Plus de vaccins ou simplement une meilleure nourriture pour prévenir les maladies ?
D’après Michelle Goldstein, 20 décembre 2013
L’Institut National de Santé a récemment annoncé une expansion de son financement pour neuf vaccins et unités d’évaluation de traitement avec un budget annuel de 135 millions de dollars, argent qui provient du gouvernement….[1]
Les efforts fournis pour réduire les flambées de maladies en augmentant le financement des études sur les vaccins ne semble pas constituer la meilleure des solutions.
Les ressources médicales et financières pourraient être mieux utilisées si elles se concentraient sur les causes sous-jacentes des maladies.
La médecine fonctionnelle a pu établir que la plupart des maladies sont causées par des carences nutritionnelles et des surcharges toxiques. Ces éléments contribuent également à déprimer le système immunitaire et donc à rendre les personnes plus vulnérables à certaines maladies. [2]
Les vaccins affaiblissent le système immunitaire et échouent dans la prévention des maladies
[…] L’idée que les vaccins puissent prévenir les maladies en toute sécurité est séduisante. Malheureusement, la recherche et les données disponibles ne confirment pas cette théorie. Ironie du sort, l’impact réel de la vaccination représente une augmentation de l’exposition des individus à des toxines et des poisons, ce qui ne peut qu’affaiblir dangereusement le système immunitaire en le rendant finalement plus sensible aux maladies.
Le célèbre neurochirurgien, le Dr Russel Blaylock a établi que la vaccination diminue l’immunité cellulaire qui est pourtant essentielle dans la lutte contre les maladies.
On a pu montrer que les vaccinations contribuaient à augmenter le nombre des anticorps pour une maladie particulièrement ciblée et pour une durée limitée.
Mais les scientifiques assimilent à tort cette augmentation des anticorps à l’immunité contre la maladie. On n’a malheureusement jamais pu prouver que l’augmentation des anticorps s’avérait totalement efficace pour réduire la probabilité de la maladie. [4]
Les études de population montrent que dans celles qui sont vaccinées on retrouve davantage de foyers de maladies que dans celles qui ne sont pas vaccinées. En 1992, une étude de Nouvelle Zélande a comparé 226 enfants vaccinés à 229 enfants non vaccinés. Les résultats ont montré de manière très claire que les enfants non vaccinés ont souffert de beaucoup moins de maladies chroniques de l’enfance comme aussi d’un nombre plus faible d’amygdalites, d’apnées durant le sommeil, d’hyperactivité, d’infections de l’oreille et d’épilepsie.
Une étude qui a été réalisée en Afrique en 2000 sur 15.000 enfants et qui a duré 6 ans a montré que les taux de décès de la diphtérie, du tétanos et de la coqueluche étaient deux fois plus élevés chez les enfants vaccinés par rapport aux enfants non vaccinés.
Une étude allemande de 2011 portant sur 8.000 enfants non vaccinés avec suivi médical de la naissance jusqu’à dix-neuf ans, a montré que les enfants vaccinés présentaient au moins de deux à cinq fois plus de maladies et de troubles de santé que les enfants non vaccinés. [5]
Il n’a jamais été prouvé que les vaccinations puissent prévenir les maladies. Elles constituent en réalité l’un des plus grands mythes de l’histoire de la médecine. Les recherches qui ont comparé les enfants non vaccinés aux enfants vaccinés ont systématiquement montré que les enfants non vaccinés étaient en bien meilleure santé que les enfants vaccinés.
En outre, quand il y a des épidémies comme par exemple la coqueluche, les études montrent que la majorité des personnes atteintes par la maladie avaient été vaccinées (contre cette maladie). Ces éléments contribuent à apporter des preuves supplémentaires qui montrent que les vaccins ne fournissent pas de véritable immunité contre les maladies.
