Nous avons appris hier par le site Initiative Citoyenne que le Japon avait décidé de ne plus recommander les vaccins anti-HPV Gardasil et Cervarix. Cette décision a été prise suite à de nombreux rapports d'effets secondaires comme par exemple des douleurs chroniques.
Les experts du Ministère pensent à ce stade qu'il est fort possible que la vaccination soit responsable de ces effets secondaires.
Des millions de jeunes filles ont hélas entretemps déjà été vaccinées avec ces produits.
Bizarrerie de plus, les vaccins ne seront sans doute pas déremboursés dans l'immédiat car une enquête est en cours et celle-ci devra durer plusieurs mois. Mais selon certains officiels, le fait que cette vaccination ne soit plus recommandée officiellement, fera très rapidement chuter les taux de vaccination, ce qui est plutôt une bonne nouvelle si on songe aux autres jeunes filles que cela épargnera.
Désormais, les praticiens et les institutions médicales seront obligés d'informer les filles avant leur vaccination que le Ministère de la Santé ne la préconise plus.
Pour une maman dont la fille est en charette roulante depuis son vaccin Cervarix administré en 2011, "il s'agit d'une étape très importante."
Espérons simplement que cette décision de bon sens fera "tache d'huile" et franchement... le plus tôt sera le mieux. Car ces vaccins sont hélas en train d'être écoulés à prix réduit dans les pays les plus pauvres où les victimes auront encore moins de possibilités qu'ici de faire le lien entre la vaccination et ses effets secondaires et où aucune n'aura sans doute les moyens de payer un avocat et d'intenter des actions en justice. Tout cela grâce à l'entêtement de l'OMS, et de la Fondation Gates notamment.
Décidément, les choses sont claires, la seule arme à déployer pour éviter ces calvaires à nos enfants, c'est et ça reste l'information et surtout aussi le partage le plus large possible de cette information.