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Le Gardasil, cause probable de décès chez
les jeunes-filles : étude histologique du cerveau ________________________________________
Si vous saviez que le Gardasil pouvait être étroitement lié à une mort subite chez des jeunes-filles, permettriez-vous que votre fille se fasse vacciner ?
Cette étude fournit des preuves solides que le Gardasil n’a pas seulement conduit des jeunes-filles à la mort, mais a également entraîné des complications chez beaucoup d’autres.
Photo Morgue File (http://morguefile.com) Seringues ajoutées en arrière-plan
Par Heidi Stevenson, 25 octobre 2012
Les tissus cérébraux de deux jeunes-filles qui sont décédées après avoir reçu le vaccin Gardasil ont été analysés au microscope. Les résultats ont été publiés dans Pharmaceutical Regulatory Affairs. Un lien décisif avec le vaccin a pu être clairement documenté. La preuve absolue de causalité représente un pas de plus, mais la charge de la preuve définitive incombe au fabricant Merck et non à des chercheurs sous-financés. Les Drs Lucija Tomljenovic et Christopher A.Shaw ont effectué au microscope des examens histologiques de tissu cérébral provenant de deux jeunes-filles décédées « mystérieusement » après avoir été vaccinées avec le Gardasil. Les autopsies n’étaient pas parvenues à établir la cause du décès dans les deux cas.
Les chercheurs expliquent :
«Les résultats de nos examens immunohistochimiques de spécimens de tissu cérébral provenant des deux jeunes femmes décédées à la suite de la vaccination Gardasil quadrivalente anti-HPV ont présenté des preuves solides d’une vascularite auto-immune déclenchée par les réactions croisées d’anti-corps HPV-16L1 qui s’étaient liés à la paroi des vaisseaux sanguins cérébraux. En outre, il existait une preuve claire de la présence de particules HPV-16L1 dans le système vasculaire cérébral ainsi que des particules de HPV-16L1 adhérant aux parois des vaisseaux sanguins. »
REMARQUES :
IHC = immunohistochimie
Vaccin qHPV = vaccin quadrivalent contre le papillomavirus humain. Le Gardasil est le seul vaccin quadrivalent contre le HPV
HPV-16L1 se réfère à des anticorps formés en réponse à des antigènes présentés par le vaccin Gardasil.
Ceci clarifie le fait qu’il existe une association entre le Gardasil et le décès de ces jeunes-filles. Le HPV-16L1 est un antigène qui existe dans le vaccin. Les anticorps dirigés contre celui-ci se trouvent dans le cerveau et les vaisseaux sanguins cérébraux des jeunes-filles décédées.
Les anticorps engendrés par le Gardasil ont été trouvés dans le cerveau en relation avec des particules du système immunitaire…
Le fait d’avoir retrouvé le HPV-16L1 dans les vaisseaux sanguins cérébraux, ainsi que d’avoir constaté son adhésion aux parois des vaisseaux dans les échantillons provenant des deux cerveaux, confirme qu’ils peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique.
Les chercheurs précisent :
« la présence de particules HPV-16L1 dans le système vasculaire cérébral de tissus cérébraux des deux jeunes-filles vaccinées avec le Gardasil peut s’expliquer par le mécanisme du « cheval de Troie », mécanisme dépendant de la circulation des macrophages grâce auquel ces particules adsorbées à l’adjuvant aluminium peuvent avoir accès au tissu cérébral. »
Les auteurs ont décrit une méthode susceptible d’intoxiquer le cerveau comme de provoquer des dommages que l’on attribue au Gardasil et par extrapolation à l’autre vaccin HPV, le Cervarix :
Le fabricant du vaccin pourrait avoir créé une méthode de « cheval de Troie » pour l’accès au cerveau, qui aurait comme conséquence une attaque auto-immune du cerveau et des vaisseaux sanguins.
Pour justifier et appuyer ce concept, ils font remarquer qu’il n’y a que trois manières dont les complexes immuns (= complexes formés par la liaison antigènes-anticorps) peuvent s’accumuler dans le cerveau.
* Une infection du cerveau
* Un traumatisme au niveau des tissus du cerveau
* La stimulation excessive du système immunitaire comme avec la vaccination
Dans le cas des deux jeunes-filles dont le tissu cérébral a été examiné, il n’existe qu’une seule de ces trois possibilités : la vaccination avec le Gardasil.
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Vascularite
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Les examens histologiques effectués démontrent clairement que ces filles ont souffert d’une vascularite du système nerveux, une maladie considérée comme très rare. Cette maladie conduit à des lésions permanentes, à la débilité et à la mort.
