Excusez-moi, garçon ! – Il y a une mouche dans ma soupe !
Sandy Lunoe 21 janvier 2012, Vactruth
Votre médecin vous a-t-il jamais dit que les vaccins pouvaient contenir des résidus de cellules d’insectes, de levures, de cerveaux de souris, des tissus de porcs, de cobayes, de lapins, de chiens, de la lymphe de veaux, des tissus d’œufs de poule, d’ embryons de poulets, des cellules de reins et de testicules de singes, des cellules rétiniennes, des cellules de fœtus humains avortés et des cellules cancéreuses ?
Nous pouvons rire de la réponse que pourrait nous faire le garçon à la suite de notre plainte : « Ne vous tracassez pas, la mouche n’en mangera pas beaucoup ! »
Mais sur le plan des vaccins ce n’est pas une blague. Ils peuvent en effet contenir des résidus de cellules d’insectes, des levures, de cerveaux de souris, des tissus de porcs, de lapins, de chiens, de la lymphe de veau, des œufs de poule, des embryons de poulet, des cellules de reins et de testicules de singes, des cellules rétiniennes, des cellules de fœtus humains avortés et des cellules cancéreuses!
Il s’agit de quelques unes des nombreuses substances que l’on retrouve dans des énormes « marmites » de culture qui sont utilisées pour la production de vaccins. Les implications de ceci peuvent s’avérer horribles.
Résidus d’ADN dans les vaccins
La présence de résidus dans les vaccins, y compris celle de cellules et de fragments d’ADN de tissus étrangers est certainement bien réelle.
Le CDC admet le problème
« Beaucoup de nouveaux vaccins sont produits à partir de substrats cellulaires d’animaux. Des maladies émergentes pourraient théoriquement être transmises des animaux aux hommes par l’intermédiaire de ces vaccins. Le défi qui se pose de pouvoir identifier des agents potentiellement adventices dans les vaccins est à mettre en parallèle avec le défi qui consisterait à pouvoir identifier les agents qui pourraient provoquer telle ou telle maladie infectieuse particulière. »
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2631857/pdf/11485673.pdf
Penser aux ingrédients inconnus des vaccins est au moins aussi effrayant que de penser à ceux qui sont connus. Certaines substances sont même inconnues des fabricants de vaccins ! De plus en plus de substances inattendues sont découvertes au fur et à mesure que les méthodes d’analyse progressent alors que ces vaccins peuvent avoir été mis sur le marché il y a fort longtemps.
Le virus cancérigène simien SV40 dans les vaccins polio
Un exemple parmi tant d’autres est la découverte inattendue du SV40 dans les cellules de reins de singes. Le SV40 était un virus parmi des douzaines d’autres qui ont contaminé les premiers vaccins polio Salk et Sabin, et qui ont été administrés à des millions de personnes dans le monde. « On a prétendu qu’il y a eu des lots de vaccins polio oral contaminés par le SV40 qui ont été administrés à certains enfants jusqu’à la fin des années 1990. » http://www.sv40foundation.org/
Voir l’histoire tragique du petit Alexander http://www.ouralexander.org/sv40.htm
Le SV40 passe de génération en génération
« … de nombreux contaminants peuvent passer de génération en génération. Par exemple, de nouvelles études ont montré que le SV40, un contaminant majeur du vaccin polio jusqu’en 1963, a non seulement continué d’exister comme virus latent chez ceux qui avaient été vaccinés, mais il est passé de génération en génération, principalement par la voie du sperme. On a appelé cela la transmission verticale. Ceci veut dire qu’à partir de maintenant chaque génération sera infectée par ce virus connu pour être cancérogène. Il existe également des preuves convaincantes que certains vaccins fabriqués après 1963 pourraient aussi contenir le virus SV40. Ce qui rend le désastre dû à la contamination par le SV40 particulièrement inquiétant, c’est son association à plusieurs types de cancers… » http://www.thehealthyhomeeconomist.com/if-you-are-in-support-of-vaccinations/
La FDA admet que le SV40 peut causer le cancer
« - Des millions de personnes ont reçu les vaccins contaminés par le SV40 pRhMK et adenovirus à la fin des années 1950 et au début des années 1960. »
« L’ADN du SV40 a été détecté dans certains cancers humains… »
http://www.fda.gov/ohrms/dockets/ac/01/slides/3750s1_04_krause.pdf
Des virus de porc, de singe et d'oiseaux
D’autres exemples de contamination comprennent la découverte inattendue de l’ADN du virus porcin dans le vaccin anti rotavirus de GlaxoSmithKline. Un virus similaire (le « Rotarix ») mais un virus similaire au rétrovirus simien a également été retrouvé dans le vaccin « Rotateq » de Merck, de même que le virus de la leucose aviaire dans le vaccin contre la rougeole.
