuves accablantes, les juges et les jurys ont tendance à faire durement appliquer la loi, pensant qu’une punition brutale et terrible soit la seule manière de prévenir pareils « crimes » à l’avenir….
En dépit d’une opposition croissante et de certaines décisions sages prises par certains juges, beaucoup de personnes continuent d’être condamnées et jetées en prison, souvent sans espoir d’appel. C’est ainsi que des familles entières sont déchirées…
Aussi étrange que cela puisse paraître les pathologies décrites dans ces cas-là pourraient toutes avoir été causées par des maladies qui n’ont rien à voir avec des traumatismes qui auraient été infligés (à l’enfant).
Après avoir investigué et étudié plus de 50 de ces cas, il me reste encore à en trouver un seul qui puisse clairement et indubitablement démontrer que c’est le fait de secouer l’enfant qui ait pu provoquer tous les traumatismes évoqués. Il est possible de secouer un nourrisson jusqu’à ce qu’il en décède, mais la chose s’avère être très rare et personnellement je n’en ai certainement jamais rencontré.
Perdre un bébé est une chose atroce. Etre faussement accusé d’avoir tué son enfant surajoute encore à un traumatisme et une souffrance qui défient l’imagination. Il arrive souvent que les personnes concernées soient soumises à des espèces de tortures psychologiques ; on leur offre un deal – soit elles plaident coupables et la sentence sera adoucie, soit elles plaident l’innocence et seront emprisonnées pendant de longues périodes – parfois pour la vie…. Face à ce terrible choix, beaucoup de personnes innocentes acceptent le deal surtout quand elles savent qu’elles ne peuvent pas compter sur une bonne défense.
Comprendre comment j’ai pu en arriver à pareilles convictions n’est pas facile à expliquer parce que la chose suppose une masse complexe de connaissances médicales qui exigent une très prudente compréhension. Je n’aurais jamais pu comprendre ces mécanismes si je n’avais, pendant près de 50 ans, étudié la vitamine C, le scorbut et l’endotoxine.
Il y a plusieurs années, j’ai été amené à rédiger un rapport sur le cas d’un Bébé Secoué peu avant que le tribunal ait terminé ses travaux. Je me rappelle avoir perçu que quelque chose m’était déjà familier, puis la lumière s’est faite brusquement !
Les hémorragies cérébrales et rétiniennes, les fractures correspondaient exactement aux pathologies décrites dans un ouvrage classique « Le Scorbut, Passé et Présent » écrit par le Dr Alfred F. Hess, MD, pédiatre américain en 1920. Ce livre était ouvert devant moi. J’ai tout de suite su quelles pages je devais lire en tout premier lieu. Je réalisai assez vite que j’étais en train de prendre part à la création d’une nouvelle page de l’histoire de la médecine…
Nous avons appris que quand la vitamine C est administrée par voie intraveineuse ou intramusculaire, elle peut inverser de nombreux états pathologiques… Nous avons aussi appris comment les pathologies que l’on retrouve dans les cas de « Bébé Secoué » pouvaient parfaitement se produire sans qu’il y ait traumatisme. Nous avons appris comment prévenir le développement de ce syndrome – et comment traiter les nourrissons, à condition que le traitement soit appliqué suffisamment tôt avant que des dommages irréversibles puissent s’installer.
Malheureusement, ces connaissances n’ont pas eu la chance d’être universellement acceptées. Quelques juges ont pu faire preuve de grande sagesse et envisager les choses avec logique, alors que certains avocats de la défense n’ont même pas pris la peine de prendre connaissance des rapports rassemblés pour leur venir en aide. Parfois, ils se sont contentés de quelques notes manuscrites ou de quelques pages susceptibles de tout expliquer. C’est un peu comme si un professeur tentait, en une seule leçon, d’expliquer des points importants de la mécanique quantique à une classe d’enfants de cinq ans. Chose pareille est impossible. ..
Alors que les autorités se sont affairées à poursuivre des gens innocents, de nouvelles et vastes connaissances de la pédiatrie ont été négligées. Il est difficile d’imaginer une plus sombre page de toute l’histoire de la médecine. A mon avis, ceci dépasse en gravité l’époque terrible de la chasse aux sorcières.
Tout ce qui est nécessaire pour mettre un point final à cette terrible tragédie se trouve aujourd’hui parfaitement disponible dans une montagne de documents médicaux. Il est difficile de comprendre que la majorité des médecins aient refusé de se documenter et d’agir….
