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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 10:10

Dr A. Kalokerinos, MD

 

« Syndrome du bébé secoué » :

un diagnostic abusif ?

 

Dr Archie Kalokerinos 

Le Dr A. Kalokerinos a longuement enquêté sur les « Syndromes du Bébé Secoué » et de la « Mort Subite du Nourrisson »

 

Les derniers paragraphes de son tout dernier livre : « Shaken Baby syndrome : an abusive diagnosis » sont particulièrement instructifs. Il écrit :

 

«  La pire des choses imaginables, c’est de voir des parents enfermés injustement dans des prisons dans l’attente de la mort.

 

Quelque chose de terrible a « infecté » mes collègues médecins – ou en tout cas un nombre considérable d’entre eux.

 

Le temps est venu de mettre fin à cette forme abusive de diagnostic. Le temps est venu pour les médecins d’oser regarder en face ce qui se trouve dans leur propre littérature médicale et d’examiner les erreurs aux proportions gigantesques qui ont été commises, afin  d’y apporter les corrections voulues. »

 

Toute personne qui aura lu cet ouvrage ne pourra jamais plus envisager le syndrome du bébé secoué ou celui de la mort subite du nourrisson de la manière dont nous les présente le système médico/légal officiel. Tout n’est que tissu de mensonges, tromperies et hypocrisie qui imprègnent toute la sphère vaccinale depuis les échelons les plus élevés jusqu’aux infirmières. »  Dr A. Kalokerinos

 

Extraits du livre :

 

Nombreuses sont les personnes qui pensent qu’il n’existe rien de plus affreux que de perdre tout contrôle et de secouer violemment un nourrisson jusqu’à ce qu’il en décède.

 

La chose est considérée comme le crime ultime, même par les criminels les plus endurcis. Dans les prisons de par le monde, les individus qui abusent des enfants doivent, pour leur sécurité, être séparés des autres détenus et protégés tout spécialement. Dans ces cas, les règles habituelles de la société et de la compréhension se dissolvent dans un torrent de haine. Saturés de preuves accablantes, les juges et les jurys ont tendance à faire durement appliquer la loi, pensant qu’une punition brutale et terrible soit la seule manière de prévenir pareils « crimes » à l’avenir….

 

En dépit d’une opposition croissante et de certaines décisions sages prises par certains juges, beaucoup de personnes continuent d’être condamnées et jetées en prison, souvent sans espoir d’appel. C’est ainsi que des familles entières sont déchirées…

 

Aussi étrange que cela puisse paraître les pathologies décrites dans ces cas-là pourraient toutes avoir été causées par des maladies qui n’ont rien à voir avec des traumatismes qui auraient été infligés (à l’enfant).

 

Après avoir investigué et étudié plus de 50 de ces cas, il me reste encore à en trouver un seul qui puisse clairement et indubitablement démontrer que c’est le fait de secouer l’enfant qui ait pu provoquer tous les traumatismes évoqués. Il est possible de secouer un nourrisson jusqu’à ce qu’il en décède, mais la chose s’avère être très rare et personnellement je n’en ai certainement jamais rencontré.

 

Perdre un bébé est une chose atroce. Etre faussement accusé d’avoir tué son enfant surajoute encore à un traumatisme et une souffrance qui défient l’imagination. Il arrive souvent que les personnes concernées soient soumises à des espèces de tortures psychologiques ; on leur offre un deal – soit elles plaident coupables et la sentence sera adoucie, soit elles plaident l’innocence et seront emprisonnées pendant de longues périodes – parfois pour la vie…. Face à ce terrible choix, beaucoup de personnes innocentes acceptent le deal surtout quand elles savent qu’elles ne peuvent pas compter sur une bonne défense.

 

Comprendre comment j’ai pu en arriver à pareilles convictions n’est pas facile à expliquer parce que la chose suppose une masse complexe de connaissances médicales qui exigent une très prudente compréhension. Je n’aurais jamais pu comprendre ces mécanismes si je n’avais, pendant près de 50 ans, étudié la vitamine C, le scorbut et l’endotoxine.

 

Il y a plusieurs années, j’ai été amené à rédiger un rapport sur le cas d’un Bébé Secoué peu avant que le tribunal ait terminé ses travaux. Je me rappelle avoir perçu que quelque chose m’était déjà familier, puis la lumière s’est faite brusquement !

 

Les hémorragies cérébrales et rétiniennes, les fractures correspondaient exactement aux pathologies décrites dans un ouvrage classique « Le Scorbut, Passé et Présent » écrit par  le Dr Alfred F. Hess, MD, pédiatre américain en 1920. Ce livre était ouvert devant moi. J’ai tout de suite su quelles pages je devais lire en tout premier lieu. Je réalisai assez vite que j’étais en train de prendre part à la création d’une nouvelle page de l’histoire de la médecine…

 

Nous avons appris que quand la vitamine C est administrée par voie intraveineuse ou intramusculaire, elle peut inverser de nombreux états pathologiques… Nous avons aussi appris comment les pathologies que l’on retrouve dans les cas de « Bébé Secoué » pouvaient parfaitement se produire sans qu’il y ait traumatisme. Nous avons appris comment prévenir le développement de ce syndrome – et comment traiter les nourrissons, à condition que le traitement soit appliqué suffisamment tôt avant que des dommages irréversibles puissent s’installer.

 

Malheureusement, ces connaissances n’ont pas eu la chance d’être universellement acceptées. Quelques juges ont pu faire preuve de grande sagesse et envisager les choses avec logique, alors que certains avocats de la défense n’ont même pas pris la peine de prendre connaissance des rapports rassemblés pour leur venir en aide. Parfois, ils se sont contentés de quelques notes manuscrites ou de quelques pages susceptibles de tout expliquer. C’est un peu comme si un professeur tentait, en une seule leçon, d’expliquer des points importants de la mécanique quantique à une classe d’enfants de cinq ans. Chose pareille est impossible. ..

 

Alors que les autorités se sont affairées à poursuivre des gens innocents, de nouvelles et vastes connaissances de la pédiatrie ont été négligées. Il est difficile d’imaginer une plus sombre page de toute l’histoire de la médecine. A mon avis, ceci dépasse en gravité l’époque terrible de la chasse aux sorcières.

 

Tout ce qui est nécessaire pour mettre un point final à cette terrible tragédie se trouve aujourd’hui parfaitement disponible dans une montagne de documents médicaux. Il est difficile de comprendre que la majorité des médecins aient refusé de se documenter et d’agir….

 

Si, au cours de chaque autopsie, on procédait à une analyse des os, les troubles osseux qui pourraient être découverts permettraient d’affiner le diagnostic et d’établir plus facilement une différentiation entre les dommages infligés intentionnellement et les troubles métaboliques. Une analyse des dents pourrait, elle aussi permettre aux médecins de faire la différenciation entre les dommages infligés volontairement et les troubles métaboliques. (p.14)

 

Dr A. Kalokerinos  «  Shaken Baby Syndrome : an abusive diagnosis », mai 2008, 69 pages, disponible en E-book au lien suivant :

 

http://www.vaccinationcouncil.org/wp-content/uploads/2012/08/SBS+An+Abusive+Diagnosis.pdf

 

 

Après avoir traité plusieurs dizaines de cas de « bébés secoués », le Dr Kalokerinos avait déclaré :

 

«  Dans mon esprit, il n’existe aucun doute que le « business » du « bébé secoué » finira par devenir l’une des plus sombres histoires de la pédiatrie.

 

Ce qu’il y a de plus triste dans tout cela, c’est que des médecins haut placés continuent de s’affairer pour trouver des preuves destinées à servir en cas de poursuites judiciaires ou pénales, alors que les enjeux vitaux qui pourraient sauver de nombreuses vies sont non seulement ignorés, mais attaqués avec une extrême hostilité. Au cours de l’un de ces procès, l’accusation n’a pas hésité à déclarer que le scorbut n’existait plus. J’ai évidemment répondu que « si », mais aujourd’hui on ne l’appelle plus « scorbut » ; on l’appelle « syndrome du bébé secoué »… Je ne doute pas qu’il soit possible de secouer un bébé jusqu’à ce qu’il en décède. Cependant, dans les 35 cas que j’ai très sérieusement étudiés, il y avait d’excellentes raisons de conclure que le fait de secouer ne correspondait en tout cas pas à la cause des pathologies enregistrées. »

 

Dr Archie Kalokerinos, A.M.M., M.B.B.S., Ph.D, F.A.P.M.

http://www.whale.to/vaccines/sbs1.html

 

 

« Bébés Secoués »

 

Extraits d’un article de 11 pages

par le Dr Archie Kalokerinos, MD

RMB 218ZA Bournes Lane

Tamworth,NSW, 2340 Australia

 

 

La première définition du Syndrome du Bébé Secoué comprenait :

 

1. Des fractures

2. Des ecchymoses

3. Des hémorragies  a) intracrâniennes, b) rétiniennes c) à d’autres endroits du corps

4. D’autres blessures accidentelles qui sont rapportées de manière claire par des  témoins et qui ne s’expliquent pas…

 

[…]

 

LA RECHERCHE DU VERITABLE CRIMINEL

Un véritable roman policier

 

Les recherches ont commencé il y a quelques années quand on m’a demandé d’enquêter sur un cas de « bébé secoué ». J’avais une montagne de documents à examiner. Ce qui rendit les choses encore plus difficiles était le fait que je n’aie été mêlé à l’affaire qu’un jeudi alors que le procès devait se terminer quelques jours plus tard. A cette époque je m’occupais également d’un autre cas. Au fond de moi, je sentais que j’étais en train de rater quelque chose, mais je ne pouvais pas déterminer précisément de quoi il s’agissait. La chose m’ennuyait, m’obsédait ; je ne parvenais plus à trouver le repos. Puis, un jour soudainement, j’eus l’impression de recevoir comme un cadeau du ciel. Je réalisai que dans les deux cas dont je m’étais occupé, on faisait état de « fractures » des jonctions costochondrales – provoquées, selon les procureurs, par le fait que les enfants avaient été pris au niveau de la poitrine. J’ai vite réalisé que ces fractures ne pouvaient pas avoir été infligées aux enfants. Elles ressemblaient étrangement aux modifications qui s’observent au niveau des jonctions costochondrales dans les cas de scorbut !  

 

Tout ceci se passait un vendredi soir. Très excité, je décidai de faxer la nouvelle aux avocats. Le lundi, je les contactai par téléphone. Mais c’est alors que je dus déchanter : un «  aveu » avait été extorqué au cours d’une négociation de plaidoyers.

L’affaire fut classée.