Les vaccins endommagent la santé et peuvent même provoquer des décès
Il a été démontré que les vaccinations qui promettent l’immunité contre la maladie peuvent dégrader la santé de ceux qui les reçoivent et même parfois entraîner des décès. Une recherche effectuée en 2013 par la Centre National d’Information sur les Vaccinations a fait apparaître 52.835 réactions négatives du seul vaccin « Diphtérie Tétanos Coqueluche a » [6]
Un examen de la vaccination contre le HPV a montré que, jusqu’à 2012, on a comptabilisé 119 rapports de décès, 894 handicaps et 9.889 visites aux urgences pour ce seul vaccin.
En ce qui concerne le vaccin contre l’hépatite B et jusqu’en mars 2012, on a relevé 66.554 rapports de réactions graves au vaccin, 1500 décès comprenant les cas de syndrome de mort subite du nourrisson qui avaient été rapportés officiellement. [7] Ces données ne représentent qu’un échantillon de ce qui se passe avec les vaccins qui sont administrés de nos jours.
Comment le « mythe » vaccinal a-t-il débuté ?
On attribue à Jenner le fait d’avoir été le premier à expérimenter avec la vaccination antivariolique. Il a effectué sa première expérience sur un garçon de huit ans, James Phipps le 1er mai 1776. Il a ensuite répété la même procédure sur d’autres enfants.
Convaincu de son succès, il parvint à persuader George III que son vaccin protégeait contre la variole. Le roi accorda à Jenner des sommes d’argent public pour assurer la la vaccination du peuple. Les sommes accordées à Jenner correspondent grosso modo à un demi million de dollars d’aujourd’hui. A partir de là, un groupe de vaccinateurs zélés et payés ont continué à vacciner jusqu’à nos jours. La chose est devenue une industrie très rentable.
On a finalement pu montrer que cette vaccination contre la variole augmentait le risque d’épidémies de variole. L’Hôpital pour Varioleux de Londres a rapporté une augmentation alarmante et constante des cas de variole après que la pratique de la vaccination ait été généralisée ; Au début du siècle, l’incidence de la variole qui était de 5% s’est élevée jusqu’à 44% en 1845, à 64% en 1855, à 78% en 1865, à 90% en 1875 et à 96% en 1885.
Les cas de variole et de décès par variole n’ont cessé d’augmenter depuis que la vaccination ait été rendue obligatoire. De 1850 à 1869, le taux moyen de mortalité par variole pour 10.000 habitants était de 2.04. Après que la vaccination fut devenue obligatoire le taux de mortalité est passé à 10.24.
Dans les années 1800, le vaccin contre la variole a provoqué de nombreuses maladies y compris la syphilis, la tuberculose et la lèpre. En 1867, M. Depaul, chef des Services de Vaccination de l’Académie Française de Médecine a publié un essai sur les dangers de l’infection syphilitique consécutive à la vaccination. Il a décrit cette infection chez 160 enfants.
Le Dr A. Wilder, Professeur de pathologie et ancien rédacteur en chef du New York Medical Times, a déclaré en 1901 que « la vaccination est la perfusion d’un élément contaminant dans le système du corps. Après pareille contamination il n’est plus possible d’être certain de retrouver l’ancienne pureté du corps. La tuberculose fait suite à la vaccination aussi sûrement que l’effet suit la cause. »
En dépit des statistiques et des preuves accumulées contre le soi-disant succès de la vaccination antivariolique, les vaccinalistes ont continué à maintenir leur position et continuent de le faire aujourd’hui. La pratique de la vaccination s’avérait trop lucrative pour être abandonnée. Après une épidémie catastrophique de variole en 1872, une commission royale d’enquête sur la vaccination fut nommée en 1889 pour examiner la situation. Après 136 réunions qui durèrent 7 ans, et en dépit des preuves évidentes que la vaccination antivariolique était un échec, le comité, mentant effrontément, devait conclure que le vaccin empêchait la variole.
