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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 20:45

Votre corps, votre bébé et la grippe !

 

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 Dr Kelly Brogan, MD, 25 juin 2013

 

Au cours de ma formation classique de psychiatre « pur sucre », j’ai appris que la maladie mentale était la manifestation d’un déséquilibre des substances chimiques du cerveau qui pourrait, dans les grandes lignes, se ramener à un déficit de sérotonine/ ou de noradrénaline, trop peu de dopamine… Ce sont donc des interventions pharmaceutiques qui sont censées combler ces carences. La chose me fait penser à l’un de mes assistants qui, s’adressant d’une manière très condescendante à un patient qui venait de tenter de se suicider : si votre vue est mauvaise, vous avez besoin de lunettes. Il vous serait tout simplement impossible de voyager dans le monde sans lunettes, que vous le souhaitiez ou non.

 

Personnellement, je ne crois plus à ce discours. J’ai quitté « l’église », je parcours les bois et je me veux être à l’écoute des « sermons » des indigènes… à l’écoute de ceux qui croient à un ordre naturel des choses, qui croient à la capacité qu’a le corps de s’auto-guérir, au caractère sacré de l’environnement, à l’interdépendance du corps et de l’esprit , à la qualité de la nourriture, à la nécessité du mouvement. Pour moi, ces découvertes ont représenté tout un périple. J’ai commencé à ouvrir les yeux au cours de ma première grossesse alors que j’avais commencé mon programme de traitement des femmes enceintes et les femmes qui venaient d’accoucher. J’ai dû apprendre comment obtenir le consentement de ces femmes et à quoi ressemblait vraiment ce « consentement éclairé » au sujet des traitements par psychotropes pendant la grossesse et la lactation. Beaucoup de ces femmes avaient été sous médicaments pendant la plus grande partie de leur vie adulte et se sont retrouvées enceintes ou avaient l’intention de le devenir. Certaines de ces femmes développaient des symptômes en dépit des traitements.

 

J’ai alors commencé à me pencher sur la littérature médicale pendant des centaines d’heures, mémorisant les auteurs, les statistiques, analysant les concepts pour construire un ensemble rationnel et venir en aide à ces femmes. J’ai aidé ces femmes à comprendre les risques connus, inconnus, les alternatives en leur permettant d’évaluer les avantages. Ce processus se terminait souvent par une session de 90 – 120 minutes avec les membres intéressés de la famille, avec les psychiatres (généraux), les obstétriciens, les thérapeutes.

 

Vous pouvez vous imaginer la manière pour le moins peu enthousiaste avec laquelle j’apprenais que mes patientes avait reçu le vaccin contre la grippe sans qu’un médecin soit vraiment impliqué, sans consentement, sans discussion.

 

Quand je faisais mes études de médecine, je n’avais pas beaucoup d’information au sujet du vaccin contre la grippe, mais je savais néanmoins que les femmes enceintes et les bébés faisaient partie de la population pour laquelle le vaccin était contre-indiqué. Je savais aussi que les médecins, les étudiants en médecine ne se faisaient pratiquement jamais vacciner volontairement.

 

J’ai commencé à étudier la littérature concernant les meilleures données sur la grossesse. Je me suis spécialement penchée sur une étude bien contrôlée en examinant les résultats au cours de la grossesse, à la naissance, et jusqu’à l’âge de 5-7 ans ou plus. J’ai étudié les ingrédients : (protéines d’œufs associées à de l’ADN viral non identifié de tissu animal, gélatine allergène, polysorbate 80 qui traverse la barrière hémato-encéphalique, le formaldéhyde cancérogène, le détergent triton X100, le saccharose, la résine, l’antibiotique gentamicine et le thimerosal/mercure) et ai constaté qu’aucune étude n’avait examiné l’effet de l’injection de n’importe lequel de ces ingrédients, sans parler de leur combinaison.

 

J’espérais trouver d’importantes études effectuées annuellement pour chaque préparation en supposant que si, dans la littérature, on pouvait trouver 25.000 cas d’exposition au ISRS (Inhibiteur Sélectif de la Recapture de la Sérotonine), on devait pour le moins trouver autant d’information sur ce qui devait être formellement recommandé pour les femmes enceintes.

 

C’est ici que, sur un plan philosophique, les choses revêtent un intérêt tout particulier. Au cours de leur grossesse, on conseille aux femmes d’éviter de prendre des médicaments. Quand une intervention médicale, pharmaceutique, chirurgicale est indiquée, les risques et les bénéfices sont soigneusement pesés par rapport au traitement ou aux alternatives.