 

En ce qui me concerne, l’affaire n’était en tout cas pas close. Grâce à l’aide précieuse d’un fameux chercheur, le Dr Ian Dettman et à ma propre expérience clinique, je suis parvenu à mettre toutes les pièces du puzzle à la bonne place pour finalement pouvoir former une remarquable image de grande clarté et d’une profonde signification. Les mots et les phrases qui précédemment n’avaient aucun sens pour moi, devinrent finalement partie de moi-même. Je venais, à partir des lbibliothèques médicales du monde, de déterrer un véritable trésor de compréhension et de connaissance médicale. Quand je pense que toute cette information avait été là, disponible pendant des années, parfaitement documentée par tant de chercheurs médicaux !

 

Je me suis demandé pourquoi tant de mes collègues n’avaient pu percevoir l’éclat des pierres précieuses que je découvrais…

 

La cause fondamentale de ces pathologies

 

Il existe une augmentation des besoins du corps en vitamine C qui est provoquée par des endotoxines ou autres toxines bactériennes. Il en résulte deux pathologies :

 

  1. pathologie due à une carence en vitamine C
  2. pathologie due à une endotoxémie.

 

Il y a d’habitude une combinaison de ces facteurs. En faisant un pas de plus, on peut commencer à comprendre que :

 

  1. La carence en vitamine C, peut, à elle-seule, provoquer des hémorragies.
  2. La carence en vitamine C, peut à elle seule provoquer des fractures spontanées.
  3. Les endotoxines par elles-mêmes peuvent provoquer des problèmes de coagulation ou d’hémorragies.
  4. Les endotoxines consomment d’énormes quantités de vitamine C.

 

Les endotoxines peuvent spécifiquement toucher le cerveau en :

 

      1. Endommageant spécifiquement et sélectivement les tissus endothéliaux des   

          vaisseaux sanguins du cerveau.

      2.  Ouvrant (endommageant) la barrière hémato-encéphalique.

      3.  S’infiltrant dans le tissu cérébral

      4.  Provoquant l’anoxie à la suite d’un contact direct avec le centre respiratoire.

      5.  Provoquant  des séries de troubles biochimiques, y compris des réactions de

           radicaux libres conduisant à l’apparition rapide d’œdèmes cérébraux avec

           complications possibles.

      6.  Provoquant des troubles de la coagulation ou des hémorragies…

 

Les capillaires cérébraux sont particulièrement sensibles aux dommages produits par les endotoxines. Il s’ensuit que la circulation cérébrale puisse rapidement s’arrêter soit dans une région déterminée du cerveau, soit totalement.

 

Quand le centre respiratoire est endommagé, la respiration peut aussi cesser soit pour une période déterminée, soit définitivement. Il s’agit d’un effet semblable à l’anoxie due à un arrêt cardiaque ou respiratoire. En d’autres mots, il n’est pas nécessaire de faire un arrêt cardiaque ou respiratoire pour provoquer un début d’œdème, bien que l’arrêt cardiaque ou respiratoire puisse  malgré tout parfois se produire. C’est le manque de compréhension de ces mécanismes qui peut expliquer pourquoi, dans certains cas, les procureurs ont tenté d’évoquer la suffocation, alors même qu’aucun autre élément ne pouvait le prouver.

 

Les effets rapides de l’hypoxie sur certains facteurs de la coagulation et sur la fibrinolyse sont bien connus. Il s’ensuit des troubles de la coagulation ou des hémorragies. Il est facile de comprendre que dans les cas de « bébés secoués » on retrouve des éléments semblables à ce que l’on découvre à la suite de traumatismes cérébraux – comme par exemple la coagulopathie intravasculaire disséminée (CIVD) qui complique le traumatisme cérébral.

 

Comment est-il possible de distinguer les causes spontanées (endotoxémie) avec utilisation massive de vitamine C d’autres pathologies similaires que l’on retrouve dans des troubles traumatiques ?

 

  1. L’histoire même de la personne – cas souvent difficiles.
  2. La présence de pathologies (en dehors de la zone du cerveau, comme des modifications osseuses du type scorbut) qui font penser à une forte utilisation de  vitamine C.
  3. Facteurs qui peuvent conduire ou provoquer une endotoxémie.

 

Augmentation de l’utilisation de la vitamine C par le corps

 

Il est connu que l’utilisation de la vitamine C par le corps peut varier d’un individu à l’autre par un facteur de 1.000 et parfois plus. En outre, il existe de nombreux cas qui ne peuvent répondre à la vitamine C que quand elle est administrée par injection et en doses importantes…

 

[…] L’endotoxémie constitue souvent un facteur qui précipite une utilisation importante de vitamine C. Il convient de noter que l’injection intraveineuse ou intramusculaire de vitamine C est susceptible d’opérer une « détoxification » quasi instantanée de l’endotoxémie. Il s’ensuit que les réactions des radicaux libres mises en route sont rapidement éteintes.

 

Il n’existe pas de forme type ou standard du scorbut.

 

On a bien sûr présenté certains types de scorbut, mais l’absence de tous les signes d’un scorbut type ne peut en exclure le diagnostic parce qu’il peut y avoir :

 

  1. Une administration d’antibiotiques
  2. Une administration de vaccins
  3. Une incapacité d’allaiter exclusivement au sein.
  4. Le rôle des endotoxines.

Le scorbut infantile se déclare à un âge beaucoup plus précoce qu’il y a 75 ou 100 ans. L’aspect et la nature des pathologies sont différents sous de nombreux points par rapport aux descriptions qu’en faisait la littérature médicale du scorbut infantile « classique ».

 

Le scorbut infantile

 

Le scorbut infantile actuel est principalement un mélange de scorbut et d’endotoxémie. Le scorbut et l’endotoxémie provoquent des hémorragies au travers de différents mécanismes…

 

Du point de vue d’un puriste, le scorbut est une maladie provoquée par une carence en vitamine C.

 

Mauvaise formation de collagène- caractéristique du scorbut.

 

Ce phénomène peut affecter de nombreux tissus, y compris les tissus osseux et les vaisseaux sanguins. Les résultats en sont :

 

  1. Ecchymoses et hémorragies
  2. Pathologies osseuses complexes qui, pour un non initié, ressemblent à des fractures induites par traumatisme.

 

Les ecchymoses et les hémorragies peuvent se produire n’importe où :

 

  1. Hémorragies sous-durales.
  2. Hémorragies apparaissant dans d’autres régions intracrâniennes
  3. Hémorragies rétiniennes
  4. Hémorragies dans la région du rachis
  5. Hémorragies de la peau

[…]

 

Rôle joué par l’administration de vaccins

 

Je souhaiterais ne pas devoir aborder ce sujet, mais je m’y sens contraint.  Le problème n’est pas de savoir s’il faut ou non utiliser des vaccins. La seule chose qui importe ici est celle-ci :  « Les vaccins jouent-ils un rôle dans la pathogénèse du Syndrome du Bébé Secoué ? »

 

Dans plusieurs cas (qui sont probablement assez nombreux), l’effondrement final suit d’assez près l’administration d’un vaccin. Dans le cas de Sally Clarke, les choses se sont ainsi produites pour ses deux bébés. Elle a refusé de faire vacciner son troisième enfant (qui était déjà né avant qu’elle ne soit accusée)…

 

Il n’existe pas le moindre doute dans mon esprit (je base cette affirmation sur une longue expérience) et malgré des avis contraires, qu’il n’est pas sage d’administrer des vaccins à des nourrissons malades- y compris à des enfants qui font un rhume.

 

Cela se justifie parce qu’avec des infections (y compris les rhumes) il y a de fortes chances qu’une production excessive d’endotoxines se produise dans l’intestin. De ce fait, les processus de détoxification du foie pourraient être débordés. (stressés). Certains médecins me diront que dans de nombreuses situations, les nourrissons « font presque toujours des rhumes ».Cette remarque s’applique tout particulièrement au aborigènes australiens. La solution à ce problème est d’apporter des suppléments de vitamine C et de zinc. De la sorte, les risques seront très fortement réduits. (mais pas nécessairement complètement).

 

Les mécanismes impliqués dans l’administration de vaccins favorisent la formation excessive d’endotoxines.

 

Cette information permet de comprendre et de suivre le développement des pathologies que l’on retrouve dans le soit disant « bébé secoué »

 

[…] En Australie, le cas de Louise Sullivan fut l’un des premiers exemples où le manque de connaissances en la matière (avec une détermination absolue d’obtenir une condamnation) a suscité des réactions troublantes. Le sentiment était que Louise avait « tué » son enfant, mais il manquait un élément important de preuve. L’accusation n’a pas pu comprendre ce qui avait provoqué l’apparition rapide de l’œdème cérébral. Il s’agissait bien évidemment d’anoxie cérébrale provoquée par les endotoxines, mais l’accusation ignorait complètement la chose. Il en fut déduit que Louise avait non seulement secoué son enfant, mais qu’en outre, elle l’avait étouffé….

 

…De nombreux cas semblables ressemblent à la « chasse aux sorcières » des temps anciens.

 

…Il n’est pas possible qu’un seul médecin puisse prétendre être l’ « autorité » qui va trancher chaque aspect des pathologies que l’on retrouve dans la genèse du « Syndrome du Bébé Secoué ». Il existe cependant suffisamment de connaissances pour permettre aux médecins d’envisager le doute par rapport aux hypothèses traumatiques des pathologies que l’on retrouve dans certains cas de soit disant « bébés secoués ».

 

http://www.vaccinationcouncil.org/wp-content/uploads/2012/08/SBS+An+Abusive+Diagnosis.pdf

 

 

Voir aussi :

  Shaken-baby-syndrome-Livre-ossification-copie-1.jpg

 

   

« Le squelette des mineurs et enquêtes médico-légales abusives »

 

http://uncensored.co.nz/2012/10/29/shaken-baby-syndrome-an-abusive-diagnosis/

 

http://www.freeyurko.bizland.com/kaloksb1.html

 

 

 

 

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30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 17:07
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30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 16:56

Les paralysies hantent l’Inde « débarrassée de la polio » !

 

L’Inde connaît une forte hausse d’enfants atteints de paralysies. Les causes de ces paralysies ne sont guère difficiles à identifier : le vaccin oral contre la polio et la redéfinition des paralysies causées par la polio en « paralysies flasques aiguës ».

 

Le résultat de ce fiasco est l’accouchement d’un plan pour administrer des vaccins non-vivants (injectables) – un plan qui coûte un peu cher car on continue à nier les raisons qui ont précédemment fait adopter le vaccin oral.

 

Inde-vaccination-polio-orale.jpg

Enfant indien qui reçoit le vaccin polio oral (WE)

 

Par Jagannath Chatterjee, 28 mars 2013

 

La polio souvent considérée comme synonyme de paralysies et d’invalidité, a reçu un nouveau nom en Inde. Il s’agit de la « paralysie flasque aiguë » (PFA) Le fait que les cas de polio provoqués par le vaccin polio oral (OPV) ne sont actuellement plus répertoriés comme poliomyélites, a permis  à l’Inde de maintenir pour la seconde année son statut de « pays débarrassé de la polio ». Si cette mascarade est encore maintenue pendant un an, l’Inde pourra recevoir la certification de l’OMS comme étant un pays «exempt de poliomyélite » et sera présentée comme une réussite de l’initiative mondiale pour l’éradication. Cette initiative avait été lancée en 1988 par l’Assemblée mondiale de la santé.