Le Dr Maclean, une autorité médicale bien connue à l’époque, qui avait demandé que les vaccinalistes puissent réfuter tous les faits qui n’étaient pas favorables à la vaccination, reconnaissait aussi que la vaccination était une pratique bien trop rentable pour la faire arrêter. Il avait compris que les profits et la cupidité éclipseraient l’échec évident de la vaccination. [8] Rien n’a changé dans le monde des vaccins, sauf que la situation a empiré suite à la croissance exponentielle du nombre de vaccinations qui ont été rendues obligatoires dans ce pays (USA).
Le vaccin contre la polio a perpétué le mythe du vaccin contre la variole. Certaines personnes qui ont reçu le vaccin contre la polio ont continué à faire des poliomyélites. Les statistiques ont été manipulées : on a changé la définition de la maladie après la création du vaccin. Les exigences en matière de diagnostic de la poliomyélite ont été rendues plus restrictives après la création du vaccin.
Ce changement dans les critères de diagnostic a eu pour effet de réduire le nombre des cas de poliomyélite signalés. Ce sont les modifications apportées au diagnostic, les manipulations statistiques et les améliorations du traitement qui expliquent la réduction du nombre de poliomyélites signalées, mais pas la création du vaccin. [9]
Les graphiques ayant trait au vaccin montrent également que les flambées de poliomyélite ont été réduites dans de nombreux pays avant l’introduction du vaccin, comme c’est également le cas pour d’autres maladies dont la diminution avait erronément été attribuée aux vaccins. [10] En réalité, ce sont les améliorations en matière d’hygiène et d’assainissement qui sont responsables de la diminution des maladies.
Importance de l’alimentation pour prévenir les maladies
Il n’est malheureusement pas possible de se protéger à 100% contre la maladie.
Si les vaccinations étaient sûres et efficaces, on les accueillerait à bras ouverts. Mais elles ne sont malheureusement ni sûres ni efficaces.
Un moyen important de prévenir la maladie, c’est de se construire un système immunitaire performant grâce à une bonne alimentation. Manger des aliments riches en nutriments au lieu d’avoir recours à la malbouffe est essentiel à la santé.
Suivre les principes nutritionnels de la fondation Weston Price est une manière d’augmenter considérablement le contenu nutritionnel des aliments.
Weston A. Price était dentiste. Dans sa remarquable étude de 1930 qui a duré 10 ans, il a, grâce à l’observation minutieuse de diverses populations qui mangeaient des aliments riches en graisses et vitamines hydrosolubles, pu montrer que ces mêmes populations jouissaient d’une santé mentale et physique parfaites. Ces populations étaient aussi à l’abri des maladies de leur temps, y compris la tuberculose tant qu’elles maintenaient des régimes riches en nutriments.
Les personnes qui ont adopté les aliments transformés modernes, comprenant la farine blanche, le sucre, les huiles modernes, les légumes en conserve ; ces personnes ont rapidement perdu leur immunité à toute une série de maladies.
Les indigènes qui ont adopté les aliments transformés ont rapidement développé la tuberculose et ont terriblement souffert des symptômes de cette maladie. [11]
La recherche moderne a confirmé les recommandations du régime alimentaire Price. Le médecin et chercheur Graham dans son livre L’alimentation du bonheur (The Happiness Diet) recommande une alimentation fort semblable à celle qu’avait préconisée Price (assez bien de graisses et peu d’hydrates de carbone, avec des aliments provenant d’animaux vivant en pâturage et nourris biologiquement.[12, 13]
Les aliments riches en nutriments comprennent : le lait cru biologique, le beurre, le yaourt, le kéfir, le fromage, les œufs, les préparations maison à base de viande ou de poisson, les céréales et noix biologiques, les aliments fermentés, les fruits et légumes bio.[14]
En dehors des préférences personnelles, il convient d’essayer d’éviter tous les aliments transformés. Il s’agit de limiter l’exposition aux produits toxiques. L’eau pure et l’air pur sont aussi fort importants. Les aliments transformés, emballés peuvent contenir des produits génétiquement modifiés qui peuvent être dangereux, des colorants, des édulcorants artificiels, du MSG (monosodium glutamate), des exhausteurs de goût, de l’aluminium, des conservateurs qui sont dommageables à la santé. [15,16, 17]
Comment éviter la toxicité des métaux
La toxicité des métaux contribue à affaiblir le système immunitaire. Les sources principales de ces métaux toxiques : le mercure et l’aluminium des vaccins, les aliments transformés, les amalgames dentaires. (mercure).
