Les victimes des vaccinations ne parlent pas !
TEMOIGNAGE d’une maman de 8 enfants dont 6 ont été victimes des vaccinations
Tashi David, cette maman australienne a eu 8 enfants. 6 de ses enfants ont été vaccinés et leur santé a été endommagée à la suite de ces vaccinations.
3 de ses enfants sont atteints d’autisme, un enfant souffre de déficit d’attention et d’hyperactivité, un autre de troubles graves du langage, le dernier souffre d’allergies et de troubles de l’humeur. Je ne sais plus dialoguer avec mes deux aînées. Quand mon mari est décédé, elles ne comprenaient pas ce qui se passait ; elles voulaient savoir où il était parti. Mes filles n’arrêtaient pas de crier et de pleurer.
Tous les examens réalisés ont montré qu’il n’y avait aucun élément génétique qui pouvait expliquer ces troubles neurologiques. Au début tous ces enfants étaient en parfaite santé et c’est progressivement que leur état s’est détérioré.
La maman explique : j’ai alors commencé à faire mes propres recherches. Dès la lecture du premier livre « Evidence of Harm », j’ai littéralement été bouleversée. Les histoires que des parents racontaient dans le livre ressemblaient tellement à ce que nous avions vécu ! J’étais effondrée et en même temps furieuse parce que pendant tant d’années, j’avais cru que les médecins ne pouvaient proposer que ce qu’il y avait de mieux pour leurs patients. Je croyais aussi, ça me paraissait évident, qu’ils nous donnaient toute l’information dont nous avions besoin pour nous permettre de faire des choix éclairés.
Personne ne m’avait jamais dit que les vaccinations comportaient des risques et pouvaient créer des problèmes. J’avais toujours cru que vacciner c’était vraiment ce que tout le monde devait faire. J’étais à mille lieues de pouvoir imaginer que les vaccinations étaient susceptibles d’endommager le cerveau comme le système immunitaire. Ca a été un terrible choc quand j’ai commencé à ouvrir les yeux sur ce problème. Je me suis dit que c’était peut-être ce qui nous était arrivé, que c’étaient peut-être les vaccinations qui étaient responsables de la détérioration de la santé de nos enfants.
Après avoir élargi mes connaissances et après avoir vécu tous ces drames, j’ai donc décidé de ne plus vacciner mes deux derniers enfants qui sont toujours restés en parfaite santé. Comment pouvais-je avoir preuves plus évidentes qu’avec ces deux enfants qui n’ont jamais été malades, qui n’ont jamais dû prendre le moindre antibiotique, alors que mes autres enfants ont souffert de maladies auto-immunes, de troubles gastro-intestinaux d’eczéma, d’asthme de psoriasis, d’infections urinaires, de problèmes oculaires, d’oreilles… ? J’ai consulté plusieurs médecins qui ne voulaient rien entendre ; manifestement, ils ne voulaient pas vraiment savoir. Un seul médecin cependant a été beaucoup plus ouvert ; il a pu comprendre ma situation et voir la différence entre la santé de mes enfants vaccinés et ceux qui ne l’avaient pas été.
Ce que je trouve incroyable, c’est qu’il n’existe aucune étude qui comparerait des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés ! Les médecins veulent que nous les croyions sur parole, alors qu’ils ne possèdent même pas les preuves scientifiques de ce qu’ils avancent, la preuve que les vaccins sont la meilleure chose qui soit pour tous les enfants.
Je ne tiens pas à blâmer les vaccins. C’est moi-même que je veux blâmer, toute mon ignorance. Je m’en veux vraiment parce que c’est moi qui ai fait ce choix ; c’est moi qui ai conduit mes enfants pour les faire vacciner ; c’est moi qui avais négligé de faire les recherches qui s’imposaient ; c’est moi qui ai autorisé que l’on injecte ces produits à mes enfants.
Je deviens folle en pensant que si j’avais agi autrement, la vie de mes enfants aurait été normale, ils auraient pu avoir un métier, auraient pu être amoureux, créer une famille et vivre de manière indépendante. Au lieu de cela, ils devront rester avec moi pour le restant de leur vie. Je m’inquiète beaucoup par rapport à la situation qui se présentera quand je vais mourir, car je ne veux pas que la vie de mes deux derniers enfants qui eux, sont en parfaite santé, soit perturbée. Leur vie leur appartient. C’est terrible pour moi de réaliser que je suis responsable de pareille situation.
Le meilleur message que je pourrais transmettre à tous les parents est de leur conseiller de faire leur propre recherche.
Un des problèmes parmi les plus importants est le rôle que jouent les médias par rapport à la discrimination qui est faite entre les enfants vaccinés et les enfants non vaccinés qui n’ont pas le droit de fréquenter l’école ! On fait comprendre à toute la population : ou bien vous faites ce que l’on vous dit, ou bien c’est la ségrégation.
En outre, les médias ne croient pas ce que nous disons ; ils nous prennent pour des menteurs. On protège davantage les criminels que les parents d’enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins, alors que ces parents croyaient faire la meilleure chose au monde pour leurs enfants en les faisant vacciner.
Ce qui me choque aussi terriblement, c’est que les médias ne parlent pratiquement jamais des effets secondaires des vaccins, à part une petite rougeur au site d’injection et un peu de fièvre.
Pourquoi ne pouvons-nous pas avoir le choix, pourquoi les médias ne montrent-ils qu’une face de la réalité, ne proposent-ils qu’une seule voie, pourquoi tant d’arrogance ? Tous les enfants sont différents. Comment peut-on imaginer vacciner tout le monde avec des produits identiques, passe-partout, sans tenir compte de l’individualité respective de chacun ?
Pour moi, l’information et la connaissance sont la clé de la Liberté. Parents, n’abandonnez jamais. Vos enfants ont besoin de vous. Mes enfants handicapés n’ont plus de voix. Je dois parler à leur place.
Notes à partir de la vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=0oIUHwUgE-0
Edward Bernays
La manipulation consciente, intelligente des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays…
Nous sommes gouvernés, nos esprits sont formatés, nos goûts sont modelés, nos idées nous sont suggérées en grande partie par des gens dont nous n’avons jamais entendu parler. Edward Bernays : Propaganda, p.37