 

La variole a été éradiquée en 1980. Selon le professeur William Muraskin, les experts impliqués dans cet exercice ont été à la recherche d’une autre occasion de faire étalage de leurs compétences. Quand ils ont choisi la polio comme nouvel objectif, nombreuses sont les personnes qui ont froncé les sourcils. La polio ne constituait pas une priorité pour les pays  où cette opération devait être lancée. Tous ces pays en développement ont du mal à subvenir aux besoins de santé de base. L’Inde, par exemple est incapable de fournir ses besoins en eau potable, assainissement des lieux, hygiène et l’alimentation. Tout cela, 65 ans après son indépendance.

 

Le vaccin polio oral (OPV) a été choisi comme seule arme pour éradiquer la polio. Le Dr T. Jacob John  a souligné le fait que ce vaccin, constitué de virus vivants, était connu pour provoquer des poliomyélites. Comme les vaccinés ont tendance à excréter le virus dans leurs selles, ce dernier peut muter en une forme plus virulente provoquant dans l’entourage des poliomyélites paralytiques et parfois même des épidémies.

 

Les Dr Anant Phadke et C. Sathyamala ont précisé qu’il n’était pas possible d’éradiquer la polio avec un vaccin, car il s’agit tout d’abord d’une maladie qui touche des populations vivant dans des conditions où l’hygiène et la qualité de l’alimentation font défaut. Des maladies ressemblant à la polio peuvent aussi être causées par d’autres facteurs. Le DDT et autres pesticides, l’exposition au plomb, à l’arsenic et les vaccinations peuvent provoquer des paralysies. C’est une approche globale qui est nécessaire pour lutter contre cette maladie.

 

Les manuels de médecine révèlent que l’exposition au virus de la polio entraîne rarement une paralysie. Plus de 95% des personnes exposées ne manifesteront absolument aucun symptôme. Parmi les autres, certains auront des symptômes ressemblant à un rhume banal, quelques-uns pourront boiter un certain temps et moins de 1% présenteront une paralysie permanente. Le fait d’être exposé au virus de la polio est en fait le meilleur moyen de s’immuniser contre la maladie. Il offre une immunité permanente à plus de 99% de ceux qui ont été exposés au virus.

 

Selon le Dr Yash Paul, ceux qui restent paralysés doivent souffrir d’une certaine sensibilité qui doit absolument être étudiée.

 

Le Dr Phadke a souligné que la variole et la polio sont deux choses complètement différentes. Le virus de la polio peut infecter les enfants sans causer de symptômes, bien qu’il se maintient en circulation. Il a affirmé que la stratégie d’éradication de la polio avait été lancée parce qu’il s’agissait de l’intérêt des pays développés qui pourraient alors arrêter leurs programmes de vaccination une fois que le virus sauvage aurait été éradiqué du monde ; dans l’intérêt également des fabricants qui soutenaient le programme vu que les vaccinations à virus vivants (OPV) avaient été interrompues dans les pays développés à cause de leurs risques. Cet effort d’éradication qui a coûté plus de 1,2 milliards de roupies a cassé le système de santé indien.

 

Les données du Programme National du Projet de Surveillance de la Polio montrent que ce programme d’éradication de la polio a enregistré une augmentation des paralysies chez les enfants – passant de 3.047 cas annuels en 1997 à 61.038 cas en 2012 et dont la plupart ont été enregistrés comme PFA (paralysies flasques aiguës) au lieu de polio. Le gouvernement ne révèle pas combien de ces cas sont à attribuer au vaccin.

 

En 2005, on a relevé 66 cas de polio provoqués par le virus sauvage, alors que 1.645 cas ont été provoqués par le vaccin. Les données recueillies montrent que les vaccinés présentaient 6,26 fois plus de chances d’être paralysés.

 

De nombreuses souches de virus mutés se répandent un peu partout en Inde. Au Japon, après trois mois d’utilisation du vaccin, on a retrouvé 16 souches extrêmement virulentes du virus vaccinal. Au total, on a retrouvé 78 souches dans les eaux usées et les rivières. L’Inde a commencé à utiliser ce vaccin depuis 1978 et d’une manière plus intensive depuis 1997. Il est impossible d’imaginer le nombre de souches virulentes qui pourraient être en circulation dans un pays dépourvu de systèmes d’évacuation des eaux usées, comme d’installations sanitaires.

 

Pourquoi dénombre-t-on, chaque année, en Inde plus de 60.000 enfants qui deviennent paralysés ? Le Dr Neetu Vashisht qui a analysé les cas de PFA (Paralysies Flasques aiguës) en Inde a déclaré que ces cas étaient directement proportionnels au nombre de doses de vaccin polio oral (OPV) reçues, donc impliquant une relation. En  tenant compte des taux normaux de Paralysies Flasques Aiguës (PFA), on peut conclure qu’en 2011 l’Inde a connu 47.500 cas supplémentaires de paralysies. Des études mont montré que les taux de mortalité chez les enfants atteints de PFA sont deux fois plus élevés que chez les enfants atteints de polio paralytique. Au Brésil, une étude a mis en cause ce vaccin dans les cas du Syndrome de Guillain Barre, la myélite transverse et la paralysie faciale. Ainsi, la prétention du gouvernement qui déclare que ces cas de paralysies n’ont pas de relation avec le vaccin mérite une enquête approfondie.

 

En avril 2004, un mémorandum a été soumis à l’OMS, l’UNICEF et au gouvernement indien par le prof. Debabar Bannergie et autres éminents médecins ; mémorandum  qui a souligné que l’OMS avait gonflé les 32419 cas de polio pour présenter le chiffre de 350.000 afin de pouvoir justifier le programme de vaccination. La définition de la poliomyélite, elle aussi a été modifiée à plusieurs reprises depuis le changement du programme. C’est ainsi que le nombre de cas a diminué d’une façon spectaculaire. Un nombre important d’enfants affectés par le virus de la polio et déclarés comme tels avaient cependant été parfaitement vaccinés. C’est à la suite directe du vaccin que ces enfants ont été paralysés.

 

Le mémorandum  a également souligné que l’éradication n’était pas possible en Inde du fait que les virus vaccinaux avaient muté en des souches virulentes qui circulaient. En août 2006, l’Association Médicale Indienne a réitéré ces observations et a tenté d’identifier les victimes pour pouvoir les indemniser.

 

Aujourd’hui, à l’encontre même de toute politique de prudence, les enfants reçoivent 50 doses de vaccin… du jamais vu ! Même les enfants exemptés médicalement ont dû être vaccinés.

 

Le Dr Puliyel révèle qu’une version synthétique du virus de la polio appelée « CHNOPS » donne une image déplorable de l’effort d’éradication.

 

Le Dr Pushpa Bhargava  veut faire remarquer que la poliomyélite en Inde était déjà sur son déclin avant que la politique d’éradication ait même commencé. La polio en Inde était concentrée dans quelques poches de l’Uttar Pradesh et du Bihar. Ces cas représentaient 96% des cas signalés. Une politique d’assainissement, une meilleure alimentation et quelques campagnes au moyen d’un vaccin relativement plus sûr (le vaccin inactivé injectable- (IPV) auraient réduit considérablement le nombre des cas de polio sans recourir à la magouille qui a entraîné un taux sans précédent d’incapacité dans toutes les parties du pays.

 

Dans les notices des vaccins OPV, on peut trouver une déclaration inquiétante à propos du vaccin : ce dernier n’aurait pas été testé sur le plan de la cancérogenèse et de l’infertilité. La présence dans le vaccin de virus simiens non testés, de phénol et de polysorbate 80 qui tous deux sont des perturbateurs endocriniens ne peut que susciter l’inquiétude. Il est également connu que les souches vaccinales du virus peuvent rester latentes dans l’organisme et provoquer des poliomyélites des dizaines d’années après l’administration du vaccin.

 

Pour contrer les virus vaccinaux actuellement en circulation, l’Inde se prépare maintenant à lancer dans tout le pays le vaccin injectable (IPV) beaucoup plus coûteux, nécessitant une main d’œuvre qualifiée, ainsi que des sommes d’argent dont ne dispose pas le pays actuellement. Les virus sauvages de la poliomyélite qui pouvaient conférer l’immunité aux enfants, ne sont désormais plus très largement répandus, laissant de ce fait les enfants exposés à des épidémies inattendues.

 

Les soi-disant avantages de la politique d’éradication ont échappé à ce pays endetté. Ses enfants sont aussi confrontés à un avenir incertain. Il est important que les leçons de cette mésaventure soient retenues pour pouvoir, à l’avenir, nous opposer aux possibles agressions sur nos enfants.

 

Note de l’Editeur : il convient aussi de se demander jusqu’à quel point les dépenses effectuées en matière de vaccinations n’ont pas pris le pas ou empêché des politiques élémentaires de santé comme l’accès à l’eau potable et autres mesures d’assainissement.

 

Jagannath Chatterjee travaille à sensibiliser le public indien aux problèmes que peuvent poser les vaccins.

 

 http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-03-28/paralysis-haunts-polio-free-india/

 

 

 

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30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 16:10

Conférence de Keele : Toxicité de l’Aluminium

 

 L’aluminium est utilisé comme adjuvant dans de nombreux vaccins. Il s’agit d’un produit neurotoxique connu. Le Dr Chris Shaw a effectué des recherches sur les effets de l’aluminium. Il a démontré que l’aluminium était susceptible de traverser la barrière hémato-encéphalique, qu’il était étroitement lié à l’autisme et qu’il provoquait des effets dommageables chez les animaux de laboratoire

 

 Heidi Stevenson, 26 mars 2013 (Extraits)

Seringue et boules d'aluminium gaia

 

 Photo : CG Hughes (crânes et dessins ajoutés)

 

Ce qui frappe le plus à la réunion annuelle de Keele sur l’aluminium, c’est qu’elle rassemble des scientifiques qui ont clairement choisi la véritable piste de la science  plutôt que celle de l’argent. Ces scientifiques ont gagné toute mon admiration. L’un d’eux que j’ai été particulièrement honorée de rencontrer est Christopher Shaw, spécialiste s’il en est, de toutes les questions touchant à l’aluminium utilisé comme adjuvants dans les vaccins.

 

Au cours des recherches qu’il a effectuées au Neural Dynamics Research Group, Shaw a montré que plus les souris étaient exposées à de l’aluminium, plus elles souffraient de troubles neurologiques. Il a fourni un résumé de son dernier projet [1], évoqué les travaux d’autres équipes qui ont aussi mis en valeur le fait que les adjuvants aluminiques des vaccins provoquent de nombreux dommages.