Eviter les vaccins est une étape essentielle à prendre en compte pour préserver la santé. Les vaccins sont chargés de toxines, y compris de métaux comme le mercure et l’aluminium qui sont injectés directement dans le sang, limitant par le fait même la capacité de l’organisme à éliminer ces toxines. Le mercure et l’aluminium ont été associés à des inflammations et à des lésions au cerveau, à la maladie d’Alzheimer, à des cancers. Le mercure est une substance très toxique qui doit être manipulé et éliminé avec précaution bien qu’on l’injecte chez les bébés et chez des adultes dont le système immunitaire est affaibli. [18, 19, 20]…
Conclusion
Des ressources financières, médicales et gouvernementales énormes sont gaspillées pour le développement de plusieurs vaccins alors qu’aucune véritable recherche n’a pu prouver l’efficacité des vaccinations dans la prévention des maladies. Mais il existe des preuves accablantes qui montrent que les vaccins sont dangereux pour la santé. Ils contribuent à créer des maladies et à entraîner des décès.
C’est éviter les vaccinations, les amalgames dentaires et la nourriture toxique qu’il convient de faire pour prévenir la maladie. Il convient également d’avoir recours à une alimentation riche en nutriments, à des aliments complets et biologiques comme d’assurer l’élimination des métaux toxiques.
Références :
2. http://www.functionalmedicine.org/about/whatisfm/
3. http://www.nih.gov/news/health/sep2013/niaid-26.htm
4. Blaylock, Russell. Outsmarting…And Beating…Infections: The Blaylock Wellness Report. Vol.9,Nol. 4. April 2012.
5. Morrell,Sally; Cowan,Thomas. (2013). The Nourishing Tradition Book of Baby and Childcare. Pp. 112. Washington, D.C: New Trends Publishing, Inc.
6. http://vactruth.com/2013/07/24/brain-damage-death-vaccines/
7. http://www.naturalnews.com/040840_hpv_vaccines_cervical…
8. http://www.vaccinationcouncil.org/2012/04/17/history-repeats…
9. http://www.naturalnews.com/029356_vaccines_immunization.html
10. http://www.whale.to/a/graphs.html
11. Price, Weston A. (2009). Nutrition and Physical Degeneration. 8th Edition. La Mesa, CA: the Price-Pottenger Nutrition Foundation. Print.
12. Graham, Tyler. (2011). The Happiness Diet. Rodale, NY, NY: Rodale.
13. http://www.naturalnews.com/043226_happiness_organic_diet…
14.http://www.westonaprice.org/basics/principles-of-healthy-diets15...
15.http://foodmatters.tv/articles-1/8-additives-from…
16. http://www.naturalnews.com/042235_aluminum_breast_cancer…
17.http://www.responsibletechnology.org/
19.http://www.naturalnews.com/042235_aluminum_breast_cancer…
22.http://iaomt.org/find-a-doctor/faqs-for-patients/
23.Nagel, Ramiel. (2011). Cure Tooth Decay. Los Gatos, CA: Golden Child Publishing.
24.http://www.naturalnews.com/042235_aluminum_breast…
25.McBride, Natasha. (2009). Gut and Psychology Syndrome. Amersham, Buckinghamshire: Halstan Printing Group.
http://vactruth.com/2013/12/20/vaccines-or-nutrition/