Les auteurs soulignent le fait que la vascularite « a depuis longtemps été reconnue comme un effet secondaire possible grave de la vaccination ». Les personnes qui souffrent de symptômes qui pourraient être ceux de la vascularite ne sont généralement pas, ou sont mal diagnostiquées. Il est dès lors essentiel que quiconque souffrant d’un symptôme associé à la vascularite après vaccination soit correctement examiné et traité de manière appropriée.
Ces symptômes comprennent :
* Graves maux de tête
* Etourdissements
* Perte de conscience, syncopes
* Crises d’épilepsie
* Tremblements et picotements
* Faiblesse
* Problèmes locomoteurs
* Troubles cognitifs et troubles du langage
Il ne s’agit pas d’accepter un mauvais diagnostic ! Votre propre vie ou celle de vos enfants peuvent être en jeu !
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Vascularite : implications
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Tomljenovic et Shaw font remarquer que la plupart des vascularites sont associées à des anomalies immunologiques, bien que la plupart des événements qui conduisent à l’inflammation vasculaire ne sont pas clairs. Cependant, il convient de comprendre que la génération d’auto- anticorps (ces anticorps qui s’attaquent au Soi au lieu de s’attaquer aux envahisseurs), comme les complexes immuns qui se déposent dans les tissus vasculaires ont un rôle central dans beaucoup de vascularites. Les chercheurs ont apporté des preuves claires que ces deux conditions ont été démontrées par leurs examens histologiques.
Les vaccins sont conçus pour hyper stimuler le système immunitaire à produire des anticorps (c’est le but des adjuvants). Il en résulte des taux d’anticorps plus élevés que ce qui se passe après une infection naturelle. Cette hyper stimulation implique que les vaccinations présentent de plus grands risques de vasculopathies.
Ils ont également noté que le dépôt de complexes immuns trouvés au cours de leurs examens histologiques, ont la capacité d’activer complètement les fonctions immunitaires. C’est ce qui se passe souvent dans les maladies inflammatoires et neuro-dégénératives avec dysfonctionnement vasculaire sous-jascent.
Ils ont également trouvé un composant du complexe d’attaque membranaire (MAC) des dépôts, ce qui représente un indice fort d’une maladie auto-immune. Le seul but du MAC est de détruire les membranes des bactéries envahissantes et non de s’attaquer aux différentes parties du corps. Il est donc clair que la réponse immunitaire n’a pas été normale.
Les chercheurs ont également trouvé des métalloprotéases matricielles (MMP). Ces MMP sont fortement associées à des vasculopathies neuro immunes, ainsi qu’à de graves pathologies inflammatoires du système nerveux. Elles sont également associées à de graves maux de tête qui sont parmi les effets secondaires indésirables les plus fréquents après la vaccination contre le HPV. Les MMP qu’ils ont trouvées peuvent induire des détériorations dans la barrière hémato-encéphalique et conduire à des dommages neurologiques permanents.
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Implications de l’étude
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Cette étude confirme la possibilité de maladie auto-immune qui serait provoquée par la vaccination par le biais du phénomène de mimétisme moléculaire et ce, sous l’impulsion de maladies auto-immunes par similarité d’un peptide du corps avec l’antigène du vaccin. Cette étude fournit également un aperçu de la méthode par laquelle cela peut se produire.
A la suite de cette étude, les auteurs ont développé un protocole immunohistochimique afin de pouvoir poursuivre les recherches sur les effets du Gardasil sur le tissu cérébral. Ils suggèrent fortement que tout décès inexpliqué après Gardasil, d’autres vaccins contre le HPV ou n’importe quelle autre vaccination devrait être soigneusement étudié en utilisant ce protocole immunohistochimique.
Bien que ceci ne suffise pas pour considérer que c’est le Gardasil qui a provoqué le décès de ces jeunes-filles, ces éléments doivent être considérés comme une raison suffisante pour mettre un frein à ces vaccinations jusqu’à ce qu’elles aient fait la preuve formelle de leur innocuité.
Il est significatif que la même exigence n’ait pas été imposée à Merck en ce qui concerne l’efficacité et l’innocuité du Gardasil.
Le fait est qu’il n’existe aucun lien de cause à effet entre les papillomavirus et le cancer du col de l’utérus, ni que la sécurité ait été sérieusement testée.
En dépit de cela, le vaccin a été donné à des millions de jeunes-filles et il est maintenant donné aux garçons.
Cette étude représente une nette amélioration de la documentation qui montre le lien fort et le mécanisme probable qui existe entre le Gardasil et des décès et autres effets secondaires débilitants.
Tous ces éléments représentent un contraste saisissant avec la pseudo science bâclée à laquelle on a fait appel pour approuver le vaccin.
Source:
- Death after Quadrivalent Human Papillomavirus (HPV) Vaccination: Causal or Coincidental?, Lucija Tomljenovic and Christopher A. Shaw, Pharmaceutical Regulatory Affairs, doi.org/10.4172/2167-7689.S12-001