 

Au début de son diaporama, Shaw a clairement fait comprendre que L’administration d’aluminium dans les vaccins administrés à de toutes jeunes souris est associé, à long terme, à de sérieux problèmes neurologiques…

 

C’est depuis plus d’un siècle que l’aluminium a été considéré comme neurotoxique. C’était déjà en 1911 que le Dr William Gies écrivait :

 

« Ces études m’ont convaincu que l’utilisation de l’aluminium dans les aliments ou tout autre composé à base d’aluminium est une pratique dangereuse. Il est bien connu que l’ion aluminium est très toxique. Il a pu être démontré que les éléments nutritifs contenant de l’aluminium se solubilisaient avec le suc gastrique. Il n’est plus possible de mettre en doute le fait que cet aluminium solubilisé soit en partie absorbé et transporté dans toutes les parties du corps par voie sanguine. Il n’a pas encore été possible de démontrer que l’organisme puisse « tolérer » pareil « traitement » sans encourir des conséquences dommageables. Les faits énoncés dans le présent document appuient  ma conviction que l’aluminium devrait être exclu de toute forme de nourriture. » [2]

 

Il y a longtemps que l’on sait que l’aluminium est toxique une fois ingéré. Par extension, il n’est pas difficile d’imaginer qu’il puisse également être toxique une fois injecté. Il n’est pas impossible qu’il le soit même encore davantage.

 

On sait que l’aluminium peut être impliqué dans :

 

·        L’altération de la mémoire, la cognition et le contrôle psychomoteur.

·        L’altération de la neurotransmission et de l’activité synaptique/

·        L’interférence avec la barrière hémato-encéphalique

·        L’activité de pro-oxydant

·        L’activation de l’inflammation du cerveau

·        La dépression du métabolisme du glucose cérébral

·        La promotion de l’amylose

·        L’activation possible des réactions auto-immunes.

 

L’exposition à l’aluminium est omniprésente dans le monde d’aujourd’hui : médicaments, vaccins, nourriture, eau, cosmétiques, produits de santé, activités industrielles.

 

L’aluminium comme adjuvant des vaccins

 

La première référence sur l’aluminium en tant qu’adjuvant des vaccins a été publiée en 1926 dans le Journal of Pathology & Bacteriology (« The antigenic value of toxoid precipitated by potassium alum. »

 

Aujourd’hui, l’aluminium est homologué pour plusieurs vaccins pédiatriques dont certains sont administrés plusieurs fois…Shaw et son équipe ont pu montrer clairement que lorsque des doses d’aluminium proportionnées à leur poids sont injectées à de jeunes souris, elles sont susceptibles de provoquer des dommages neurologiques.

 

Aluminium vaccinal et autisme

 

Shaw a déclaré que l’autisme était une affection grave qui impliquait des dysfonctionnements du langage, des problèmes d’interaction sociale, ainsi que des réponses immunitaires. Il y a eu une augmentation spectaculaire de l’autisme depuis les années 1990. Plusieurs hypothèses ont été formulées : modification des gènes, modifications dans les critères de diagnostic, prise de conscience plus importante, augmentation de la population, produits toxiques etc.

 

La prévalence des troubles autistiques (TSA) depuis 1990 est clairement illustrée par le graphique suivant.

Graphique KEELE (1)

 

Le graphique qui suit montre, par pays, la charge d’aluminium qui pèse sur les enfants par le biais des vaccins au cours des premiers mois de la vie.

 

Dans une étude de 2011, Shaw et son équipe ont montré une corrélation extrêmement forte entre l’exposition à des adjuvants aluminiques et le nombre de cas de TSA (Troubles du Spectre Autistique). Les chercheurs ont eu recours à l’analyse statistique dite de Pearson.

 

Graphique KEELE (2)

  Graph KEELE (3)

 

Sur ce dernier graphique, les calculs ont été effectués 3 fois : d’abord pour une exposition faible à l’aluminium vaccinal, puis moyenne et ensuite élevée. Chaque point du graphique représente le nombre de cas enregistrés cette année-là. Les trois lignes inclinées montrent la corrélation de Pearson définie par la relation, calculée à 0,92, ce qui est exceptionnellement élevé et fortement indicatif d’une association entre l’Aluminium des vaccins et les TSA (Troubles du Spectre Autistique).

 

Cette étude a aussi révélé que :

 

· L’exposition à l’adjuvant aluminique est en rapport avec l’âge auquel l’exposition a eu lieu.

· Les pays qui ont les programmes de vaccination comportant le plus de vaccins adjuvantés à l’aluminium ont les taux les plus élevés de TSA (Troubles du spectre autistique).

· Les Etats-Unis et le Canada ont les taux les plus élevés de TSA, alors que les taux sont plus faibles dans les pays nordiques.

· Huit des neuf critères de Hill apportent les preuves adéquates.

 

Les critères de Hill comportent un groupe de questions qui doivent recevoir réponse pour pouvoir, quand il s’agit de maladies, démontrer l’association de la cause et de l’effet. Ces éléments sont :

 

· La force des données,

· La cohérence des résultats,

· La plausibilité biologique. Y a-t-il une explication raisonnable aux cause  potentielles de la maladie ?

· La relation temporelle,

· Le gradient biologique,

· La cohérence

· Les preuves expérimentales

· L’analogie avec des preuves similaires, 

 · La spécificité.

 

Les études animales ont fourni des données importantes qui établissent des liens entre les adjuvants à l’aluminium et les cas de TSA.

 

Conclusions

 

Le Dr Shaw a montré que :

 

· L’aluminium est toxique chez l’animal.

· L’aluminium des vaccins a été mis en corrélation avec les Troubles du spectre autistique. La chose est à la fois statistiquement significative et répond, à l’exception d’un seul, à tous les critères de Hill.

· Les souris qui ont reçu l’équivalent en aluminium proportionnellement à celui que l’on retrouve dans les doses pédiatriques, fait penser que ses effets sont dose- dépendants. · Les modifications histologiques (= modifications des tissus) comprennent des réactions neuro-inflammatoires chez les souris mâles et femelles.

· Certaines de ces réponses peuvent être provoquées par une réaction auto-immune. Elles peuvent, par conséquent faire partie du syndrome inflammatoire auto- immun.

 

Suggestions du Dr Shaw

 

· Etudes avec imagerie chez l’homme pour pouvoir déterminer où va l’aluminium et pendant combien de temps il se maintient dans le système nerveux central.

· Etudes concernant l’élimination de l’aluminium du système nerveux central.

 

Il est bien  évident qu’en ce qui concerne l’aluminium des vaccins,  de grands progrès doivent encore être réalisés en ce qui concerne la cause et les effets….

  

Sources:
2.     Some Objections to the Use of Alum Baking PowderJAMA; William J. Gies, Ph.D; doi:10.1001/jama.1911.04260090038015
3.    Aluminum Vaccine Adjuvants: Are They Safe?Journal of Inorganic Biochemisty; L. Tomljenovic and C.A. Shaw; doi:10.1016/j.jinorgbio.2009.05.019.
4.    Aluminum hydroxide injections lead to motor deficits and motor neuron degenerationJournal of Inorganic Biochemisty; Christopher A. Shaw and Michael S. Petrik; 10.1016/j.jinorgbio.2009.05.019
5.    Aluminum Adjuvant Linked to Gulf War Illness Induces Motor Neuron Death in MiceNeuromolecular Medicine. 2007;9(1):83-100; Petrik MS, Wong MC, Tabata RC, Garry RF, Shaw CA
6.    Aluminum-based adjuvants should not be used as placebos in clinical trials, Vaccine; Exley, C; doi: 10.1016/j.vaccine.2011.08.062
8.    ‘ASIA’—Autoimmune/inflammatory syndrome induced by adjuvantsJournal of Autoimmunity; Shoenfeld Y, Agmon-Levin N.; doi: 10.1016/j.jaut.2010.07.003
9.    Long-term persistence of vaccine-derived aluminum hydroxide is associated with chronic cognitive dysfunctionJournal of Inorganic Biochemistry; Couette M, Boisse MF, Maison P, Brugieres P, Cesaro P, Chevalier X, Gherardi RK, Bachoud-Levi AC, Authier FJ; doi: 10.1016/j.jinorgbio.2009.08.005
10. Do aluminum vaccine adjuvants contribute to the rising prevalence of autism? Journal of Inorganic Biochemistry; Lucija Tomljenovic and Christopher A. Shaw; doi:10.1016/j.jinorgbio.2011.08.008
11. Empirical Data Confirm Autism Symptoms Linked to Aluminum and Acetaminophen ExposureJournal of Inorganic Biochemistry; Stephanie Seneff, Robert M. Davidson, and Jingjing Liu;  doi:10.3390/e14112227
12. Mechanisms of aluminum adjuvant toxicity and autoimmunity in pediatric populationsJournal of Inorganic Biology; Tomljenovic, L, Shaw, CA; doi: 10.1177/0961203311430221

 

http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-03-26/current-status-of-aluminum-adjuvant-research/

 

http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-03-26/current-status-of-aluminum-adjuvant-research-focus-on-autism/

 

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 21:00
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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 16:15

Big Pharma désespérée !

 

Ces gens ne veulent pas que vous sachiez que le fait d’injecter des produits chimiques toxiques et de dangereux agents biologiques dans le corps de votre bébé peut littéralement le tuer. Cela porte un nom : SMSN (SIDS) ou Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson.

 

Souvent, les chercheurs s’empressent de dire que les vaccins n’y sont pour rien, même quand les décès suivent de très près la vaccination. Il est aussi rare que des médecins et des infirmières reconnaissent la relation.

 

 

La mort subite d’un enfant après vaccination peut être facilement camouflée

 

Wendy Lydall, 23 mars 2013

 

Bebe-qui-suce-son-doigt-Vactruth.jpg

   

Les chercheurs considèrent rarement que les vaccins puissent être la cause de la mort subite d’un nourrisson.

 

Partout dans le monde les autorités médicales racontent aux parents qu’il a été démontré que la vaccination ne peut provoquer la mort subite d’un bébé, et parfois, ils vont jusqu’à dire que la vaccination empêche ces décès. Cependant, les études auxquelles on a recours pour justifier ces revendications utilisent des méthodes de recherche qui ne tiennent pas suffisamment compte de la possibilité qu’une vaccination puisse augmenter le risque de mort subite chez les nourrissons plus sensibles.

 

La méthode des cas-contrôles

 

La méthode préférée des chercheurs qui se penchent sur ce problème est celle des cas-contrôles. Cette méthode compare les bébés décédés aux autres bébés.

