Pour répondre aux autorités vaccinalistes
Dr Christian Tal Schaller & Johanne Razanamahay
Extrait d’une lettre proposée aux parents pour répondre aux autorités qui veulent vacciner leurs enfants, lettre tirée du livre de Jean Pierre-Joseph : Vaccins, mais alors on nous aurait menti :
Je suis obligé de constater que la composition des vaccins comprend des produits hautement toxiques. Or, l’administration de substances nuisibles à la santé est interdite par la Loi et constitue d’ailleurs un crime prévu par le Code Pénal. Afin de ne pas me rendre complice du crime d’administration de substances nuisibles à la santé, où puis-je trouver des vaccins sans aucun risque pour la santé de mon enfant (c’est-à-dire ne contenant ni hydroxide d’aluminium, ni dérivés du mercure, ni éléments venant du sérum de veau, ni particules venant de cellules cancérisées, ni virus contaminant) ?
J’indique pour le cas où vous ne répondriez pas à mes questions et où vous m’obligeriez à administrer à mon enfant des substances appelées « vaccins » que je serais alors contraint de porter plainte pour « mise en danger de la vie d’autrui ». D’autre part, il est bien évident que, dans le cas où, par la suite, mon enfant serait victime d’effets secondaires, que je déposerai plainte pour administration de substances nuisibles à la santé non seulement contre ceux qui auront administré ces substances, mais également à l’encontre de ceux qui se seraient rendu complices de cette infraction, en faisant par exemple de cette intoxication une condition nécessaire à la scolarisation.
Un jour, pour faire face à un directeur qui refusait d’inscrire des enfants non vaccinés dans son école, Maître Joseph est arrivé avec les parents en portant une grosse valise avec lui. Devant le directeur médusé, il sortit de la valise une pile de livres et dit :
Tous ces ouvrages montrent que les vaccins sont dangereux. Ils ont été écrits par des médecins et scientifiques sérieux qui ont étudié le sujet à fond pendant de nombreuses années. Vous ne pourrez plus jamais dire, Monsieur le directeur, que vous ignoriez cette information et que les vaccins ne posent aucun problème ! Et Maître Joseph remit tranquillement les livres dans sa valise. Les parents remirent ensuite au directeur la lettre présentée ci-dessus. Après réflexion, celui-ci renonça à interdire l’accès de son école aux enfants en question.