Les vaccins provoquent des mutations qui peuvent mettre en danger la santé des générations futures
Dave Mihalovic, 17 juillet 2012
Les vaccins provoquent un nombre sans précédent de mutations créant ainsi des super bactéries, ainsi que de puissants virus qui pourraient finalement menacer les générations futures et même l’humanité entière. Les preuves continuent de s’accumuler parmi la communauté scientifique qui admet aujourd’hui que certains vaccins provoquent en fait des mutations virales et bactériennes. Ironiquement les mêmes chercheurs affirment que de « meilleurs » vaccins seraient nécessaires pour compenser la montée de ces mutations persistantes.
Certains pathogènes meurtriers sont susceptibles d’évoluer rapidement et de développer des leurres génétiques pour se mettre à l’abri des médicaments les plus puissants. Le chercheur Rory Bowden de l’Université d’Oxford a découvert que des pathogènes sont susceptibles de modifier le matériel génétique avec d’autres bactéries, principalement pour la partie du génome responsable de la fabrication du revêtement cellulaire qui est précisément la zone visée par les vaccins.
L’ancien chercheur Grainne Long du Centre s’occupant de la Dynamique des Maladies Infectieuses a découvert que la vaccination pouvait multiplier par 40 la colonisation de la bactérie parapertussis B dans les poumons. Ses données suggèrent que le vaccin pourrait contribuer à l’augmentation des cas observés de coqueluche au cours de la dernière décennie en promouvant l’infection due à la bactérie parapertussis B.
La Coqueluche
Un vaccin acellulaire contre la coqueluche augmente en fait la colonisation de la bactérie Bordetella parapertussis chez la souris ; ce qui tend à suggérer une élévation de l’incidence du B.parapertussis à la suite de la vaccination acellulaire. Ce fait pourrait avoir contribué à l’augmentation des cas de coqueluche au cours de la dernière décade.
En dépit d’une vaccination généralisée, la coqueluche est en augmentation dans le monde entier ; la vaccination semble rendre cette maladie virtuellement immune vis-à-vis des vaccins.
Des scientifiques de Sydney ont trouvé que de dangereuses nouvelles souches de la bactérie coquelucheuse échappent aujourd’hui au vaccin australien contre cette maladie, renforçant ainsi une épidémie qui dure déjà depuis quatre ans et qui pourrait s’étendre outre mer. Ces découvertes soulèvent de sérieuses questions par rapport au programme national de vaccinations.
Des microbiologistes de l’Université de NSW ont trouvé que des variants de la bactérie coquelucheuse avec une signature génétique très particulière ont augmenté de 86% dans tous les échantillons prélevés sur des personnes infectées après l’épidémie qui a commencé en 2008.
Bien que les souches étaient présentes en Australie dès l’année 2000, elles ne représentaient alors que 31% de tous les échantillons prélevés entre 2000 et 2007—ce qui peut suggérer qu’elles se sont développées parallèlement à l’utilisation du vaccin actuel.
Le Dr Lan a déclaré qu’un vaccin acellulaire introduit en Australie en 1997 après que l’on se soit inquiété des effets secondaires du vaccin précédent à cellules complètes – semble avoir favorisé la propagation de ces variants que des autorités extérieures avaient liée à « une virulence accrue sur base de données concernant des cas d’hospitalisations et de décès. »
Il avait pris la peine d’avertir d’autres pays qui utilisaient des vaccins similaires pour qu’elles soient à l’affût des modifications pouvant survenir dans les caractéristiques génétiques de la bactérie coquelucheuse.
Le virus de l’hépatite B
Dans l’Italie du sud, 44 contacts avec des porteurs du virus de l’hépatite B, y compris des nourrissons de mères porteuses du virus sont devenus HBsAg positifs en dépit d’une immunisation passive et active conduite selon les protocoles standards. Chez 32 de ces personnes vaccinées, l’infection fut confirmée par la présence de marqueurs additionnels de la réplication virale…
La Poliomyélite
Quand le vaccin polio oral vivant évolue, il peut se comporter comme un virus sauvage et perpétuer la menace de contagion. Avec le temps, le vaccin peut muter et la simple modification de 1% du génome du virus peut permettre à ce dernier de se comporter comme un virus sauvage. Il en résulte que l’on trouve des preuves de cas de polio provenant des vaccins.
Echanges génétiques – Virus mortels provenant des vaccins
Trois vaccins utilisés pour prévenir une maladie respiratoire chez les poulets ont échangé des gènes pour finalement produire deux nouvelles souches meurtrières qui ont tué des dizaines de milliers de volailles dans deux états d’Australie.
La création de ces nouveaux variants meurtriers n’a été possible que grâce à la présence de virus vivants dans les vaccins, bien que ces derniers aient été atténués, a signalé Joanne Devlin, auteur principal d’un article publié dans le journal Science.
Résistance à la Pénicilline
Des scientifiques d’une compagnie pharmaceutique, ainsi que deux laboratoires ont analysé plus de 21.000 échantillons de bactéries provenant de l’ensemble du pays. Ils ont pu déterminer qu’un type de souche résistante était en progression dans les cas d’infections de l’oreille.
Les chercheurs de l’Université d’Iowa ont pu déterminer que l’on retrouvait cette souche dans 35% des infections résistantes à la pénicilline en 2004-05, comparativement au chiffre de moins de 2% l’année qui a précédé l’apparition du vaccin.