 

Les chercheurs sélectionnent un groupe de bébés décédés (SMSN) dans une zone géographique particulière. Chaque cas de décès est comparé à deux ou trois cas de bébés vivants que l’on appelle les contrôles. Ensuite, on compare l’histoire de la vaccination du bébé décédé avec l’histoire de la vaccination des deux ou trois autres bébés qui ne sont pas morts. Les bébés qui n’ont reçu aucune vaccination sont exclus de l’étude.

 

Dans les études qui ont été publiées, les chercheurs ont constaté que lorsque les bébés vivants atteignaient l’âge où le bébé en question est décédé, les bébés vivants avaient reçu plus de doses de vaccin que le bébé décédé. Cette observation a conduit les chercheurs à conclure que la vaccination ne provoquait pas le SMSN. Il s’agit ici d’une conclusion heureuse pour ceux qui veulent promouvoir la vaccination ; mais cette conclusion est loin d’être scientifiquement valable.

 

Le problème avec la méthode des cas-témoins est que l’on a pu comparer des bébés fragiles, susceptibles de mourir d’une attaque immunologique avec des bébés plus robustes qui peuvent survivre à des injections de tissus animaux, de tissus humains, d’huile d’arachide, de germes atténués, de métaux toxiques, de produits chimiques toxiques, de levures génétiquement modifiées… Les études de cas témoins peuvent néanmoins être utiles lorsqu’il s’agit d’étudier des éléments statiques au moment du décès, comme par exemple la comparaison d’un bébé qui suce sa tétine avec un autre ; la comparaison d’un bébé couché sur le ventre avec un autre etc.

 

Il est évident que les effets de la vaccination ne sont pas statiques, ils continuent à produire leurs effets, et en outre on ne les connaît pas.

 

Le contrôle des facteurs connus qui peuvent augmenter le risque du SMSN  n’est pas du tout la même chose que de dire que l’on contrôle les facteurs susceptibles d’augmenter  le risque de SMSN après vaccination.

 

Une découverte importante

 

Dans l’étude la plus récente avec des cas-témoins qui a été réalisée en Allemagne, les chercheurs ont constaté que les bébés qui sont morts avaient reçu moins de vaccinations que ceux qui étaient encore vivants et que leurs vaccinations avaient été faites plus tardivement. [1]

 

Ce dernier résultat peut être fort important. Les parents peuvent éprouver des réticences à faire vacciner leur enfant quand ils estiment que celui-ci est particulièrement fragile ou quand ils savent qu’il y a eu des effets secondaires à la vaccination dans la famille. Il y a aussi les parents qui ne sont guère favorables à la vaccination et qui finissent par céder en raison des fortes pressions qui s’exercent sur eux. Ces parents retardent généralement la vaccination par rapport aux dates prescrites.

 

Il est intéressant de noter que les chercheurs ont trouvé chez les enfants décédés des taux significativement plus élevés de problèmes de développement, des hospitalisations, des examens spéciaux, comme des radiographies et des électrocardiogrammes par rapport aux enfants vivants. [2] Cette découverte pourrait, dans l’esprit de certains vouloir dire que les 22% des bébés qui ont connu ces problèmes étaient davantage susceptibles de décéder de manière inattendue et que la vaccination n’aurait joué aucun rôle dans leur décès.

 

Par ailleurs, cela pourrait aussi bien signifier que ces bébés plus fragiles ont été plus sensibles à un effet peu connu de la vaccination et que cette vaccination a entraîné leur décès. Une étude de conception différente serait nécessaire pour déterminer si la vaccination n’a pas aussi joué un rôle dans le décès de ces 22% d’enfants. Le fait que ces bébés aient reçu moins de doses de vaccins que les bébés vivants avec lesquels ils ont été comparés, ne veut pas dire qu’ils n’ont pas été « poussés à bout » par les constituants des vaccins qui sont entrés dans leur corps.

 

70% des SMSN se sont produits dans les 3 semaines qui ont suivi la vaccination contre la coqueluche.

  

Graph-mort-subite-du-nourrisson.jpg

 

 

Troubles métaboliques

 

Une certaine réflexion a porté sur le rôle que pourraient jouer les troubles métaboliques qui rendraient les enfants sensibles aux effets indésirables des vaccinations. Cette relation a été envisagée par un groupe de médecins, mais aucune étude approfondie n’a été réalisée.

[…]

 

Il y a bien longtemps, j’ai signalé à un pédiatre qui publie des articles sur le SMSN que je considérais inadéquates les études avec cas-témoins sur lesquelles on se basait pour vérifier si la vaccination augmentait le risque de mort subite du nourrisson. Il m’a répondu : « C’est comme cela que l’on a toujours fait. »

 

Valentina A. Soldatenkova est mathématicienne et physicienne. Elle a également estimé que les études avec cas-témoins étaient insuffisantes pour évaluer la relation entre la vaccination et le SMSN. Dans sa publication, elle critique les études avec cas-témoins comme les méthodes statistiques utilisées pour conclure qu’il n’y a pas de relation entre les vaccinations et les cas de morts subites du nourrisson. [4]

 

L’Institut de Médecine aux USA a pour mission de publier des études complexes qui tendent à gommer les effets secondaires des vaccins, et c’est exactement ce qu’ils ont fait par rapport à la mort subite du nourrisson et aux vaccins. Leur long rapport sur les études existantes conclut que « les éléments de preuve ne confirment pas un lien de causalité » entre la vaccination et la mort subite du nourrisson.

 

Soldatenkova souligne que leur rapport aurait plutôt dû préciser : « les preuves sont insuffisantes pour accepter ou rejeter une relation causale entre la mort subite du nourrisson et les vaccins. » [4]

 

Etudes temporelles

 

D’autres types d’études souvent citées pour démontrer que les vaccinations ne provoquent pas la mort subite du nourrisson sont les études temporelles. Au cœur même de ces études, on trouve l’hypothèse que si la vaccination devait provoquer une mort subite inexpliquée, cette dernière se produirait endéans les 12 heures, 24 heures, 48 heures, 7 jours ou 14 jours. [5, 6, 7, 8.] Comme personne ne connaît l’impact des vaccins une fois qu’ils ont été injectés dans le corps, il n’est pas possible de connaître les délais endéans lesquels des effets secondaires pourraient se manifester.

 

Les anticorps ne commencent généralement à apparaître que deux semaines après la vaccination et leur production se prolonge encore pendant quelques semaines. Les chercheurs dont les études sont souvent payées par les fabricants de vaccins, n’ont aucune raison de supposer que les effets négatifs des ingrédients présents dans les vaccins prendraient moins de temps à se manifester qu’il n’en faut pour le développement des anticorps.

 

Lien possible entre la vaccination et les taux de sucre sanguin

 

Il n’est pas impossible que certaines morts subites du nourrisson soient provoquées par des taux de sucre dans le sang trop peu élevés. Le Dr C Horwarth a rapporté qu’en Nouvelle-Zélande, au cours d’une période de trois ans, les taux de sucre sanguin de 84 bébés dont le décès était resté inexpliqué avaient été mesurés au cours d’autopsies. Chez 81 d’entre eux, le taux de sucre sanguin avait été jugé inférieur à la normale. [9]

 

D’autres études ont montré que l’hypoglycémie serait fortement associée au SMSN

[10, 11, 12, 13]. Lorsque le vaccin de la coqueluche à germes entiers provoque la baisse des taux sanguins, cette baisse commence à se manifester 8 jours après l’injection et atteint son point le plus bas après 12 jours (après l’injection). Le taux redevient normal après environ 24 jours (après l’injection). [14]

 

Promesse de nouveaux protocoles

 

De nombreux pays ont adopté des lois rendant obligatoire une autopsie après chaque SMSN. Ces pays ont précisé le protocole à suivre en la matière. C’est là un grand pas en avant. Auparavant, les autopsies étaient seulement réalisées si quelqu’un l’exigeait. A cette époque, on pouvait décider ce qu’il fallait chercher et ce qu’on pouvait ignorer.

 

L’un des avantages de la mise en place de protocoles d’autopsie est qu’il est aujourd’hui possible de trouver des explications  pour certains décès qui jusqu’alors restaient inexpliqués. En Allemagne, par exemple,  ce sont ces autopsies qui ont permis de trouver une explication pour 11,2% des cas qui n’ont plus été classés dans les SMSN. [15]

 

A l’avenir, les protocoles pourront permettre d’identifier les moyens de réduire l’incidence du SMSN. Dans le même temps, ces protocoles pourront mieux permettre de détecter les abus vis-à-vis des enfants, comme aussi empêcher que des parents soient faussement accusés de maltraitance ou de violences. Ces protocoles veulent aussi dire que les médecins ne pourront plus éliminer aussi facilement des réactions qui seraient manifestement liées aux vaccinations et les qualifier de SMSN.

 

L’utilité des autopsies serait aussi renforcée si elles pouvaient inclure une évaluation des taux de sucre dans le sang au moment du décès, ce qui peut être réalisé même si la glycémie continue à se décomposer pendant un court laps de temps après la mort. [10,16] .

 

CONCLUSION

 

Les cas de mort subite du nourrisson se sont  produits bien longtemps avant que n’apparaissent les vaccinations. [17]. Comme les enregistrements de leur incidence n’ont pas été conservés jusqu’à une époque relativement récente, il n’est pas possible de savoir si les taux de SMSN des temps modernes diffèrent de ce qu’ils étaient dans un passé plus lointain. Pour une meilleure compréhension de l’affligeant, phénomène SMSN, il conviendrait d’évaluer les taux de sucre au moment de la mort. Pour chaque vaccin recommandé pour les nourrissons, il conviendrait de vérifier s’ils ne font pas baisser le taux de sucre sanguin après les vaccinations.

 

 

Références

 

1. Vennemann, M.M., Butterfaß-Bahloul, T., Jorch, G., Brinkmann, B., Findeisen, M., Sauerland, C., et al. (2007). “Sudden infant death syndrome: No increased risk after immunization.” Vaccine: 25(2), 336–340.

 

2. Vennemann, M.M., Findeisen, M., Butterfass-Bahloul, T., Jorch, G., Brinkmann, B., Kopcke W. et al. (2005). “Infection, health problems, and health care utilisation, and the risk of sudden infant death syndrome.” Archives of Disease in Childhood: 90(5), 520–522. http://adc.bmj.com/content/90/5/520.long

 

3. Wilson, K., Potter, B., Manuel, D., Keelan, J., & Chakraborty P. (2010). “Revisiting the possibility of serious adverse events from the whole cell pertussis vaccine: Were metabolically vulnerable children at risk?” Medical Hypotheses: 74(1), 150–154.