 

Mais ici, nous avons affaire à une recommandation passe-partout avec absence d’évaluation par rapport au statut immunitaire, à l’histoire médicale personnelle, aux facteurs de risques génétiques, la comorbidité.

 

Une recommandation formelle de la notice (catégorie C d’intervention) précise :

 

« Aucune étude sur la reproduction animale n’a été menée avec le vaccin à virus contre la grippe. On ne sait pas si le vaccin contre la grippe peut nuire au fœtus lorsqu’il est administré à une femme enceinte. Bien qu’aucune étude sur la reproduction animale n’ait été menée, le prestataire des soins de santé ou le prescripteur doivent être au courant des recommandations du Comité Consultatif sur les Pratiques d’Immunisation. L’ACIP affirme que si le vaccin à virus est administré pendant le grossesse, son administration après 14 semaines de gestation est peut-être préférable afin d’éviter une association fortuite entre le vaccin et une fausse couche (perte de grossesse). »

 

Qui sonne ici de la trompette ? Je crois bien le savoir.

 

A ce jour, je reste consternée par le double langage émanant du CDC (Centre de Contrôle des Maladies) au sujet de cette intervention qui s’est révélée inefficace et dangereuse pour la population générale et grossièrement étudiée chez les femmes enceintes.

 

Ci-dessous quelques informations précieuses sur la vaccination contre l’influenza :

 

* Comme le signale le Dr Lawrence Palevsky, (pédiatre éclairé) dans ses écrits sur l’éducation des patients, nous sommes en fait- que nous le voulions ou non - inondés de virus et de bactéries. Exposition n’est pas égale à injection. L’hypothèse que 4 souches (Trois souches ont été choisies pour le vaccin H1N1) sont susceptibles d’une action spécifique n’est ni fondée sur des preuves, ni sur le bon sens.

 

* L’incidence de la grippe au niveau des populations est exagérée pour servir de tactique alarmiste. Lorsque des patients présentent des symptômes pseudo-grippaux, leur diagnostic est rarement confirmé comme étant celui de la grippe de type A ou de type B. La plupart du temps, il peut ne correspondre ni à l’un ni à l’autre. Une brillante évaluation (7ans) du Dr Ayoub et Yazbak précise :

 

« En général, la plupart des symptômes de la grippe ne sont pas causés par le virus de la grippe, mais par une variété de virus « non influenza », des bactéries, autres organismes infectieux ou même par des conditions non nécessairement infectieuses. Selon le CDC, environ 20% seulement des cas de syndromes grippaux ( influenzalike illness ILI) sont en fait causés par le virus de la grippe. Si cela est vrai, alors théoriquement seuls 20% de tous les cas de syndromes grippaux sont évitables grâce à la vaccination contre la grippe, et seulement quand il y a une correspondance antigénique parfaite entre la souche vaccinale et les virus en circulation. En outre, même une correspondance antigénique parfaite ne garantit pas un titrage d’anticorps adéquat. Même un titrage d’anticorps mesurable n’assure pas nécessairement une protection. »

 

Une méta-analyse Cochrane de 50 études (dont 15 ont été financées par l’industrie a démontré que, dans l’hypothèse où les souches incluses ne correspondaient pas à un virus circulant, la prévention atteignait les 2% dans les populations non vaccinées contre 1% pour les populations vaccinées. La vaccination n’avait aucun effet sur les complications nécessitant une hospitalisation. Cette analyse aborde également le signal inquiétant que représente l’incidence du syndrome de Guillain-Barré (paralysie auto-immune)

 

Les patientes enceintes ne courent pas plus de risques, ne meurent pas plus fréquemment ou ne souffrent pas davantage de complications de la grippe. Ayoub et Yazbak contestent les deux études non rigoureuses qui constituent le fondement sur lequel on se base pour prétendre que les femmes enceintes souffrent d’une immunité compromise. Il convient en outre de signaler que, selon cette étude qui a porté sur 250.000 femmes enceintes en Australie et en Nouvelle Zélande, seulement 0,03% de ces femmes ont été admises aux urgences (ICU) pour complications H1N1, et l’on soupçonne que l’obésité était le facteur sous-jacent à ces complications.