Si, au cours de chaque autopsie, on procédait à une analyse des os, les troubles osseux qui pourraient être découverts permettraient d’affiner le diagnostic et d’établir plus facilement une différentiation entre les dommages infligés intentionnellement et les troubles métaboliques. Une analyse des dents pourrait, elle aussi permettre aux médecins de faire la différenciation entre les dommages infligés volontairement et les troubles métaboliques. (p.14)
Dr A. Kalokerinos « Shaken Baby Syndrome : an abusive diagnosis », mai 2008, 69 pages, disponible en E-book au lien suivant :
http://www.vaccinationcouncil.org/wp-content/uploads/2012/08/SBS+An+Abusive+Diagnosis.pdf
Après avoir traité plusieurs dizaines de cas de « bébés secoués », le Dr Kalokerinos avait déclaré :
« Dans mon esprit, il n’existe aucun doute que le « business » du « bébé secoué » finira par devenir l’une des plus sombres histoires de la pédiatrie.
Ce qu’il y a de plus triste dans tout cela, c’est que des médecins haut placés continuent de s’affairer pour trouver des preuves destinées à servir en cas de poursuites judiciaires ou pénales, alors que les enjeux vitaux qui pourraient sauver de nombreuses vies sont non seulement ignorés, mais attaqués avec une extrême hostilité. Au cours de l’un de ces procès, l’accusation n’a pas hésité à déclarer que le scorbut n’existait plus. J’ai évidemment répondu que « si », mais aujourd’hui on ne l’appelle plus « scorbut » ; on l’appelle « syndrome du bébé secoué »… Je ne doute pas qu’il soit possible de secouer un bébé jusqu’à ce qu’il en décède. Cependant, dans les 35 cas que j’ai très sérieusement étudiés, il y avait d’excellentes raisons de conclure que le fait de secouer ne correspondait en tout cas pas à la cause des pathologies enregistrées. »
Dr Archie Kalokerinos, A.M.M., M.B.B.S., Ph.D, F.A.P.M.
http://www.whale.to/vaccines/sbs1.html
« Bébés Secoués »
Extraits d’un article de 11 pages
par le Dr Archie Kalokerinos, MD
RMB 218ZA Bournes Lane
Tamworth,NSW, 2340 Australia
La première définition du Syndrome du Bébé Secoué comprenait :
1. Des fractures
2. Des ecchymoses
3. Des hémorragies a) intracrâniennes, b) rétiniennes c) à d’autres endroits du corps
4. D’autres blessures accidentelles qui sont rapportées de manière claire par des témoins et qui ne s’expliquent pas…
[…]
LA RECHERCHE DU VERITABLE CRIMINEL
Un véritable roman policier
Les recherches ont commencé il y a quelques années quand on m’a demandé d’enquêter sur un cas de « bébé secoué ». J’avais une montagne de documents à examiner. Ce qui rendit les choses encore plus difficiles était le fait que je n’aie été mêlé à l’affaire qu’un jeudi alors que le procès devait se terminer quelques jours plus tard. A cette époque je m’occupais également d’un autre cas. Au fond de moi, je sentais que j’étais en train de rater quelque chose, mais je ne pouvais pas déterminer précisément de quoi il s’agissait. La chose m’ennuyait, m’obsédait ; je ne parvenais plus à trouver le repos. Puis, un jour soudainement, j’eus l’impression de recevoir comme un cadeau du ciel. Je réalisai que dans les deux cas dont je m’étais occupé, on faisait état de « fractures » des jonctions costochondrales – provoquées, selon les procureurs, par le fait que les enfants avaient été pris au niveau de la poitrine. J’ai vite réalisé que ces fractures ne pouvaient pas avoir été infligées aux enfants. Elles ressemblaient étrangement aux modifications qui s’observent au niveau des jonctions costochondrales dans les cas de scorbut !
Tout ceci se passait un vendredi soir. Très excité, je décidai de faxer la nouvelle aux avocats. Le lundi, je les contactai par téléphone. Mais c’est alors que je dus déchanter : un « aveu » avait été extorqué au cours d’une négociation de plaidoyers.
L’affaire fut classée.
En ce qui me concerne, l’affaire n’était en tout cas pas close. Grâce à l’aide précieuse d’un fameux chercheur, le Dr Ian Dettman et à ma propre expérience clinique, je suis parvenu à mettre toutes les pièces du puzzle à la bonne place pour finalement pouvoir former une remarquable image de grande clarté et d’une profonde signification. Les mots et les phrases qui précédemment n’avaient aucun sens pour moi, devinrent finalement partie de moi-même. Je venais, à partir des lbibliothèques médicales du monde, de déterrer un véritable trésor de compréhension et de connaissance médicale. Quand je pense que toute cette information avait été là, disponible pendant des années, parfaitement documentée par tant de chercheurs médicaux !