 

4. Soldatenkova, V.A. (2007). “Why case-control studies showed no association between Sudden Infant Death Syndrome and vaccinations.” Medical Veritas: 4, 1411–1413. http://pdfdownloadfree.net/?pdfurl=1qeXpurpn6Wih-SUpOGunKqnh8PX74XXy…

 

5. Keens, T.G., Ward, S.L., Gates, E.P., Andree, D.I., & Hart, L.D. (1985). “Ventilatory pattern following diphtheria-tetanus-pertussis immunization in infants at risk for sudden infant death syndrome.” American Journal of Diseases of Children: 139(10), 991–994.

 

6. Hoffman, H.J., Hunter, J.C., Damus, K., Pakter, J., Peterson, D.R., van Belle, G., et al. (1987). “Diphtheria-tetanus-pertussis immunization and sudden infant death: results of the National Institute of Child Health and Human Development Cooperative Epidemiological Study of Sudden Infant Death Syndrome risk factors.” Pediatrics: 79(4), 598–611.

 

7. Brotherton, J.M., Hull, B.P., Hayen, A., Gidding, H.F., & Burgess, M.A. (2005). “Probability of coincident vaccination in the 24 or 48 hours preceding sudden infant death syndrome death in Australia.” Pediatrics: 115

 

(6), 643–646. http://pediatrics.aappublications.org/content/115/6/e643.long

 

8. Griffin, M.R., Ray, W.A., Livengood, J.R., & Schaffner, W. (1988). “Risk of sudden infant death syndrome after immunization with the diphtheria-tetanus-pertussis vaccine.” New England Journal of Medicine: 319(10), 618–23.

 

9. Horvarth, C.H. (1990). “Sudden infant death syndrome.” New Zealand Medical Journal: 103(885), 107.

 

10. Hirvonen, J., Jantti, M., Syrjala, H., Lautala, P., & Akerblom, H.K. (1980). “Hyperplasia of islets of Langerhans and low serum insulin in cot deaths.” Forensic Science International: 16, 213–226. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7009350

 

11. Read, D.J., Williams, A. L., Hensley, W., Edwards, M., & Beal, S. (1979). “Sudden Infant Deaths: Some Current Research Strategies.” Medical Journal of Australia: 2(5), 236–238, 240–241, 244.

 

12. Aynsley-Green, A., Polak, J.M., Keeling, J., Gough, M.H., & Baum, J.D. (1978). “Averted sudden neonatal death due to pancreatic nesidioblastosis.” The Lancet: 311(8063), 550–551.

 

13. Cox, J.N., Guelpa, G., & Terrapon, M. (1976). “Islet-cell hyperplasia and sudden infant death.” The Lancet: 308(7985), 739–740.

 

14. Dhar, H.L. & West, G.B. (1972). “Sensitization procedures and the blood sugar concentration.” Journal of Pharmacy and Pharmacology: 24, 249.

 

15. Findeisen,M., Vennemann, M.M., Brinkmann, B., Ortmann, C., Röse, I., Köpcke, W. et al. (2004). “German study on sudden infant death (GeSID): design, epidemiological and pathological profile.” International Journal of Legal Medicine: 118(3), 163–169. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15042379

 

16. Palmiere, C. & Mangin, P. (2012). “Postmortem chemistry update part I.” International Journal of Legal Medicine: 126(2), 187–98.

 

17. Limerick, S.R. (1992). “Sudden infant death in historical perspective.” Journal of Clinical Pathology, 45(Suppl), 3–6.

 

SMSN.JPG 

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 15:06

On ne naît pas anti-vaccins, on le devient.............

 

hostile-vaccins.jpg

  "Je suis devenue hostile AUX VACCINS."  

 

Françoise, Issy Les Moulineaux le 27 août 2012

 

Etes-vous vaccinée contre l’hépatite B ?

Oui, en 1993 (3 injections) et 1994 (rappel), j'avais 50 ans.

 

Qu’est-ce qui a motivé votre choix ?

Obligation professionnelle (manipulatrice-radio), je n'avais pas le choix.

 

Si vous êtes vaccinée, avez-vous peur d’éventuelles conséquences sur votre santé ? Lesquelles ?

Malheureusement il est trop tard, j'ai une myofasciite à macrophages (myopathie inflammatoire acquise et, surtout, dégénérative. Je ne peux plus aller me promener ni rien faire chez moi, si ce n'est être devant mon ordinateur.

 

Si vous n’êtes pas vaccinée, quelles précautions prenez-vous pour éviter d’être contaminée par l’hépatite B ?

Et que faire contre le sida puisque je me suis occupée de pas mal de malades en phase terminale. On nous disait de faire attention.
Notre vie de malades ayant la "myo" est un véritable enfer.

 

http://sante.journaldesfemmes.com/temoignage/temoignage/423812/je-suis-devenue-hostile-aux-vaccins/

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 14:34

L’interview choquante censurée menée par un médecin historien Edward Shorter pour la télévision publique de Boston WGBH et Blackwell Science a été coupée du livre “The Health Century” en raison de sa teneur – l’admission que Merck a traditionnellement injecté le virus cancérigène (SV40 et d’autres) dans la population partout dans le monde.

 

Ce passage contenu dans le documentaire  » In Lies We Trust: The CIA, Hollywood & Bioterrorism », produit et librement crée par les associations de protection des consommateurs et l’expert de santé publique, le Dr Leonard Horowitz, caractérise l’entrevue avec le plus grand expert en vaccins du monde, le Dr Maurice Hilleman, qui explique comment Merck et ses vaccins pourrait être impliqué dans des millions de cas de SIDA et de cancers.

 

 

Production des vaccins facultatifs et non facultatifs: On doit acquérir le germe de la maladie (mais ce n’est pas le germe qui produit la maladie), une bactérie toxique ou un virus « vivant »( il n’est pas possible d’avoir des virus «vivants» , puisque ce ne sont pas des êtres vivants), qui doit être atténué, ou affaibli pour un usage humain, avec une série d’étapes en passant les virus par les cultures de tissus d’animaux à plusieurs reprises pour réduire la potentialité pathogène; exemple: le vaccin associé à la rougeole, les oreillons et la rubéole est préparé dans l’embryon du poussin, le virus de la poliomyélite à travers les reins de singe vert africain, le virus de la rubéole à travers les cellules diploïdes humaines ou des organes disséqués de fœtus avortés.

 

Comment ils se produisent, c’est ce qu’explique le Dr Alain Scohl dans un article dans lequel sont présentés les éléments les plus significatifs, paru sur le n. 4/97 de Kairos où il affirme: « L’injection de vaccins est pratiquée en dépit de toutes les règles de sécurité habituelles recommandées pour les traitements médicaux ». Les techniques de préparation des vaccins sont tenues secrètes. Normalement, même les grands professeurs ne les connaissent pas. Aujourd’hui, les vaccins viraux modernes sont préparés essentiellement sur des cultures de cellules humaines, fœtales ou animales, cancérisées artificiellement, pour les rendre littéralement immortelles (elles se reproduisent toujours dans les corps vivants), et avoir une certaine « stabilité du produit », quand il ne s’agit pas de cellules déjà cancéreuses (lymphomes).

 

Pour accroître le rendement de la production, les cellules « immortelles » sont « nourries » avec du sérum sanguin de vache, qui possède un facteur de croissance particulièrement actif. C’est juste le liquide de culture de ces cellules cancérisées qui est inoculé, après filtration et traitement pour atténuer ou éliminer le virus. Il est absolument impossible d’obtenir un produit pur. L’OMS « s’attend  » pudiquement à une pureté de 90%.

 

Quels sont les dangers? Avec ces vaccins sont inoculés dans notre organisme:

 

- Des substances cancérogènes certainement dans d’énormes quantités

- Certains outils (sur une échelle cellulaire) servis à la manipulation génétique (dans le cas des vaccins génétiquement modifiés), telles que les enzymes et les portions de l’ADN. Ce matériau peut déclencher à tout moment des variations du message génétique chez le vacciné, aussi bien que le virus connu.

 

Pour certains vaccins (polio et autres) sont utilisés des cultures de cellules de rein de singe vert africain (lequel est préparé avec le vaccin contre la polio – le rein du singe contient un ancêtre du VIH, celui qui causerait le sida) le sérum du veau et l’embryon de poussin sont des protéines étrangères, de la matière biologique composée de cellules animales. Les virus appelés improprement «tués» Un virus ne peut pas être tué puisqu’il n’est pas un être vivant, mais seulement une protéine toxique contenant de l’ADN – il est rendu « inactif »- en réalité  » affaibli « - avec la chaleur, des radiations ou des produits chimiques, mais dans certains cas, un état fébrile peut réactiver le virus. Le virus « affaibli » doit ensuite être renforcé avec des adjuvants ( boosters des anticorps ) et des stabilisants, en ajoutant des médicaments, des antibiotiques et des désinfectants toxiques à la base de la préparation:  néomycine, streptomycine, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, hydroxyde d’aluminium, chlorhydrate d’aluminium, sorbitol, gélatine hydrolysée, formaldéhyde (produit cancéreux) et le thimérosal (partie du mercure).

 

Etant donné que cette « matière toxique organique » est injectée directement dans la circulation sanguine, en ignorant tous les mécanismes de défense immunitaire naturelle, elle peut aussi endommager notre structure génétique, ou immunodéprimer le sujet vacciné. Plusieurs chercheurs ont constaté que les vaccins « trompent » le corps en le stimulant pour se focaliser seulement sur un aspect (à savoir la production d’anticorps) des stratégies multiples et complexes normalement disponibles pour le système immunitaire. Les virus (protéines toxiques) des animaux utilisés dans les cultures de préparation des vaccins et inoculés avec eux, peuvent « sauter » la barrière de l’espèce de manière occulte et inobservable.

 

C’est exactement ce qui s’est passé pendant les années 50 et 70, quand des millions de personnes ont été infectées par le vaccin contre la polio (Sabin) et contaminées par le virus cancérigène SV-40 (virus du singe) et est passé par les organes du singe utilisé pour préparer les vaccins.

 

http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/03/22/26712342.html

 

 

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 14:30

Les lois sur les vaccinations menacent les droits parentaux pour « le plus grand bien » !

 

L’image que l’on veut donner des vaccins est un bien absolu sans aucun revers. La réalité est cependant bien différente. Même les fonctionnaires qui font la promotion des vaccins admettent que tout qui se fait vacciner prend un risque avec chaque vaccination « pour le plus grand bien de tous » ! Mais qui a le droit de décider si votre enfant doit se faire vacciner…pour le plus grand bien, à l’exception de ce dernier si sa santé est finalement ruinée par le vaccin ?

 

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D’après un article du Dr Joseph Mercola

 

Le film documentaire « The Greater Good » qui a été primé au Festival « Sidewalk Film » pour l’intérêt qu’il soulève en matière de santé publique, a comme objectif de nous entraîner au-delà de la peur, de la propagande et de la politique qui ont souvent polarisé le débat jusqu’à aujourd’hui.