 

L’analyse des statistiques du CDC révèle que, de 1997 à 2002, chez les femmes en âge de procréer, on a relevé de 0 à 1 décès par an pour une grippe qui avait été identifiée. Par comparaison, on estime que les syndromes de Guillain-Barré (paralysies) induits par le vaccin sont de 20 à 40 par an.

 

Les risques documentés de la vaccination comme repris dans un document (tableau) gouvernemental comprennent : vascularite, convulsions, encéphalomyélite, paralysie faciale, parésie faciale, syndrome de Guillain-Barré, hypoesthésie, myélite, névrite, neuropathie, paresthésie.

 

Les effets secondaires communs comprennent des symptômes comme : fatigue, fièvre, maux de tête, douleurs corporelles (… grippe !)

 

La plus grande évaluation réalisée sur 49.585 femmes enceintes (dans le système Kaiser Permanente Healthcare) au cours de 5 saisons de grippe, a pu montrer qu’aucun décès dû à la grippe ne s’est produit dans la population, que celle-ci soit vaccinée ou non, et que même dans une sous-population à risque pour l’asthme, la vaccination n’a eu aucun impact pour réduire les hospitalisations, étant donné que les seules hospitalisations (0,018%) étaient des hospitalisations pour pneumonies. Deux excellents sites traitant de ce sujet et dignes d’être explorés pour aider les femmes enceintes à prendre leurs décisions sont celui de : Aviva RommM.D. et de Jennifer Margulis PhD. http://avivaromm.com/flu-vaccine-in-pregnancy-whats-a-girl-to-do

 

http://www.mothering.com/community/a/pregnancy-and-the-flu-shot

 

Donc, si nous ne connaissons pas l’incidence réelle de la grippe parce que nous amalgamons pneumonie et grippe présumée, sans pouvoir disposer d’un diagnostic standardisé, nous finissons par avoir les preuves d’inefficacité si l’on s’en réfère aux études Cochrane, et Kaiser et même au Lancet qui admet que l’efficacité a été « modérée », « variable », « réduite » ou « absente » en fonction de la saison. Dès lors à quel prix acceptons-nous cette intervention ?- Poussons plus loin la réflexion en supposant qu’il y ait même une chance sur un milliard de paralysie ou de décès, la plupart des gens auraient beaucoup plus de chances de faire une bonne grippe d’une semaine.

 

L’étude peut-être la plus inquiétante sur laquelle je suis tombée traitait d’une forte réponse inflammatoire chez la femme enceinte après la vaccination contre la grippe. Les chercheurs ont identifié des taux significativement élevés de protéine C réactive(CRP) - (protéines de phase aiguë) et une tendance similaire (mais non significative) pour le TNF-alpha. Il s’agit en fait de sous-groupes vulnérables qui sont plus importants que ce que révèlent des conclusions générales. Par exemple, les femmes les plus déprimées au moment de la vaccination présentaient une réponse inflammatoire accrue à la suite de la vaccination…

 

Je continue d’étudier les fondements inflammatoires de l’humeur et de l’anxiété ante-partum et post-partum et de faire des conférences (sur un plan national). Je ne veux surtout pas faire quoi que ce soit pour promouvoir l’inflammation. Si pour une femme, le risque réel de faire une grippe parait infiniment éloigné, et si on le compare à une exposition active au CRP ou à l’augmentation des IL6 (cytokines pro-inflammatoires), l’injection risque de se rapprocher de la faute professionnelle.

 

Cette activation immunitaire a été mise en cause, non seulement dans le développement de la dépression post-partum, mais aussi dans le développement comportemental anormal, y compris dans l’autisme et la schizophrénie.

 

La cytokine IL6 qui se développe à la suite du vaccin contre la grippe est la cytokine qui a été impliquée dans les comportements anormaux de la descendance des rongeurs. Dans cette étude, il a été montré que le vaccin contre le H1N1 (version populaire depuis 2009) était susceptible de provoquer un stress oxydatif (élément moteur de toutes les maladies chroniques avec lesquelles nous nous battons tous.)

 

L’étude de Munoz et al.a tenté de confirmer la sécurité des vaccins contre la grippe chez les femmes enceintes. Un examen attentif de leurs résultats montre que les enfants qui sont morts après la naissance n’ont pas été inclus dans l’analyse statistique qui a déterminé qu’il n’y avait aucun risque pour l’enfant. Cet examen attentif montre également que les femmes vaccinées ont connu des taux plus élevés de pré-éclampsie, de diabète gestationnel et d’hypertension (tous de nature inflammatoire.)

