Les vaccins utilisés sans discrimination dans le monde entier peuvent s'avérer nocifs. Pour faire comprendre cette nocivité, je pense qu'il est de mon devoir de raconter la tragédie que ma famille a vécue. Il convient de préciser que mon histoire n'est pas un cas unique, elle n'est que la pointe d'un iceberg.
Nous avons eu 4 enfants, les vaccinations en ont tué 2 et en ont rendu un 3ième gravement handicapé. Tous nos enfants sont nés en parfaite santé. Les manifestations de maladie ne sont apparues chez 3 d'entre eux qu'après le premier vaccin antipolio Sabin. Les symptômes apparus après ce premier vaccin antipolio sont décrits dans le dossier de Marco, mon premier-né. Les troubles présentés (nystagmus oculaire, tremblements et défauts de la parole) ont été mis, par un des pédiatres qui s'est occupé de Marco, en relation avec le vaccin antipolio Sabin. D'autres médecins ont suspecté une tumeur cérébrale ou une encéphalopathie dégénérative, mais ceci n'a jamais été confirmé par des tests. Marco est décédé en 1971 à l'âge de six ans.
Marco Tremante, à l'âge de 4 ans
Avec notre second fils, né en 1970, nous n'avons pas eu de problèmes. Mais le drame que nous avions vécu avec Marco se reproduisit chez nos jumeaux univitellins nés en 1976, Andrea et Alberto. Malgré mon opposition ferme à pratiquer chez eux la vaccination rendue obligatoire par une loi absurde et dangereuse, les jumeaux ont été vaccinés sans aucun examen préalable. Le lendemain de cette vaccination, les premiers signes d'une altération de leur état de santé sont apparus. J'ai soumis les dossiers médicaux de leurs premières hospitalisations à diverses universités des USA, d'Angleterre et même de Russie où l'on suspecta une maladie due à la combinaison d'une carence immunitaire et d'un vaccin, ce qui rendait celui-ci spécifiquement responsable de leur état. A Vérone, la ville où j'habite, le diagnostic de "leucodystrophie métachromatique", une dégénérescence du système nerveux central d'origine héréditaire, fut posé, mais ce diagnostic n'a jamais été confirmé par des tests génétiques.
Premier anniversaire des jumeaux Andréa & Alberto Tremante
Le 21 septembre 1980 l'état de santé d'Andrea s'est subitement aggravé et il a été hospitalisé pour déshydratation. Malgré ma recommandation expresse de ne pas lui donner de médicaments immunosuppresseurs, puisqu'il était déjà immunodéprimé, on lui administra de la cortisone en intra-veineux et, 5 heures plus tard, mon enfant mourut. Je sus par la suite que c'était également après avoir reçu de la cortisone que mon premier enfant, Marco, était décédé. J'ai demandé de pratiquer l'autopsie d'Andrea afin de comprendre ce qui s'était passé. Mais la présence à l'autopsie du médecin légiste que nous avions convoqué fut refusée. L'autopsie d'Andrea ne nous a donc pas permis de recueillir des indications utiles pour nous aider à soigner Alberto, son jumeau.
Nous avons alors consulté un virologue de Naples, le professeur Tarro. Le professeur Tarro avait été l'élève du professeur Sabin, l'inventeur d'un des vaccins oraux antipoliomyélitiques. Il examina Alberto, lui fit des prélèvements de sang et conseilla un médicament immunostimulant, la thymopoïétine. Cependant, malgré ce traitement, Alberto dut, à son tour, être hospitalisé à l'hôpital Borgo Trento de Vérone. C'est dans cet hôpital qu'Andrea était mort deux mois plus tôt. Contre l'avis des médecins qui voulaient le laisser mourir, Alberto fut, à notre demande, transféré en réanimation et nous avons décidé d'être ses "gardiens" permanents. Mon épouse, Franca, resta jour et nuit près de lui. J'ai téléphoné de suite au professeur Tarro qui me conseilla un autre médicament immunostimulant, l'interféron. Avec ce traitement l'état de santé de notre enfant commença lentement à s'améliorer.