Dangereux ADN recombinant (modifié génétiquement) dans le vaccin Gardasil
Les conséquences de la découverte toute récente (par un laboratoire indépendant) de la présence d’ADN recombinant du HPV dans le vaccin Gardasil sont inconnues et pourraient être horribles.
« - Si un ADN recombinant du HPV attaché à l’adjuvant aluminium pénètre dans le flux sanguin d’une personne, combien de temps va-t-il y rester ? »
« - Quels sont les troubles auto immuns qui pourraient résulter de cette contamination ? »
« - Est-il possible que cette contamination engendre des mutations génétiques qui pourraient mener au cancer ?
« - Quelles modifications génétiques (mutagenèse) pourraient se produire si l’ADN résiduel du HPV pénétrait dans une cellule humaine et commençait à se reproduire ?
http://sanevax.org/sane-vax-to-fda-recombinant-hpv-dna-found-in-multiple-samples-of-gardasil/
http://sanevax.org/fda-information-on-gardasil-betrayal-of-the-public-trust
http://sanevax.org/sane-vax-inc-announces-the-discovery-of-viral-hpv-dna-contaminant-in-gardasil
Tissus de foetus avortés et cellules d'insectes
« Des souches cellulaires diploïdes humaines (provenant de tissus de fœtus avortés) seraient associées à un risque accru et théorique d’oncogénèse (qui provoque le cancer/néoplasies) http://vaccineresistancemovement.org/?p=6880
Plusieurs vaccins sont cultivés sur des tissus provenant de lignées de cellules de foetus avortés. http://www.catholiceducation.org/articles/medical_ethics/me0044.html
Des chiens, des levures, génétiquement modifiées, des lapins, des coeurs de vaches, du sérum de veaudes embryons de poulet, des oeufs de canard, du sang de porc, de mouton et de cheval, des cerveaux de cobayes et de lapins.
http://healthwyze.org/index.php/vaccine-secrets.html
Des oeufs de chenille, des reins de cocker espagnol, des cellules rétinennes de foetus avortés, des cellules cancéreuses.
Dans les années 1960, des cellules de tissus humain provenant de fœtus avortés, appelées MCR-5 et WI-38 ont été utilisées et sont toujours utilisées dans la fabrication des vaccins contre la rubéole, la varicelle, l’hépatite A et les vaccins contre le zona. http://www.newswithviews.com/Tenpenny/sherri123.htm
La FDA relève plusieurs cas de contamination vaccinale.
« Les exemples comprennent la contamination du vaccin contre la fièvre jaune avec le virus de l’hépatite B dans les années 1940, la contamination des premiers vaccins contre la polio avec le virus SV40 à la fin des années 1950 et début des années 1960, la contamination des produits sanguins avec des virus de l’hépatite, du HIV, la contamination de greffons de la dure mère avec l’agent de la maladie de Creutzfeld-Jakob. Dans ces exemples , ce furent les éléments humains ou animaux généralement utilisés pour la fabrication des vaccins qui ont provoqué la contamination. »
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2631857/pdf/11485673.pdf
Les vaccins ROR comme ceux de la fièvre jaune contiennent des gènes cancérogènes.
« - Les vaccins, tout spécialement ceux pour lesquels on utilise des tissus animaux pour la culture des virus - les vaccins contre l’influenza, le ROR et les vaccins contre la fièvre jaune – sont connus pour être hautement contaminés par des virus animaux ( y compris le virus de la leucose aviaire et le virus de l’artérite équine) Des fragments de gènes de ces virus, des oncogènes (gènes susceptibles de transformer des cellules normales en cellules cancéreuses), des prions (minuscules protéines responsables de maladies incurables et de troubles neurologiques chez l’homme, comme chez l’animal ».)
http://www.garynull.com/home/death-by-vaccination-the-gates-foundation-and-the-new-eugeni-1.html
[…]
Injection d'ADN étranger: conséquences possibles
“ – On utilise de l’ADN d’organismes animaux, de virus animaux, de champignons et de bactéries. Il existe une documentation qui montre que l’injection d’ADN étranger dans un être humain peut provoquer partiellement ou totalement son intégration chez le receveur. Les implications horribles pour l’enfant à naître défient l’imagination.