 

Les infections des mères peuvent promouvoir une réponse inflammatoire similaire ( ou pire selon l’individualité biochimique). Ces réponses inflammatoires ont été associées au développement de la schizophrénie et de paralysies cérébrales chez des enfants exposés in utero. Mais si non seulement le vaccin n’est pas efficace pour prévenir l’infection, mais au contraire favorise sa propre réponse inflammatoire avec la possibilité d’autres effets indésirables aigus et à long terme, il est temps de nous poser la question par rapport à ce que nous faisons vraiment.

 

Ayoub et Yazbak ont cette conclusion : « Du fait que les avantages de la vaccination contre la grippe pendant la grossesse semblent manquer, une analyse « sécurité-avantages » ne devrait pas tolérer le moindre risque pour les femmes qui reçoivent le vaccin ou leur progéniture, même sur un plan théorique. »

 

Je ne pourrais marquer davantage mon accord.

 

Au cours de la dernière saison de grippe, une alerte « drapeau-rouge » m’a aussi frappée. Dans ma boîte aux lettres, j’ai reçu un document du Département de la Santé qui précisait que les femmes enceintes pouvaient recevoir des vaccins contenant du thimerosal (mercure) dans le cadre d’une pénurie de vaccins sans thimerosal.

 

Difficile de donner un sens à l’interdiction de manger du thon tout en autorisant l’injection de 25 mcg d’éthylmercure dans les tissus d’une femme enceinte, alors que la limite permise par l’EPA est de 0,1µg/Kg/jour. Cette dose est largement dépassée pour une femme de poids moyen. Surtout quand la seule étude concernant des primates réalisée avec des vaccins a démontré que l’injection d’un vaccin contenant du thimerosal à des nouveau-nés a entraîné un développement neurologique anormal et définitif chez ces animaux.

 

Le mercure a été considéré comme l’élément le plus toxique que l’on puisse trouver à la surface de la terre. Tout organisme qui approuve son administration active aux êtres les plus vulnérables de notre race n’est pas celui que je suis prête à suivre aveuglément. J’encourage mes patient(e)s à faire leur devoir d’information par rapport à tous les produits auxquels ils pourraient être exposés. Je suis d’autant plus confiante que je connais d’autres moyens de promouvoir l’immunité et la résistance. Personnellement, je n’ai jamais eu la grippe de ma vie, bien que j’aie passé 13 années de ma vie à l’hôpital et 4 années en tant que mère.

 

Il existe de meilleurs moyens : Le sommeil, la gestion du stress, une nourriture complète variée, des aliments fermentés, de l’ail, du gingembre, de la vitamine C, du soleil (ou de la vitamine D3), des compléments alimentaires de bonne qualité (multivitamines/ multiminéraux) pour compenser ce qui se perd ou est utilisé pour gérer l’exposition aux produits toxiques.

 

Cette meilleure manière d’envisager la santé peut aussi comprendre quelque maladie périodique quand on envisage le bien-être total. La seule manière de vraiment nous protéger et de protéger nos enfants est l’immunité naturelle qui s’acquiert par l’exposition aux souches qui traînent dans la communauté. Quand cette souche particulière repassera, vous serez totalement protégé et vous pourrez passer cette protection à votre nouveau-né. Il n’y a pas de véritable alternative. Nous ne pouvons pas confier notre santé à des firmes pharmaceutiques. Ces dernières ne savent pas ce que représente la santé.

Dr Kelly Brogan, MD

 

http://thinkingmomsrevolution.com/featured-guest-blog-your-body-your-baby-their-flu/

 

http://www.vaccinationcouncil.org/2013/06/29/your-body-your-baby-their-flu-kelly-brogan-md/

 

«Il est particulièrement frustrant pour les chercheurs d'admettre que l'organisme vivant est la meilleure pharmacie jamais imaginée. Il fabrique les diurétiques, les analgésiques, les calmants, les somnifères, les antibiotiques, en fait tout ce que peuvent fabriquer les laboratoires pharmaceutiques mais en mieux, beaucoup mieux. Le dosage est toujours approprié et administré au moment voulu ; les effets secondaires sont minimes, voire inexistants et le mode d'emploi est inclus dans le produit lui-même car il fait partie intégrante de son intelligence innée. » Depak Chopra

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O
There are several factors which can result to mental imbalance. I guess the living condition is one of the most crucial factors. You can go completely out of your mind if you are living in an unhealthy environment.
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