 

Après le Prix Koroni, le film a aussi reçu le Prix 2011 au festival d’Amsterdam.

 

« The Greater Good » relate l’histoire de familles dont les vies ont été bouleversées à jamais à la suite des vaccinations. Il montre également comment la médecine moderne, surtout quand elle est entraînée par la politique et le business, en arrive à vous dépouiller de vos droits les plus fondamentaux. Le résultat de pareilles politiques peut en fait se montrer dévastateur. Le film a fait dire à un critique de La Weekly : «  Ce qui est dit dans ce film est stupéfiant, surtout pour les personnes qui ne sont pas au fait du type de science et de politique qui se trouvent derrière les vaccins. » 

 

Le film cherche à ouvrir des voies de communication entre les parents, les médecins et les décideurs afin de pouvoir entamer un débat rationnel sur la sécurité des vaccins. Après tout, n’est-ce pas notre plus profond souhait d’avoir des enfants en parfaite santé et protégés de tout préjudice inutile ? Afin d’assurer la sécurité du plus grand nombre d’enfants possible, nous ne pouvons pas nous permettre d’ignorer les signes qui pourraient nous indiquer que nous avons peut-être été trop loin, au point que nous devions aujourd’hui constater que beaucoup trop de personnes sont touchées dans leur santé.

 

Aux Etats-Unis la politique vaccinale est basée sur des données scientifiques lacunaires

 

Les autorités sanitaires ont longtemps insisté sur le fait que les vaccins constituent le meilleur moyen de protéger la santé. En conséquence, le nombre de doses de vaccins incluses dans le calendrier vaccinal a triplé au  cours des 30 dernières années, passant de 23 doses de sept différents vaccins en 1980, à 69 doses de 16 vaccins en 2010.

 

Parallèlement à l’augmentation des vaccins administrés, on a assisté à une augmentation significative d’enfants atteints de maladies chroniques et de handicaps. Quel qu’en soit la raison, nous devons constater que nos enfants sont de plus en plus malades. Les chiffres de mortalité infantile sont également en augmentation. En 1960, l’Amérique était classée en 12ème place dans le monde par rapport au taux de mortalité infantile. En 2005, elle se retrouvait à la 30ème place. En outre, il y a, aux Etats-Unis, plus d’enfants nés à terme qui meurent avant leur premier anniversaire que partout ailleurs en Europe et c’est précisément aux Etats-Unis que les enfants reçoivent plus de vaccins que dans n’importe quel autre pays au monde. Tout ceci pourrait-il relever de coïncidences ? La vérité est que nous n’en savons rien.

 

Personne n’a jamais réellement et de manière indépendante étudié la santé d’enfants vaccinés comparativement à des enfants non vaccinés. Cette étude est évidemment indispensable non seulement pour chaque vaccin, mais aussi pour toutes les combinaisons de vaccins. La recherche est INCOMPLETE et c’est là que réside une grande partie du problème. Comment est-il possible de prétendre qu’un produit pharmaceutique comme un vaccin est sans danger pour tout un chacun, et que l’injection de vaccins multiples à la naissance et pendant toute l’enfance est une mesure sage de santé publique, alors que cette politique n’a pas été suffisamment étudiée ? En tant que nation, les Etats-Unis ont joué la santé de leurs citoyens sur des hypothèses.

 

Comme il est dit dans le film : « La certitude n’est pas scientifique ».

 

Les vaccins sont actuellement approuvés sur base des recherches présentées au gouvernement par les compagnies pharmaceutiques qui ont financé les études préalables à l’homologation. Beaucoup d’études réalisées par les compagnies pharmaceutiques ne se basent pas sur d’authentiques placebos et ne portent que sur quelques centaines ou milliers de personnes en bonne santé. Cette situation ne correspond pas au profil de santé de millions de personnes qui seront vaccinées après que le vaccin ait reçu sa licence. La sécurité des politiques de vaccination est essentiellement basée sur la parole des fabricants qui produisent les vaccins et qui en retirent bénéfice. En outre, ces compagnies jouissent d’une protection contre toute responsabilité et poursuites judiciaires. Cette protection leur fut accordée par le Congrès et la Cour Suprême.

 

Est-ce là une situation sage ?

 

Il est également à noter que le programme de vaccination est une stratégie passe- partout. Il n’est tenu aucun compte que nous sommes tous des individus différents, avec des prédispositions, des états de santé différents qui peuvent jouer un rôle déterminant dans la manière dont nous pouvons réagir à des vaccins ou à des médicaments. A titre d’exemple, citons le Dr N. Campbell-McBride qui a fait remarquer que les enfants dont la flore intestinale est perturbée sont particulièrement vulnérables aux dommages que peuvent produire les vaccins…

 

Pour « le plus grand bien », mais à quel prix ?

 

Se baser sur l’hypothèse que des vaccinations passe-partout sont nécessaires  pour « le plus grand bien » ne prend nullement en compte la possibilité que des dommages soient occasionnés à un nombre croissant de personnes qui ne seront pas comptabilisées lors de l’évaluation bénéfices/risques.

 

Nous ne devons pas oublier qu’à ce jour nous ne disposons d’aucune donnée fiable indiquant le nombre d’enfants dont la santé a été endommagée par tel ou tel vaccin, du fait que la déclaration des complications vaccinales est entièrement volontaire.

 

Le CDC (Centres Américains de Contrôle des Maladies) admet lui-même que seule une petite fraction des hospitalisations, des dommages et des décès après vaccinations sont effectivement rapportés. Dans un article datant de 1993 paru dans le Journal of the American Medical Association, l’ancien commissaire de la FDA, David Kessle,r a estimé que moins de 1% de tous les médecins rapportent  les dommages et les décès qui font suite à l’administration de produits prescrits sur ordonnance…Aujourd’hui, de nombreux médecins et autorités de santé rejettent les effets secondaires  comme n’ayant aucun rapport avec les vaccins…

 

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Après les vaccins, je suis tombée malade : paralysies partielles, troubles oculaires, crises d’épilepsie (The Greater Good)

 

Lorsque le gouvernement recommande aux médecins d’administrer 69 doses de vaccin et que bon nombre de ces vaccins sont obligatoires, la sécurité doit devenir une toute première priorité. Il est essentiel que des études soient effectuées pour déterminer si le calendrier vaccinal actuel ne fait pas plus de mal que de bien.

 

Les profits avant la sécurité

 

Il y a évidemment BEAUCOUP d’argent dans toute cette histoire. L’industrie pharmaceutique s’est évidemment montrée très créative pour influencer l’adoption de ses vaccins. L’une des stratégies utilisées est la combinaison des vaccins. Cela permet d’économiser de l’argent et d’assurer en même temps des taux de vaccination plus élevés. Peu importe le fait que la plupart des recherches réalisées avant la mise sur le marché n’aient pas étudié la combinaison de plusieurs vaccins pour pouvoir en démontrer la sécurité.

 

Le CDC accepte maintenant et encourage les « partenariats » entre fabricants de vaccins et médecins privés – qui relèvent en réalité des conflits d’intérêts. On ne s’est non plus pas gêné de promouvoir des mesures incitatives comme des distributions d’argent ou des bons d’achats. En 1994, le CDC a créé une fondation qui a de nombreux programmes vaccinaux sponsorisés par de grandes firmes pharmaceutiques.

 

Nous ne pouvons pas permettre aux compagnies pharmaceutiques et aux associations médicales financées par l’industrie de dominer le débat sur la vaccination. Les victimes de la vaccination ne peuvent être balayées sous le tapis, comme s’il ne s’agissait que de « dommages collatéraux statistiquement acceptables » d’une politique de vaccination passe-partout, mais pourtant susceptible d’entraîner des dommages et des décès. Il est impensable et inacceptable de traiter des êtres humains comme des cobayes.

 

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Vous pouvez avoir 20, 30, 40, 50 vaccins obligatoires sans que qui que ce soit n’assume la moindre responsabilité ! C’est là la prescription même d’un désastre. Barbara L.FISHER, Présidente du NVIC

 

http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-03-19/vaccine-law-threatens-parental-rights-for-the-greater-good/

 

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 16:03

 Manquements vis-à-vis des plus faibles : 

Empoisonnement à l’aluminium

 

 

Dans ce premier rapport de la Conférence de Keele sur les effets biologiques de l’aluminium, nous apprenons que les plus faibles parmi nous, les bébés prématurés et les personnes âgées et malades sont empoisonnées avec de l’aluminium par le biais de leur alimentation. Les limites édictées par la FDA sont systématiquement ignorées, alors que ce problème, connu depuis 30 ans, se poursuit sans relâche.

 

Bebe-premature.jpg

Bébé prématuré tenant le doigt de son papa – J.D. Thyme

 

 

Par Heidi Stevenson, 17 mars 2013

 

Les nouveau-nés les plus faibles sont nourris par voie parentérale. Autrement dit, ils reçoivent leur nourriture par voie intraveineuse parce qu’ils sont incapables de manger. En dépit des directives de la FDA (USA Food & Drug Administration), les nourrissons les plus démunis reçoivent des doses massives d’aluminium, un métal toxique qui n’a pas sa place dans le métabolisme humain. La recherche démontre que ces lignes directrices sont universellement bafouées à un degré choquant, laissant les plus faibles d’entre nous vivre avec une charge hautement toxique d’aluminium.

 

Le Dr Denise Bohrer, éminent chercheur dans ce domaine a fait une communication  sur l’aluminium au Congrès annuel de 2013 à Keele. Ce Congrès représente la plus importante source d’informations sur les effets biologiques de l’aluminium. Les recherches du Dr D.Bohrer portent principalement sur la gravité des problèmes qui ont trait à l’alimentation parentérale des nourrissons, des enfants et des adultes, généralement les personnes âgées, comme aussi sur les sources de contamination.

 

Cet article se focalise sur les travaux que ce chercheur et son équipe ont effectués.

 

L’aluminium est un produit toxique et l’exposition parentérale est particulièrement dangereuse. Les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC) font remarquer :

 

Le type classique [de neurotoxicité] résulte d’une exposition parentérale chronique ou orale à l’aluminium et se caractérise par l’apparition progressive de troubles comportementaux et, finalement, la mort. Ces effets neurologiques ont été observés chez les adultes et les enfants. (Alfrey 1993 ; Griswold et al 1983). Les concentrations plasmatiques sont estimées à 100-200 µg/L. La limitation de l’exposition à l’aluminium chez les personnes urémiques (par ex. l’utilisation de dialysats sans aluminium ainsi que des agents de liaison phosphate sans aluminium) élimine essentiellement ces effets neurotoxiques.

 

Ces effets indésirables sont le plus observés chez des personnes souffrant d’une fonction rénale défectueuse. Le Dr Bohrer relève principalement deux groupes : les bébés prématurés et de nombreuses personnes âgées.