Je me suis demandé pourquoi tant de mes collègues n’avaient pu percevoir l’éclat des pierres précieuses que je découvrais…
La cause fondamentale de ces pathologies
Il existe une augmentation des besoins du corps en vitamine C qui est provoquée par des endotoxines ou autres toxines bactériennes. Il en résulte deux pathologies :
- pathologie due à une carence en vitamine C
- pathologie due à une endotoxémie.
Il y a d’habitude une combinaison de ces facteurs. En faisant un pas de plus, on peut commencer à comprendre que :
- La carence en vitamine C, peut, à elle-seule, provoquer des hémorragies.
- La carence en vitamine C, peut à elle seule provoquer des fractures spontanées.
- Les endotoxines par elles-mêmes peuvent provoquer des problèmes de coagulation ou d’hémorragies.
- Les endotoxines consomment d’énormes quantités de vitamine C.
Les endotoxines peuvent spécifiquement toucher le cerveau en :
1. Endommageant spécifiquement et sélectivement les tissus endothéliaux des
vaisseaux sanguins du cerveau.
2. Ouvrant (endommageant) la barrière hémato-encéphalique.
3. S’infiltrant dans le tissu cérébral
4. Provoquant l’anoxie à la suite d’un contact direct avec le centre respiratoire.
5. Provoquant des séries de troubles biochimiques, y compris des réactions de
radicaux libres conduisant à l’apparition rapide d’œdèmes cérébraux avec
complications possibles.
6. Provoquant des troubles de la coagulation ou des hémorragies…
Les capillaires cérébraux sont particulièrement sensibles aux dommages produits par les endotoxines. Il s’ensuit que la circulation cérébrale puisse rapidement s’arrêter soit dans une région déterminée du cerveau, soit totalement.
Quand le centre respiratoire est endommagé, la respiration peut aussi cesser soit pour une période déterminée, soit définitivement. Il s’agit d’un effet semblable à l’anoxie due à un arrêt cardiaque ou respiratoire. En d’autres mots, il n’est pas nécessaire de faire un arrêt cardiaque ou respiratoire pour provoquer un début d’œdème, bien que l’arrêt cardiaque ou respiratoire puisse malgré tout parfois se produire. C’est le manque de compréhension de ces mécanismes qui peut expliquer pourquoi, dans certains cas, les procureurs ont tenté d’évoquer la suffocation, alors même qu’aucun autre élément ne pouvait le prouver.
Les effets rapides de l’hypoxie sur certains facteurs de la coagulation et sur la fibrinolyse sont bien connus. Il s’ensuit des troubles de la coagulation ou des hémorragies. Il est facile de comprendre que dans les cas de « bébés secoués » on retrouve des éléments semblables à ce que l’on découvre à la suite de traumatismes cérébraux – comme par exemple la coagulopathie intravasculaire disséminée (CIVD) qui complique le traumatisme cérébral.
Comment est-il possible de distinguer les causes spontanées (endotoxémie) avec utilisation massive de vitamine C d’autres pathologies similaires que l’on retrouve dans des troubles traumatiques ?
- L’histoire même de la personne – cas souvent difficiles.
- La présence de pathologies (en dehors de la zone du cerveau, comme des modifications osseuses du type scorbut) qui font penser à une forte utilisation de vitamine C.
- Facteurs qui peuvent conduire ou provoquer une endotoxémie.
Augmentation de l’utilisation de la vitamine C par le corps
Il est connu que l’utilisation de la vitamine C par le corps peut varier d’un individu à l’autre par un facteur de 1.000 et parfois plus. En outre, il existe de nombreux cas qui ne peuvent répondre à la vitamine C que quand elle est administrée par injection et en doses importantes…
[…] L’endotoxémie constitue souvent un facteur qui précipite une utilisation importante de vitamine C. Il convient de noter que l’injection intraveineuse ou intramusculaire de vitamine C est susceptible d’opérer une « détoxification » quasi instantanée de l’endotoxémie. Il s’ensuit que les réactions des radicaux libres mises en route sont rapidement éteintes.
Il n’existe pas de forme type ou standard du scorbut.
On a bien sûr présenté certains types de scorbut, mais l’absence de tous les signes d’un scorbut type ne peut en exclure le diagnostic parce qu’il peut y avoir :
- Une administration d’antibiotiques
- Une administration de vaccins
- Une incapacité d’allaiter exclusivement au sein.