Après 6 mois d'hôpital Alberto fut renvoyé à la maison sans rapport médical. Lorsque je demandai son dossier médical, je m'aperçus que les fiches cliniques de ce dossier étaient différentes des fiches cliniques que j'avais photocopiées jour après jour lors de son séjour à l'hôpital. Nous avons déposé une plainte contre le directeur médical de l'hôpital pour "Faux en acte public", plainte qui fut plus tard étendue au médecin-chef de la section pédiatrique. Le juge qui s'occupait de l'enquête, pour une raison encore obscure, demanda de classer l'affaire sans suite, et, finalement, tout fut envoyé aux archives.
"Alberto, victime du vaccin.
"Sabin, le vaccin que tout le monde pensait sûr, sans danger."
Paru dans le journal de Vérone "La Cronaca", édition du 5 mai 1995
Alberto, toujours accompagné de sa maman, fut hospitalisé de nombreuses fois, non seulement dans ce même hôpital de Vérone mais aussi à la polyclinique de Milan, à Merate dans la province de Côme, à Melegnano dans la province de Milan et finalement de nouveau à Vérone, mais, cette fois, à la polyclinique Borgo Roma. Pendant tous ces séjours dans les hôpitaux, notre tâche fut de veiller à ce qu'Alberto puisse recevoir le traitement immunostimulant conseillé par le professeur Tarro, traitement qui était le premier à avoir donné des résultats positifs chez notre enfant. A l'hôpital il était toujours difficile, voire impossible, de faire suivre ce traitement à Alberto. En effet le corps médical dans son ensemble avait jugé que mon fils Alberto souffrait d'une maladie héréditaire fatale, qu'il ne pouvait vivre et qu'il fallait simplement le laisser mourir. A cette époque la responsabilité du vaccin antipolio dans l'altération de l'état de santé d'un sujet partiellement immunodéprimé n'avait pas encore été reconnue.
Alberto avec ses parents
Notre cas a intéressé le président de la république d'alors, Sandro Pertini, qui pressa le ministre de la Santé, Renato Altissimo, de créer une Commission ministérielle devant s'occuper du cas d'Alberto. Cette Commission, sans qu'aucun des médecins qui en faisaient partie n'ait jamais examiné Alberto, établit un rapport bidon afin de dissimuler la vérité, à savoir que la vaccination avait fait de notre fils un handicapé.
Alberto dut une dernière fois être hospitalisé à la polyclinique de Vérone. Selon les membres du personnel médical, il allait mourir à brève échéance. Pour eux l'unique solution au problème d'Alberto était l'issue fatale. Voyant cela, j'ai essayé à tout prix de reprendre mon fils. Pour garder Alberto dans leur service et m'empêcher de tenter de lui sauver la vie, les médecins envoyèrent une lettre au juge des mineurs de Venise, disant que j'étais un mauvais père, membre d'une secte. Le juge me déchut de mon autorité parentale. Je me suis aussitôt rendu chez ce juge. Je lui fis comprendre quelle erreur monumentale il était en train de commettre et je réussis à le convaincre de me rétablir dans mes droits.
Afin qu'il soit possible de soigner mon enfant à domicile, j'ai créé une "salle de réanimation" dans la pièce qui, jusqu'alors, avait été la chambre conjugale. A l'hôpital, Alberto était en effet continuellement sous respirateur et ne pouvait vivre sans cela. Il fallait donc aussi à la maison un appareillage adéquat pour l'aider à respirer.
Par après, même si Alberto, depuis mai 1984, n'a plus mis les pieds dans un hôpital, nous eûmes encore à subir beaucoup d'autres brimades de la part des organismes s'occupant de la Santé. En effet ces organismes ne voulaient pas admettre que la maladie d'Alberto et la mort de ses deux frères étaient dues à la vaccination.
En 1995, suite à un recours que j'avais introduit, basé sur la loi 210 de 1992, l'Etat italien reconnut le "lien de causalité" entre les dommages subis par nos fils et la vaccination obligatoire.