 

Toxicité de l’aluminium chez les nouveau-nés nourris par voie parentérale

 

Dans l’étude « Aluminium loading in preterm neonates revisited » (réévaluation des taux d’aluminium chez les nourrissons prématurés),[2] Bohrer et al démontrent  que, chez les nourrissons nourris par voie parentérale, plus de la moitié de l’aluminium reste enfermé dans le corps. Les chercheurs ont également constaté que l’aluminium disparaît de la circulation sanguine. Par conséquent, si l’aluminium n’est pas excrété dans les urines et s’il n’est pas repérable dans le sang, c’est que son action toxique continue à s’exercer sur le corps de l’enfant.

 

Dix enfants prématurés nourris par voie parentérale ont fait l’objet de l’étude. Les poches de perfusion et autres appareils qui ont été utilisés pour nourrir et administrer des médicaments ont été recueillis .Le volume des urines a été calculé. Les échantillons d’urine ont été recueillis une fois par jour.

 

Un échantillon de sang a été prélevé à la naissance lors de l’admission à l’unité de soins intensifs néonataux (USIN), ainsi qu’au dernier jour dans cette unité. La quantité d’aluminium administré a été calculée sur la base des niveaux connus de chacun des produits.

 

Résultats

 

L’étude a montré que la moyenne des apports quotidiens d’aluminium était de 28,5 µg, avec une consommation quotidienne moyenne de 15,2 µg/Kg/jour. La moyenne d’apport quotidien d’aluminium a été évaluée à 15,2µg/ Kg de poids corporel.

 

Il convient de noter que le niveau maximal de consommation que la FDA considère acceptable est de 5µg/Kg/jour, ce qui signifie que ces bébés recevaient plus de 3 fois la dose que la FDA considère acceptable.

 

Le montant journalier excrété a été seulement de 9,3µg. Les 19,2µg restants sont donc restés dans le corps des bébés…

 

La raison pour laquelle le titre de l’étude mentionne le terme « réévaluation », c’est que cela fait plus de 30 ans que la question de la toxicité de l’aluminium à partir de l’alimentation parentérale est connue. Par conséquent, cette étude fait une comparaison entre les études réalisées il y a 20-30 ans et celle d’aujourd’hui.

 

Les auteurs ont constaté qu’au cours de tout ce temps, il n’y a eu aucune amélioration. En dépit de la décision de la FDA que l’aluminium devait être maintenu en-dessous de 5µg/Kg/jour, rien n’a été fait pour résoudre le problème.

 

La communauté scientifique est restée silencieuse jusqu’à ce que le Dr Bohrer et son équipe aient décidé de revoir cette question. Les revues scientifiques n’ont presque rien publié au cours des 20 dernières années. Cette situation a permis d’ignorer la réglementation de la FDA. Elle a aussi permis que les plus faibles, les enfants prématurés et les personnes âgées soient systématiquement empoisonnés par une substance susceptible de provoquer des dommages neurologiques et osseux.  

 

Sources de contamination par l’aluminium (voie parentérale)

 

La question est la suivante : quelle peut être l’origine de toute cette toxicité par l’aluminium ? Peut-on l’éviter ? Le Dr Bohrer et son équipe ont étudié cette question.

 

Avec des résultats très révélateurs rapportés dans l’étude : «  Teneur en aluminium dans les solutions intraveineuses administrées à des nouveau-nés : rôle de la préparation du produit et méthodes d’administration. » [3]

 

La FDA a émis deux règles définitives sur le sujet. L’une d’elles, dont il a déjà été question précédemment, dit qu’il ne s’agit pas d’administrer plus de 5µg./Kg/jour. La FDA a aussi décidé  que la nutrition parentérale ne pouvait contenir plus de 25µg/litre d’aluminium. Essayez de garder ce chiffre en tête : 25 µg/L.

 

Ci-dessous une illustration des différentes parties d’un système d’alimentation parentérale.

 

Alimentation-parenterale.jpg

 

Pendant deux semaines, le Dr Bohrer et son équipe ont prélevé des échantillons à l’hôpital de l’Université Fédérale de Santa Maria au Brésil. Ils ont recueilli les sacs et appareils de perfusion qui permettent d’administrer de la nourriture ou des médicaments. Ils ont également recueilli des échantillons de médicaments et d’éléments nutritionnels (destinés à l’administration par voie parentérale)…bien que les médicaments se sont révélés contenir des quantités importantes d’aluminium, leur volume était faible et n’ont pas été considérés comme représentant la plus importante source de toxicité.

 

Le résultat le plus révélateur est la quantité d’aluminium contenue dans les préparations commerciales.

 

Il est évident  que la forte proportion de ces produits est bien supérieure à la limite de 25 µg/L fixée par la FDA. En ce qui concerne particulièrement le gluconate de calcium, les chiffres sont tout simplement astronomiques.

 

Parmi les produits à volume élevé, le liquide destiné à l’ injection (50% de glucose, acides aminés et lipides), trois échantillons dépassaient la dose limite de 25µg/L fixée par la FDA…

 

Les chercheurs ont prélevé des échantillons au cours de l’alimentation parentérale, l’un dans le sac, l’autre dans la « burette » afin de tester les taux d’aluminium

 

De toute évidence, une quantité significative d’aluminium s’ajoute aux niveaux déjà toxiques des composants fournis par les fabricants. La plus petite mesure que l’on trouve avant l’administration au nouveau-né était de 61 µg/L., soit plus du double des normes maximales admissibles fixées par la FDA (25µg/L) !

 

L’augmentation souvent très importante de l’aluminium une fois que tous les ingrédients ont été mélangés, démontrent qu’une quantité importante d’aluminium  doit provenir des conteneurs et des tubes eux-mêmes. Les auteurs de l’étude précisent :

 

Les conteneurs doivent augmenter la contamination car pratiquement tous les matériaux utilisés pour fabriquer des récipients pour produits pharmaceutiques contiennent de l’aluminium que ce soit en tant que constituant ou comme impureté.

 

L’oxyde d’aluminium est un composant du verre qui parfois peut atteindre 6% de la masse totale du verre. Les récipients en plastique peuvent également contenir de l’aluminium et dans ce cas en tant qu’impureté parce que les composés d’aluminium sont utilisés comme catalyseurs dans la polymérisation du plastic…Bohrer et son équipe ont également étudié le gluconate de calcium 10% qui présente de grandes quantités d’aluminium, de 9.205 à 19.400 µg /L. Le gluconate de calcium représente un important pourcentage des formules parentérales pour nouveau-nés. Les auteurs de l’étude ont estimé qu’il pouvait être responsable de 80 à 98% des doses d’ l’aluminium des formules parentérales.

 

De nouveaux kits de perfusion non utilisés avec sacs, tubes, « burettes » et seringues ont été remplis d’eau stérile. On les a laissé tremper pendant 24 heures. Des échantillons ont ensuite été prélevés et examinés pour leur teneur en aluminium.

 

On a pu constater que le matériel de perfusion contribue pour une grande part à la toxicité aluminique. La « burette » représente une part importante après environ 18 heures d’utilisation. Les seringues et les sacs contribuent aussi à augmenter la toxicité, mais de manière moins significative.

 

L’empoisonnement des plus démunis

 

Comme l’équipe du Dr Bohrer a pu clairement démontrer, les recommandations de la FDA sont presqu’universellement bafouées dans l’alimentation des personnes les plus faibles : les plus jeunes et les plus âgées. L’aluminium est un toxique notoire qui peut causer des dommages permanents et dévastateurs pour le système nerveux et les os entraînant douleurs chroniques et invalidité.

 

La plupart des gens peuvent détoxifier d’assez importantes quantités d’aluminium, mais les personnes qui souffrent d’insuffisance rénale sont évidemment les exceptions. [4] Comme le signale Jay M. Mirtallo :

 

Normalement, l’aluminium s’élimine facilement dans les urines. Les adultes souffrant de problèmes rénaux et les nouveau-nés sont les plus à risque de souffrir de la toxicité de l’aluminium présent dans les liquides administrés par voie parentérale.

 

En dépit de la recommandation de la FDA de ne pas dépasser 25µg/L d’aluminium dans les liquides administrés par voie parentérale et la recommandation de ne pas administrer plus de 5µg/Kg/jour, Mirtallo écrit :

 

La quantité d’aluminium dans toutes les solutions néonatales et pédiatriques testées dépasse les taux admissibles recommandés par le FDA.

 

Les produits à usage parentéral du Canada ont 7 à 10 fois moins d’aluminium que ceux des Etats-Unis. Mirtallo signale que la chose est due au fait que les produits canadiens utilisent le phosphore organique au lieu de sels inorganiques.

 

Selon Mirtallo, l’Allemagne a réussi à réduire la concentration d’aluminium de 96% simplement en exigeant que le gluconate de calcium soit conditionné dans des flacons de polyéthylène au lieu de récipients de verre. S’il est si facile de réduire l’aluminium à seulement 4% dans la nourriture donnée aux prématurés et aux nourrissons, pourquoi les fabricants et le personnel hospitalier qui préparent cette alimentation ne se décident-ils pas à améliorer la situation ?

 

De toute évidence, il existe des solutions à l’empoisonnement des patients les plus jeunes et les plus vieux. Ces solutions ne sont ni complexes ni difficiles. Les plus innocents et les plus faibles parmi nous méritent sûrement mieux que les traitements désinvoltes des entreprises qui profitent de la situation et des hôpitaux qui sont responsables des soins…

 

1.  Aluminum Health Effects, (Pages 77-78) CDC’s document to “… provide public health officials, physicians, toxicologists, and other interested individuals and groups with an overall perspective on the toxicology of aluminum.”

 

2.  Aluminum loading in preterm neonates revisited. Bohrer D, Oliveira SM, Garcia SC, Nascimento PC, Carvalho LM.; doi: 10.1097/MPG.0b013e3181cea511.

 

3. Aluminum content in intravenous solutions for administration to neonates: role of product preparation and administration methods.Journal of Parenteral and Enteral Nutrition; de Oliveira SR, Bohrer D, Garcia SC, do Nascimento PC, Noremberg S.; doi: 10.1177/0148607110362531.

 

4. Age dependence in the accumulation and elimination of aluminum in rats; Page 57, Marlei Veiga, Sandra Ribeiro, Patrícia Mattiazzi, Cristina Bandero, Queli Lenz, Mauro Silveira, Carlos Mello, Denise Bohrer.

 

5. Aluminum Contamination of Parenteral FluidsJournal of Parenteral and Enteral Nutrition; Jay M. Mirtallo, MS, RPh, BCNSP, FASHP; doi: 10.1177/0148607110361906.

 

6. Aluminum in large and small volume parenterals used in total parenteral nutrition. FDA’s guideline on labeling aluminum products for use in parenteral nutrition.

 

 

             http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-03-17/premature/

 

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