- Le rôle des endotoxines.
Le scorbut infantile se déclare à un âge beaucoup plus précoce qu’il y a 75 ou 100 ans. L’aspect et la nature des pathologies sont différents sous de nombreux points par rapport aux descriptions qu’en faisait la littérature médicale du scorbut infantile « classique ».
Le scorbut infantile
Le scorbut infantile actuel est principalement un mélange de scorbut et d’endotoxémie. Le scorbut et l’endotoxémie provoquent des hémorragies au travers de différents mécanismes…
Du point de vue d’un puriste, le scorbut est une maladie provoquée par une carence en vitamine C.
Mauvaise formation de collagène- caractéristique du scorbut.
Ce phénomène peut affecter de nombreux tissus, y compris les tissus osseux et les vaisseaux sanguins. Les résultats en sont :
- Ecchymoses et hémorragies
- Pathologies osseuses complexes qui, pour un non initié, ressemblent à des fractures induites par traumatisme.
Les ecchymoses et les hémorragies peuvent se produire n’importe où :
- Hémorragies sous-durales.
- Hémorragies apparaissant dans d’autres régions intracrâniennes
- Hémorragies rétiniennes
- Hémorragies dans la région du rachis
- Hémorragies de la peau
[…]
Rôle joué par l’administration de vaccins
Je souhaiterais ne pas devoir aborder ce sujet, mais je m’y sens contraint. Le problème n’est pas de savoir s’il faut ou non utiliser des vaccins. La seule chose qui importe ici est celle-ci : « Les vaccins jouent-ils un rôle dans la pathogénèse du Syndrome du Bébé Secoué ? »
Dans plusieurs cas (qui sont probablement assez nombreux), l’effondrement final suit d’assez près l’administration d’un vaccin. Dans le cas de Sally Clarke, les choses se sont ainsi produites pour ses deux bébés. Elle a refusé de faire vacciner son troisième enfant (qui était déjà né avant qu’elle ne soit accusée)…
Il n’existe pas le moindre doute dans mon esprit (je base cette affirmation sur une longue expérience) et malgré des avis contraires, qu’il n’est pas sage d’administrer des vaccins à des nourrissons malades- y compris à des enfants qui font un rhume.
Cela se justifie parce qu’avec des infections (y compris les rhumes) il y a de fortes chances qu’une production excessive d’endotoxines se produise dans l’intestin. De ce fait, les processus de détoxification du foie pourraient être débordés. (stressés). Certains médecins me diront que dans de nombreuses situations, les nourrissons « font presque toujours des rhumes ».Cette remarque s’applique tout particulièrement au aborigènes australiens. La solution à ce problème est d’apporter des suppléments de vitamine C et de zinc. De la sorte, les risques seront très fortement réduits. (mais pas nécessairement complètement).
Les mécanismes impliqués dans l’administration de vaccins favorisent la formation excessive d’endotoxines.
Cette information permet de comprendre et de suivre le développement des pathologies que l’on retrouve dans le soit disant « bébé secoué »
[…] En Australie, le cas de Louise Sullivan fut l’un des premiers exemples où le manque de connaissances en la matière (avec une détermination absolue d’obtenir une condamnation) a suscité des réactions troublantes. Le sentiment était que Louise avait « tué » son enfant, mais il manquait un élément important de preuve. L’accusation n’a pas pu comprendre ce qui avait provoqué l’apparition rapide de l’œdème cérébral. Il s’agissait bien évidemment d’anoxie cérébrale provoquée par les endotoxines, mais l’accusation ignorait complètement la chose. Il en fut déduit que Louise avait non seulement secoué son enfant, mais qu’en outre, elle l’avait étouffé….
…De nombreux cas semblables ressemblent à la « chasse aux sorcières » des temps anciens.
…Il n’est pas possible qu’un seul médecin puisse prétendre être l’ « autorité » qui va trancher chaque aspect des pathologies que l’on retrouve dans la genèse du « Syndrome du Bébé Secoué ». Il existe cependant suffisamment de connaissances pour permettre aux médecins d’envisager le doute par rapport aux hypothèses traumatiques des pathologies que l’on retrouve dans certains cas de soit disant « bébés secoués ».
http://www.vaccinationcouncil.org/wp-content/uploads/2012/08/SBS+An+Abusive+Diagnosis.pdf
Voir aussi :
« Le squelette des mineurs et enquêtes médico-légales abusives »
http://uncensored.co.nz/2012/10/29/shaken-baby-syndrome-an-abusive-diagnosis/
http://www.freeyurko.bizland.com/kaloksb1.html