http://healthwyze.org/index.php/vaccine-secrets.html
« - La plupart des vaccins sont contaminés par un nombre connu ou qui reste encore à découvrir de virus, bactéries, fragments de virus, fragments d’ADN ou d’ARN. En outre, la science démontre que ces contaminants pourraient conduire à nombre de maladies dégénératives, y compris des maladies dégénératives du cerveau. »
http://www.thehealthyhomeeconomist.com/if-you-are-in-support-of-vaccinations/
“ – “ Les risques que peuvent provoquer l’ADN rétinien, ainsi que des contaminants viraux parasites provenant de tissus animaux et qui se retrouvent dans les vaccins contre la grippe sont bien réels. Les fragments (snips) d’ADN sont classés soit comme « infectieux » soit comme « oncogènes » (susceptibles de provoquer des tumeurs) par les chercheurs qui s’inquiètent que de l’ADN parasite puisse être incorporé à l’ADN du receveur… » http://www.newswithviews.com/Tenpenny/sherri123.htm
Interview du Dr Suzanne Humphries:
« Les particules d’ADN provenant de tissus ou de cellules malades peuvent s’insérer dans notre ADN et provoquer des altérations. A mon avis, ces vaccins nous transforment en organismes génétiquement modifiés. »
http://naturalnews.tv/v.asp?v=BAE7F6323813CFAFB8338173FB11D429
IMPOSSIBILITE D’ ELIMINER L’ADN CONTAMINANT
« Les fabricants de vaccins ont reçu comme instruction de s’assurer que la forme terminale des vaccins contienne moins d’un millionième de résidus cellulaires animaux, le taux d’ADN parasite devant quant à lui être inférieur à 10ng par vaccin. Cette réglementation admet que de l’ADN animal est injecté chez des bébés humains, comme chez des adultes, à chaque vaccination. http://www.newswithviews.com/Tenpenny/sherri123.htm
“ – La FDA admet aussi comme préoccupant le fait que tous les types de lignées cellulaires soient susceptibles de provoquer le cancer. La question à laquelle il faut absolument répondre est celle-ci : comme les risques potentiels de l’utilisation des lignées cellulaires pour la fabrication des vaccins sont connus, comment peut-on encore tout simplement tolérer une recherche qui utilise les technologies se basant sur les lignées cellulaires ? »
« - Il est impossible d’éliminer complètement les contaminants ADN des vaccins. Bien que des limites précises par rapport au poids des contaminants d’ADN aient été établies par la FDA, déjà depuis 1986, les fabricants de vaccins n’ont jamais été capables d’atteindre ce but. Le CDC a décidé de limiter les recommandations de poids aux lignées cellulaires cancéreuses et d’augmenter de cent fois la tolérance des autres contaminations d’ADN. Il convient cependant de noter que ces limites ne concernent que des « recommandations ». De ce fait la FDA est incapable de les faire respecter. Les fabricants de vaccins continuent d’avoir la liberté de ne prendre des mesures pour réduire les contaminants que s’ils le souhaitent. http://www.opednews.com/populum/diarypage.php?did=14455
Cette limite de contamination (10 nanogrammes) est applicable à chaque vaccin pris individuellement. Or aujourd’hui, on injecte aux enfants plusieurs vaccins avant leur entrée à l’école. Et chaque vaccin a ses propres contaminants viraux dus aux substrats cellulaires utilisés pour sa fabrication. C’est cette soupe génétiquement toxique qui coule dans le sang des personnes vaccinées. »
Et quid de la mouche dans notre soupe?
Cette mouche ne peut nous faire aucun mal si elle a été cuite avec la soupe !
Cependant, toutes les substances injectées, y compris les fragments d’insectes contournent les mécanismes complexes de défense du corps. Il a été démontré que les mêmes substances qui sont sans aucun danger quand elles sont prises par la bouche peuvent devenir extrêmement dangereuses pour la santé quand elles sont injectées. Les étudiants en médecine apprennent aujourd’hui cette réalité, mais de nombreux médecins, comme les autorités de Santé et les promoteurs de vaccins semblent ignorer cette distinction fondamentale.
Où se trouve la logique dans tout cela?
Il est choquant que des médecins et des infirmières prennent le soin de bien désinfecter la peau pour éliminer quelques microbes, puis vaccinent en inoculant dans le corps de nos enfants une soupe vaccinale contaminée, empoisonnée, génotoxique, susceptible de provoquer la maladie et le cancer.
Article original: Vactruth