Durant toutes ces années, je me suis employé à fonder en Italie des associations pour rassembler les personnes qui ont subi des dommages suite aux vaccinations. Avec des parlementaires j'ai tenté de faire voter une loi pour abroger l'obligation vaccinale. Mais cet objectif n'a pas été atteint en Italie, car, à mon avis, la politique de santé reste encore l'esclave des puissantes multinationales du secteur pharmaceutique. Celles-ci ne regardent que leurs intérêts. Elle ne donnent pas des informations franches et correctes mais recourent plutôt à une complète désinformation. Elles diffusent des données pseudo-scientifiques qui parviennent à occulter les dangers des vaccinations. Le secteur vaccinal, dénué de tout scrupule, abuse de son pouvoir et piétine en permanence tout droit civil et humain.
J'ai raconté notre expérience malheureuse dans un livre paru en 2001 et intitulé " 'Maggiorene e vaccinato' o...diritto alla vita ?". Ce livre, traduit en français, est paru en 2005 sous le titre " Majeur et vacciné ' ou...le droit de vivre ? "
La ville de Vérone avait décidé en 2008 d'appeler une place de la ville du nom de mes 2 enfants décédés et de poser en leur souvenir une plaque indiquant : "Marco et Andrea Tremante, victimes des vaccins" . Mais des élections ont eu lieu avant que cela ne soit réalisé et le nouveau Conseil communal, opposé à ce projet, ne l'a pas mis à exécution. Ainsi, même le souvenir d'un accident postvaccinal est dérangeant et ne peut être ouvertement porté à la connaissance du public. La "loi du silence", en matière d'accidents postvaccinaux, reste une loi incontournable.
Giorgio Tremante ( Site Web : www.tremante.it )
" Les rapports de l'OMS montrent que, en d'autres régions (Afrique, Amérique latine), sur trente-quatre pays vaccinés par vaccin vivant (ndlr: donc vaccin Sabin), vingt-quatre ont enregistré une augmentation des cas de poliomyélite: de sorte que, si l'on considère soixante-dix pays des régions tropicales ou subtropicales, on constate qu'il y a eu en 1966 une augmentation des cas de poliomyélite allant jusqu'à 300%." Passage issu de l'Encyclopedia Universalis de 1988 (corpus 14)
" La logique et la raison auraient-elles abandonné les épidémiologistes? L'introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d'infection.[...] Le mal qui est fait est incalculable." Pr Richard Delong, immunologiste et virologue, auteur du livre "Live viral vaccines: biological pollution"
La littérature médicale montre que les épidémies de polio n'épargnent pas les vaccinés:
The Lancet, 27/02/1988
The Lancet, 19/08/1989
The Lancet, 19/05/1990
The Lancet, 21/9/1991
The Lancet, 01/01/1994
The Journal of Pediatrics, juin 1986, volume 108, n°6
Encore récemment, le relevé épidémiologique hebdomadaire (REH) No. 28, 2009, 84, 281–288 de l'OMS révélait qu'en Inde, sur un total de 1108 cas de polio survenus en 2007-2008,
77% avaient reçu + de 7 DOSES DE VACCIN ANTI-POLIO ORAL!
18% avaient reçu entre 4 et 7 doses,
3% avaient reçu entre 1 et 3 doses et
1% n'avaient reçu aucune dose ou ignoraient le nombre de doses reçues
Cela nous indique donc que les cas de polio sont survenus dans 95% des cas chez des gens qui avaient reçu une vaccination archi complète...quelle "belle" efficacité de la vaccination, il n'y a pas à dire!
Dépêche AFP, 1er février 1997 :
' La quasi totalité des cas de poliomyélite recensés aux U.S.A., de 1980 à 1994, a été causée par l'administration du vaccin oral atténué…'
"Que la vaccination soit obligatoire ou non, vacciner de force, c'est violer. Y collaborer est meurtrier."
Dr Ghislaine Lanctôt, MD, spécialiste en phlébologie et auteur du livre La Mafia Médicale
NB: Pour s'informer davantage sur la vaccination anti-polio, Expovaccins recommande la lecture du livre "Nous te protégerons! Poliomyélite: quel vaccin? Quels risques?" du Dr Jean Pilette, disponible auprès du service libaririe d'Alis, ICI.